Pourtant, il est important que le parent tente de rester calme et, surtout, qu’il ne culpabilise pas. Selon Psycho Enfants, 10 à 45 % des nourrissons passent par les douleurs intenses associées aux coliques.
Bien que les sources et raisons soient diverses, les coliques peuvent souvent être traitées. Il suffit d’en parler à votre médecin.
Par contre, l’apport du parent est essentiel. Votre bébé aura besoin du réconfort de vos bras. N’hésitez pas à le masser, le bercer, lui frotter le ventre pour l’aider à se libérer des crampes.
Les causes – Les coliques digestives ou crampes abdominales qui causent des rots et des gaz, l’inflammation de l’œsophage, qui résulte en régurgitations fréquentes, et la constipation, créée par l’air avalé quand l’enfant tète trop rapidement. Il y a aussi des causes allergiques ou d’intolérance au lactose ou aux protéines de lait de vache.
Les solutions – Les coliques disparaissent habituellement entre le 3e et 4e mois. La constipation peut être réglée par un biberon coudé qui diminue l’air qui peut se glisser entre les succions, et les intolérances demandent le remplacement du lait, puis la réinsertion de ce dernier éventuellement.
Évidemment, les pleurs répétés, excessifs et interminables ont un impact psychologique parfois important chez les parents. N’hésitez donc pas à confier votre bébé à une personne de confiance, le temps de prendre l’air.