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Le syndrome métabolique serait lié au sexe et à l’ethnicité des enfants

Des chercheurs écossais ont analysé les résultats de 85 études portant sur le syndrome métabolique chez les enfants.

Cette revue de littérature suggère que ce syndrome est beaucoup plus présent chez les enfants obèses que chez ceux qui font simplement de l’embonpoint, et encore plus présent que chez les enfants de poids normal.

Le syndrome risquait également plus d’être diagnostiqué si les enfants présentaient des conditions reliées, par exemple une pression artérielle élevée ou encore une résistance à l’insuline.

Le problème est aussi beaucoup plus fréquent chez les garçons que chez les filles, et chez les enfants plus vieux, par rapport aux plus jeunes. Il y avait également un lien entre l’ethnicité et la région du monde dans laquelle vivaient les enfants. Les chercheurs ont suggéré que ce dernier lien soit étudié plus en profondeur dans des études subséquentes.

Le syndrome métabolique est une combinaison de problèmes médicaux qui, ensemble, augmentent le risque de développer des maladies cardiovasculaires et du diabète.

Certaines études suggèrent que la prévalence de ce syndrome serait de 25 % dans la population américaine. La prévalence augmente avec l’âge, et c’est pourquoi la présence du syndrome chez les enfants est préoccupante.

L’analyse a été publiée dans la revue médicale Metabolic Syndrome and Related Disorders.

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Le sulfure d’hydrogène pour vieillir en santé

On apprend, par l’entremise de Santé Log, que des chercheurs sont à explorer de nouvelles façons de faire en ce qui concerne le vieillissement et la santé.

On cherche de plus en plus à trouver de nouvelles techniques et de nouveaux éléments qui permettraient, sinon de vivre plus vieux, de vieillir mieux et en meilleure santé.

Des chercheurs chinois pourraient bien avoir fait une découverte intéressante concernant le sulfure d’hydrogène, ou l’hydrogène sulfuré si vous préférez.

Ces spécialistes de l’Université de Chine du Sud croient que les théories qui prêtent des vertus thérapeutiques et préventives au sulfure d’hydrogène sur le système nerveux et le système cardiovasculaire pourraient s’avérer tout à fait exactes.

En vous épargnant de tous les détails scientifiques complexes, disons simplement que si les chercheurs arrivent à mettre en pratique ces conclusions, on pourrait voir apparaitre d’importantes avancées concernant les problèmes inflammatoires, musculaires, vasculaires et même neurologiques qui surviennent avec l’âge.

« Les données disponibles à ce jour suggèrent fortement que H2S peut devenir le prochain agent majeur pour la prévention et l’amélioration des symptômes du vieillissement et des maladies liées à l’âge », résument les auteurs de cette étude fort prometteuse.

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Certains fruits et légumes pourraient protéger de la maladie de Lou Gehrig

Une nouvelle étude laisse croire que certains types de fruits et légumes pourraient prévenir efficacement la maladie de Lou Gehrig, dévastatrice s’il en est une, rapporte The National Library of Medicine.

On parle notamment de ceux riches en antioxydants, ces derniers étant de plus en plus louangés pour leurs propriétés sur l’organisme, notamment dans la prévention du cancer.

Ce sont maintenant leurs effets sur la maladie de Lou Gehrig qui sont observés, indiquent les chercheurs de Harvard en tête de l’étude.

Pour le Dr Alberto Ascherio, professeur d’épidémiologie et de nutrition, en plus d’être coauteur de cette nouvelle étude, il est important de trouver des outils pour contrer cette terrible maladie.

Il explique : « La maladie de Lou Gehrig est une maladie dégénérative dévastatrice qui se développe généralement entre 40 et 70 ans, et affecte davantage les hommes que les femmes. Comprendre l’impact de la nourriture consommée sur ce type de maladie est très important ».

Du nombre donc, on conseille fortement les fruits dits « colorés » comme la mangue et certains légumes comme les épinards et les carottes, pour ne nommer que ceux-là.

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Encore des munitions pour les végétariens

Les végétariens auront de nouvelles munitions pour faire la promotion de leur style de vie, alors qu’une nouvelle étude britannique vient louanger ce régime alimentaire sans viande.

L’étude, rapportée notamment par Radio-Canada, cible cependant particulièrement la santé cardiaque, qui serait grandement améliorée chez les végétariens.

On parle même d’une réduction des risques de développer une maladie cardiovasculaire de 32 %. Un pourcentage très élevé qui prouve encore une fois les bienfaits de ce mode de vie alimentaire.

L’étude en provenance de la réputée Université Oxford, en Angleterre, se base sur une enquête EPIC, qui analysait les cas de près de 45 000 sujets. Après avoir épluché toutes ces données, les conclusions sont sans appel pour le professeur Tim Key.

« Les résultats montrent clairement que le risque de maladies cardiovasculaires est d’environ un tiers plus bas chez les végétariens comparativement aux non-végétariens. »

Il est tout de même bon que chacun fasse ses propres choix alimentaires et ne choisisse pas le végétarisme sans conviction. Par contre, on se rend bien compte de l’impact des viandes (rouges, notamment) sur la santé, à long terme et en grande quantité.

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Les enfants très jeunes peuvent comprendre les sentiments des autres

L’étude s’est servie d’un test de fausse-croyance, une des rares tâches cognitives que les jeunes enfants, mais pas les primates, peuvent accomplir.

Pour ce test, une personne entre dans la pièce où se trouve l’enfant et cache un objet, par exemple des ciseaux, à un endroit que l’enfant peut voir. Une deuxième personne entre ensuite et met les ciseaux dans sa poche, sans que la première personne s’en aperçoive. Quelqu’un demande ensuite à l’enfant : « Où penses-tu que la première personne va chercher ses ciseaux? »

Cette tâche n’est pas évidente, parce que les enfants doivent avoir une « théorie de la pensée », ou une capacité de voir les choses selon la perspective d’une autre personne, dans ce cas-ci, la personne qui n’a pas vu l’autre prendre ses ciseaux.

Entre l’âge de 4 à 7 ans, la plupart des enfants des pays occidentaux peuvent répondre que la première personne va chercher à l’endroit où elle les avait cachés, parce qu’elle ne sait pas que quelqu’un d’autre les a pris.

Cette présente étude a fait le test avec des bébés, en ne se basant évidemment pas sur leur parole, mais plutôt en se fiant à leur regard. Celui-ci laissait entendre que les tout-petits comprennent le concept beaucoup plus tôt que ce que les chercheurs croyaient auparavant, selon Today’s Parents.

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Vers un traitement de la sclérose en plaques grâce à la testostérone?

Santé Log rapporte des conclusions dévoilées par des chercheurs de Strasbourg, en France, qui indiquent qu’un traitement de la sclérose en plaques est envisageable.

Ce traitement serait basé sur une utilisation de la testostérone, apprend-on, qui permet de régénérer des cellules qui créent un phénomène appelé myélinisation, qui mène à des cas de sclérose en plaques lorsqu’inefficace.

Ce phénomène se définit par un système protecteur des fibres nerveuses et du système nerveux central. Lorsque ce système est endommagé, la porte s’ouvre pour les maladies dégénératives et immobilisantes.

Il n’existe encore, hélas, aucun traitement pour contrer ou traiter la sclérose en plaques, dont souffrent près de trois millions de personnes dans le monde, selon les estimations.

Cela pourrait bientôt changer, car selon ces conclusions publiées dans la plus récente édition du magazine Brain, les réactions observées chez des souris chez qui on a tenté ce genre de traitement (par testostérone) ont été positives.

Les rongeurs sont parvenus à régénérer les cellules clés qui permettent la myélinisation, une première dans le domaine.

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Les traitements « alternatifs » semblent avoir une portée limitée contre le déficit d’attention

Des experts de l’European ADHD Guideline Group ont publié les résultats de leur analyse, portant sur les traitements « alternatifs » aux médicaments chez les enfants atteints de trouble du déficit de l’attention et d’hyperactivité (TDAH). Ils se sont attardés aux résultats de 54 études portant sur différents moyens d’intervention.

Même si plusieurs de ces études montraient des résultats positifs à la suite de différentes interventions psychologiques et alimentaires, le problème résidait plutôt dans leur conception, qui n’était pas nécessairement « en aveugle ».

Ce type d’étude est considéré comme le plus objectif, parce que les participants ne savent pas s’ils reçoivent le traitement ou encore un placebo. Les chercheurs ont noté que lorsque les études étaient « probablement en aveugle », les avantages significatifs de ces méthodes diminuaient.

Il y avait par contre deux méthodes dont les effets étaient prouvés : les suppléments d’acides gras libres ainsi que l’exclusion des colorants alimentaires artificiels.

Les auteurs ont conclu que « des preuves supplémentaires sur l’efficacité de méthodes comme les interventions comportementales, la rétroaction, l’apprentissage cognitif et les restrictions alimentaires sont nécessaires. La science aurait besoin d’études en aveugle avant de soutenir ces traitements contre le TDAH », rapporte MedPageToday.

Les stimulants restent le traitement de première ligne contre le TDAH, mais ces médicaments sont associés à des effets secondaires néfastes et à plusieurs incertitudes.

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Les désastres poussent les enfants de différents âges à des comportements contraires

En 2009, dans la région du Sichuan en Chine, un terrible tremblement de terre a causé la mort de 87 000 personnes. Des chercheurs qui se trouvaient déjà sur place pour mener une étude sur l’empathie et l’altruisme chez les enfants ont profité de l’occasion pour évaluer le comportement des jeunes en temps de crise reliée à un désastre naturel, fournissant ainsi une perspective plutôt rare.

Après le désastre, l’altruisme des enfants de 6 ans a chuté d’un tiers, tandis que chez les enfants de 9 ans, la volonté de donner aux autres a presque triplé. Trois ans plus tard, le niveau d’altruisme des enfants était retourné à son point de départ, tel qu’il était avant le tremblement de terre.

L’auteur de l’étude, Kang Lee, professeur à l’Université de Toronto, a expliqué que « l’effet négatif immédiat du tremblement de terre chez les enfants de 6 ans montre que l’altruisme est encore fragile à cet âge », selon ce que rapporte Science Daily.

À mesure que les enfants grandissent, leur cortex préfrontal devient plus mature et améliore les connexions dans les circuits reliés aux émotions.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Psychological Science.

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L’obésité chez les enfants pourrait augmenter le risque de sclérose en plaques

Neurology publie les résultats d’une étude menée aux États-Unis, s’attardant sur le cas de 75 enfants et jeunes qui avaient reçu un diagnostic de sclérose en plaques pédiatrique entre l’âge de 2 et 18 ans. Ces enfants ont ensuite été comparés avec un total de 913 097 enfants qui n’avaient pas la sclérose en plaques.

L’indice de masse corporelle a été évalué pour chaque enfant, et ceux-ci ont été classés en 4 catégories : poids normal, surpoids, obésité modérée et obésité extrême.

Les chercheurs ont constaté que plus de 50 % des enfants atteints de sclérose en plaques étaient en surpoids ou obèses, comparativement à 36 % des enfants et jeunes du groupe de contrôle.

Le risque de développer la sclérose en plaques était une fois et demi plus élevé pour les filles en surpoids, 1,8 fois plus élevé pour celles qui souffraient d’une obésité modérée, et 4 fois plus élevé pour celles qui se trouvaient dans la catégorie d’obésité extrême. Cette association n’a toutefois pas été constatée chez les garçons.

« Même si la sclérose en plaques pédiatrique est rare, notre étude confirme que les parents d’enfants obèses devraient être attentifs à des symptômes comme l’engourdissement ou la faiblesse dans les membres, et parler de ceux-ci à leur médecin », a noté l’auteure, Dre Annette Langer-Gould, selon Science Daily.

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Des médecins qui ressentent votre douleur

De nouvelles recherches tendent à démontrer que certains médecins peuvent littéralement ressentir la douleur de leurs patients, selon The National Library of Medicine.

Aussi étonnante que spectaculaire, cette théorie semble bien réelle aux yeux des chercheurs et des auteurs de ces recherches. Pour en arriver à une telle conclusion, ceux-ci ont tout bonnement numérisé les cerveaux de plusieurs médecins placés en simulation, et ont analysé les réactions du cerveau face à leurs actions.

Surprise, plusieurs réactions empathiques ont été remarquées chez un nombre respectable de sujets, et les activités cérébrales subséquentes ont été tout aussi vérifiables.

« C’est l’effet placebo, mais du point de vue du médecin », croit Ted Kaptchuk, directeur de programme à l’école de médecine de Harvard, notamment.

Karin Jensen, coauteure de cette recherche, en rajoute : « Non seulement les médecins et praticiens ressentent l’effet miroir de la douleur de leurs patients, mais ils vont aussi créer des sentiments de soulagement et d’espoir, à l’image de ceux qu’ils traitent ».

La plupart des 18 médecins participants à cette recherche ont ressenti de l’empathie pour leurs patients, ce qui fascine les chercheurs.

D’autres ont démontré beaucoup moins d’émotions face aux patients et aux traitements qu’ils recevaient, ce qui laisse croise aux chercheurs qu’il vaudrait mieux se trouver un médecin de famille qui est capable d’empathie, pour de meilleurs traitements.