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Les fibres et la prostate

Il semble que les fibres soient des alliées précieuses pour les hommes qui souhaitent mettre toutes les chances de leur côté afin de prévenir un éventuel cancer de la prostate, rapporte E-Santé.

Une molécule que l’on retrouve dans ces fameuses fibres octroierait cette protection, selon les recherches publiées par des chercheurs de l’Université du Colorado.

Cette molécule permettrait d’abord de prévenir des lésions que l’on dit précancéreuses, une prémisse du cancer de la prostate. Un régime fort en fibres permettrait donc de freiner la formation de vaisseaux sanguins qui créent ce genre de lésions, limitant ainsi les chances de progression d’un cancer de ce type.

Les recherches tendent non seulement à démontrer la véracité de cette théorie, mais on constate que les peuples asiatiques affichent des statistiques bien en deçà de celles des Nord-Américains en matière de cancer de la prostate.

Il est facile de faire le lien avec les régimes alimentaires des deux régions du monde, qui sont souvent diamétralement opposés.

Encore une fois, on constate que ce que l’on mange influence fortement le type de maladies auxquelles nous risquons de faire face dans la vie.

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Les produits laitiers efficaces contre l’ostéoporose, mais…

Le vieillissement de la population entraine de plus en plus de chercheurs à se pencher sur certains dossiers, comme celui de l’ostéoporose.

Une récente étude, rapportée par Santé Log et publiée par l’Hebrew SeniorLife Institute for Aging Research, associée à Harvard, révèle qu’il ne faut pas compter uniquement sur les produits laitiers lorsqu’on souffre d’ostéoporose.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne les fractures, qui ne seraient pas systématiquement évitables en consommant des produits laitiers.

Attention cependant, plusieurs effets bénéfiques de ces produits sont toujours vérifiables. Il ne faut donc pas abandonner la formule complètement.

On note des effets moindres sur les hanches et la colonne vertébrale, ainsi que contre les fractures éventuelles.

Malheureusement, l’étude n’apporte pas de réponse quant à quel produit choisir ou vers quelles solutions se tourner pour éviter les fractures et les problèmes aux hanches et à la colonne. On souhaiterait obtenir plus de réponses…

D’ici là, on rappelle que le yogourt est en tête de liste des aliments laitiers bénéfiques, tout comme le lait à part entière. On suggère de consommer des fromages de façon modérée, notamment à cause de leurs apports en gras et en sel.

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Le mois de février serait-il le plus difficile pour le sommeil?

Si vous avez des problèmes de sommeil comme l’insomnie, ou que vous arrivez à dormir, mais que le sommeil ne s’avère pas réparateur, il faudra peut-être pointer du doigt le mois dans lequel on se trouve.

En effet, selon une étude-sondage révélée par Top Santé, il appert que le mois de février serait le plus difficile pour les nuits de sommeil. C’est après avoir interrogé près de 21 000 répondants que les chercheurs anglais sont arrivés à cette conclusion.

Donc, nous dormirions plus mal en février, mais nous aurions aussi besoin de plus de temps pour sombrer dans les bras de Morphée, soit huit minutes de plus.

Plus encore, les pauvres gens qui souffrent déjà d’insomnie ou de problèmes à s’endormir auraient besoin de dix minutes supplémentaires avant de fermer l’œil!

On noterait déjà une amélioration dès les premiers jours du mois de mars.

Pour le professeur en tête de l’étude, Colin Espie, une partie de la réponse se trouve dans le froid, alors que les gens surchauffent leur chaumière afin de s’en protéger, ce qui nuit au sommeil de qualité.

Il semble également que les femmes soient davantage touchées par le phénomène.

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Les femmes stressées entendraient mieux que les autres

Voici une étude originale et intrigante qui prétend que les femmes soumises au stress auraient une ouïe plus développée que les autres, rapporte The National Library of Medicine.

Le problème, c’est que cette caractéristique ne serait pas aussi positive qu’elle pourrait le paraître, Car posséder une ouïe similaire à celle d’un superhéros apporte surtout son lot de pollution par le bruit.

On comprend de l’étude que ces femmes, en plus d’être déjà stressées, souffrent de cette « qualité », alors qu’une simple conversation peut devenir source de douleur.

Et on ne parle même pas des centaines d’autres bruits stridents que le citoyen moyen doit endurer quotidiennement sur la route, au travail ou entre les deux.

Dan Hasson, professeur associé à l’Institut Karolinska, commente l’étude en expliquant : « Quand vous êtes hypersensible aux sons, des sons souvent communs comme des ustensiles ou celui d’une voiture peuvent sembler très perçants pour les oreilles. Étant donné qu’il est commun que les gens travaillent ou évoluent dans des environnements bruyants et stressants, l’hypersensibilité peut devenir handicapante pour certains individus ».

Spécialement pour les femmes soumises au stress, conclut cette étude qui ne voit pas le même genre d’effet sur les hommes, à tout le moins pas aussi vérifiable.

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Certaines mutations génétiques sont liées à une récidive de leucémie

Nature Genetics publie les résultats d’une étude indiquant qu’un jour, les médecins seront peut-être en mesure de déjouer la leucémie lymphoblastique, qui constitue 25 % des cancers pédiatriques.

En analysant les gènes des patients, les chercheurs pourraient arriver à identifier l’émergence de la forme de cette leucémie, qui résiste à la chimiothérapie plus rapidement chez les patients, et changer de traitement avant que la maladie revienne en force.

Lorsque la leucémie lymphoblastique survient, la moelle épinière produit trop de globules blancs. Les avancées scientifiques ont énormément amélioré le taux de guérison, qui se situe maintenant autour de 80 %, mais le pronostic est très difficile pour les 20 % des enfants qui sont résistants au traitement.

Les chercheurs ont analysé la séquence génétique de 10 enfants atteints à trois différents moments, c’est-à-dire au diagnostic, durant la rémission et lors de la récidive.

Les résultats ont montré que ces enfants avaient tous acquis de 1 à 6 mutations génétiques durant leur maladie. Un total de 20 mutations spécifiques à la récidive de la leucémie ont été identifiées, et aucune n’avait été associée au cancer auparavant, selon EurekAlert!.

Armés de ces nouvelles connaissances, les médecins croient qu’ils seront plus en mesure d’identifier les patients qui vivront une récidive et d’agir plus promptement.

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Beaucoup moins de petits Anglais sont épileptiques

Dans le cadre de l’étude, les chercheurs ont analysé les données provenant de 344 000 enfants vivant en Grande-Bretagne, âgés de 0 à 14 ans, pour lesquels un suivi avait été effectué entre 1994 et 2008.

Ils ont constaté qu’il y avait 33 % moins d’enfants épileptiques parmi ceux nés entre 2003 et 2005, comparativement à ceux nés entre 1994 et 1996. Après avoir ajusté les données pour tenir compte de l’âge, du sexe et d’autres facteurs, les chercheurs ont quand même constaté que le taux annuel d’épilepsie avait baissé de 4 % entre 2001 et 2008 dans le pays.

« La baisse observée d’épilepsie depuis le milieu des années 90 pourrait être due à des diagnostics plus spécifiques, à l’arrêt du traitement pour certaines formes d’épilepsie ou à une exposition réduite à des facteurs de risque », a expliqué l’auteure de l’étude, Ruth Gilbert, selon Medical News Today.

Parmi ces facteurs de risques, on compte la méningite et les traumatismes crâniens.

Simon Wigglesworth, qui dirige l’organisme Epilepsy Action, a toutefois rappelé que l’épilepsie continue à être une des conditions neurologiques les plus fréquentes chez les enfants.

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Les médicaments contre l’épilepsie augmentent le risque d’autisme chez l’enfant

Le Journal of Neurology, Neurosurgery and Psychiatry a publié une étude portant sur 528 femmes enceintes. Parmi celles-ci, 243 étaient atteintes d’épilepsie, et 209 avaient pris des médicaments pendant leur grossesse. Le développement physique et intellectuel des enfants a ensuite été évalué à 12 mois, à 3 ans et à 6 ans.

Parmi les enfants, 19 avaient reçu un diagnostic d’un problème neuro-développemental avant l’âge de 6 ans, incluant 12 qui avaient un trouble du spectre de l’autisme (TSA), 4 qui avaient un déficit de l’attention et d’hyperactivité, et 4 qui avaient de la dyspraxie.

Les problèmes neuro-développementaux étaient beaucoup plus fréquents chez les petits des femmes qui avaient l’épilepsie, 7 % comparativement à moins de 2 % pour les mères non atteintes. Les enfants dont la mère avait pris un médicament en particulier, appelé valproate, avaient 12 % de chances de développer le TSA, et si ce médicament avait été pris en combinaison avec d’autres, c’était plutôt 15 %.

En comparaison, aucun enfant dont la mère avait l’épilepsie et n’avait pas pris de médicament durant sa grossesse n’a développé un TSA, selon Science Daily.

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De petits efforts quotidiens aussi efficaces que le gym

Si vous en avez marre de vous faire dire que si vous n’allez pas au gym, vous n’êtes pas dans le coup, une nouvelle étude en provenance des États-Unis vous donnera des armes pour répondre à ce genre de propos.

Selon ces chercheurs américains, une foule de petits gestes et efforts quotidiens permettent de bénéficier d’effets similaires à ceux obtenus grâce à l’entraînement en salle, et ce, à un prix bien plus modique.

Notamment, rapporte Top Santé, le simple fait de grimper un escalier quotidiennement permettrait de prévenir d’éventuels problèmes cardiaques, en plus de plusieurs types de maladies comme le diabète, le cancer, l’hypertension ou l’ostéoporose.

La marche et le jardinage sont aussi du lot, ainsi qu’une foule d’autres petits efforts accessibles à tous. La clé : bouger, simplement, au moins 30 minutes par jour.

« Il s’agit d’une façon plus naturelle de faire de l’exercice, juste en marchant et en bougeant un peu plus. Faire de l’activité physique un mode de vie est plus rentable qu’un abonnement au gym », croit fermement Brad Cardinal, coauteur de l’étude.

Pour y parvenir, vous devrez y mettre l’effort. Ainsi, il faudra choisir l’escalier au détriment de l’ascenseur, et faire des marches quotidiennes là où vous utilisez habituellement votre véhicule. Pas de gain sans effort!

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Nouvelle victoire pour la bière

C’est une autre victoire pour la bière, cette boisson alcoolisée populaire qui n’en finit plus de recevoir des honneurs ces derniers temps. Selon Top Santé, on viendrait de lui trouver une nouvelle propriété, préventive celle-là, en ce qui concerne le diabète.

Selon des spécialistes de l’Université de Washington, le bon vieux houblon permettrait de se protéger plus adéquatement de la terrible maladie, mais aussi de certains types de cancers et même du surpoids.

La bière pour contrer le surpoids? Revenons plutôt sur ces présumées propriétés anti- diabète. Selon une nouvelle étude publiée dans la plus récente édition du Angewandte Chemie International Edition, les humolones contenues dans la bière sont des éléments actifs fantastiques qui permettent une protection contre plusieurs maladies comme le diabète, par exemple.

Cependant, les chercheurs précisent qu’ils ne comptent pas « prescrire » de la bière comme moyen de prévention, mais rappellent que leurs conclusions visent spécialement ces fameuses humolones.

On pourrait voir apparaître des dérivés d’humolones sous forme de médicaments, croit-on.

Un débat fait rage concernant la bière et ses effets, alors que plusieurs études sur le sujet se contredisent, mais ces temps-ci, la boisson alcoolisée connait de bons moments et jouit de l’appui de plusieurs spécialistes.

Ces derniers suggèrent la modération, soit deux bières maximum par jour pour les hommes, et une pour les femmes (moyenne).

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L’analyse génomique pourrait éliminer le besoin de médicaments chez certains enfants

Un chercheur de l’Hôpital Ste-Justine, le Dr Johnny Deladoëy, a rapporté le cas de deux enfants qui ont été hospitalisés en bas âge pour de l’hypoglycémie et des convulsions. Ils ont reçu un diagnostic d’insuffisance surrénale, qui cause un déficit de la sécrétion d’hormones contrôlant le taux de sucre et de minéraux dans le sang.

Ces enfants ont reçu un médicament appelé fludrocortisone, qu’ils devaient en principe prendre durant toute leur vie. Ce médicament coûtait cher et causait de l’hypertension. Au moment de l’étude, les enfants prenaient cette hormone de remplacement depuis 14 ans.

Les chercheurs ont analysé le génome des enfants, ce qui leur a permis de détecter le gène responsable de leur maladie, le gène POMC. L’identification de ce gène leur a permis de déterminer, sans l’ombre d’un doute, que seule la production du cortisol faisait défaut chez ces patients. Ils ont donc pu éliminer la fludrocortisone, qui est nécessaire pour réguler les minéraux, et donner uniquement du cortisol, qui régule le taux de sucre sanguin, et ce, sans danger pour les enfants.

Selon les chercheurs, « ce cas de médecine personnalisé est rendu possible grâce aux nouvelles techniques génomiques et n’est que la pointe d’un iceberg qui cache des centaines de cas de patients dont les chercheurs réussissent à affiner le traitement », rapporte EurekAlert!.