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Le recul de l’heure nuit aux enfants

On lit dans le Journal of Physical Activity and Health que le passage de l’heure avancée à l’heure normale aurait des désavantages pour la santé des enfants. Il semble que la diminution des heures d’ensoleillement ait un impact sur l’ampleur de l’exercice pratiqué par ces derniers.

Il semble que les enfants passeraient plus de temps à jouer à l’extérieur si la lumière du jour n’était pas diminuée.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi 325 enfants dans leur routine quotidienne durant plus de 800 jours, soit à travers les quatre saisons de l’année. Il en est ressorti que les enfants étaient plus actifs quand les journées comprenaient plus de 14 heures d’ensoleillement.

De plus, lors des longues journées, les enfants avaient passé 22 % plus de temps à l’extérieur, à y jouer. Lorsque les jours sont devenus plus courts, leur temps passé dehors a diminué de 13 %.

Cette observation pourrait avoir un impact sur de futures mesures à prendre pour promouvoir l’activité physique et pour contrer l’épidémie d’obésité actuelle.

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Bienfaits rapides de l’exercice chez les enfants

Des chercheurs de la Georfia Health Sciences University présentent leurs conclusions quant à un programme d’exercice suivi par des enfants obèses. Après 12 semaines, on a remarqué une baisse du taux de gras viscéral, une amélioration de la sensibilité à l’insuline et des os plus forts chez les participants.

Ces derniers étaient du nombre de 222 et ils étaient âgés de 7 à 11 ans. Parmi eux, un groupe ne faisait pas d’aérobie, un deuxième en faisait d’un degré modéré (20 minutes par jour) et un troisième en faisait à un degré vigoureux (40 minutes par jour).

Les effets ont été remarqués parmi le groupe qui faisait un exercice quotidien rigoureux. Les chercheurs soulignent donc l’importance de l’activité physique quant à la santé à long terme.

Cette recherche a été présentée récemment lors de la rencontre annuelle (2011) de l’American Society for Bone and Mineral Research; un aperçu en a été publié sur Endocrine Today.

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Le chocolat noir aussi bon que le sport

Manger du chocolat noir est aussi bon pour le cœur et les muscles que faire de l’exercice physique.
 
Selon l’étude parue dans le Journal of Physiology, le chocolat noir contient un composé végétal, l’épicatéchine, qui stimule la croissance musculaire de la même façon que l’activité physique.
 
Si vous consommez une petite dose de chocolat noir et que vous faites en plus de l’exercice, vos performances physiques peuvent être améliorées de 50 %.
 
Les chercheurs ont observé trois groupes de souris. Le premier groupe avait reçu un type d’épicatéchine issu du cacao à raison de deux fois par jour pendant 15 jours. Le deuxième groupe, en plus de l’épicatéchine, faisait 3 minutes de tapis roulant. Le dernier groupe ne faisait que de l’exercice.
 
On a noté que l’épicatéchine était bénéfique pour le cœur et les muscles. Les souris ont produit plus de mitochondries qui alimentent les cellules du corps, ce qui permet de donner plus d’énergie.
 
On espère maintenant obtenir les mêmes résultats chez les humains.
 
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Le sodium et le manque d’exercice affectent aussi le cerveau

Le Neurobiology of Aging mentionne que les personnes âgées qui mènent une vie sédentaire et ont une alimentation riche en sodium sont plus exposées à un déclin cognitif.
 
L’étude, menée en collaboration entre le Baycrest de Toronto, l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal et les universités de McGill et Sherbrooke, démontre que le sodium n’expose pas seulement à des problèmes cardiaques et de l’hypertension, mais peut aussi affecter le cerveau.
 
1 262 Québécois âgés de 67 à 84 ans ont été suivis pendant trois ans. Ceux qui consommaient moins de sodium souffraient moins d’hypertension et d’autres problèmes.
 
Toutefois, on a également constaté que les personnes sédentaires qui consommaient peu de sodium n’étaient pas exposées au déclin cognitif.
 
Donc, c’est vraiment une alimentation salée qui pose problème.
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L’exercice peut prolonger la vie, la télévision peut la raccourcir

Deux études mentionnent qu’à peine 15 minutes d’exercices par jour peuvent prolonger la vie de trois ans, alors que regarder la télévision 6 heures par jour diminue l’espérance de vie de cinq ans.

La première étude est parue dans The Lancet et a été effectuée auprès de 400 000 personnes à Taïwan de 1996 à 2008. Les résultats démontrent que les personnes qui faisaient 15 minutes d’exercices quotidiennement réduisaient leur taux de mortalité général de 14 % et leur risque d’avoir le cancer de 10 %, et ce, en plus de prolonger leur espérance de vie de trois ans.

À l’inverse, les personnes qui ne faisaient aucun exercice augmentaient leur taux de mortalité de 17 %.

Quant à la télévision, cette étude a été publiée dans le Bristish Journal of Sports Medicine et effectuée à l’Université de Queensland en Australie auprès de 11 000 personnes, entre 1999 et 2000.

On a calculé qu’une moyenne de six heures passées devant la télévision représente un taux d’inactivité physique trop élevé et par conséquent, cela entraîne une réduction de la longévité de cinq ans.

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L’exercice peut prolonger la vie, la télévision peut la raccourcir

Deux études mentionnent qu’à peine 15 minutes d’exercices par jour peuvent prolonger la vie de trois ans, alors que regarder la télévision 6 heures par jour diminue l’espérance de vie de cinq ans.

La première étude est parue dans The Lancet et a été effectuée auprès de 400 000 personnes à Taïwan de 1996 à 2008. Les résultats démontrent que les personnes qui faisaient 15 minutes d’exercices quotidiennement réduisaient leur taux de mortalité général de 14 % et leur risque d’avoir le cancer de 10 %, et ce, en plus de prolonger leur espérance de vie de trois ans.

À l’inverse, les personnes qui ne faisaient aucun exercice augmentaient leur taux de mortalité de 17 %.

Quant à la télévision, cette étude a été publiée dans le Bristish Journal of Sports Medicine et effectuée à l’Université de Queensland en Australie auprès de 11 000 personnes, entre 1999 et 2000.

On a calculé qu’une moyenne de six heures passées devant la télévision représente un taux d’inactivité physique trop élevé et par conséquent, cela entraîne une réduction de la longévité de cinq ans.

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L’exercice régulier aide à vaincre le cancer

L’exercice régulier comme la marche, la natation ou le cyclisme est non seulement bon pour garder la forme, mais les patients atteints d’un cancer qui demeurent actifs voient leur chance de survie grandement améliorée. 

L’étude rapportée par MedicMagic et effectuée auprès de cancéreux montre que ceux qui s’entraînaient pendant et après les traitements anti-cancer avaient un taux de survie plus élevé et un taux de récidive moindre que ceux qui étaient moins actifs.
 
On a également démontré que l’activité physique pendant les traitements n’avait pas aggravé l’état de santé des malades, ne causait pas de fatigue, mais aurait plutôt eu des effets positifs sur l’humeur et le bonheur.
 
Après les traitements, l’exercice diminue l’incidence des effets secondaires comme l’anxiété, la dépression, la fatigue et les perturbations du poids.
 
Les femmes atteintes d’un cancer du sein qui pratiquaient une activité physique environ 150 minutes par semaine, à une intensité modérée, ont réduit les risques de décès et de récidive de 40 %.
 
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Adoptez le régime méditerranéen pour prolonger votre vie

L’American Journal of Clinical Nutrition nous apprend qu’adopter le régime méditerranéen qui se compose surtout de légumes, d’huile d’olive et de poisson, arrêter de fumer, faire de l’exercice et maintenir un poids santé, permettrait de prolonger sa vie de 15 ans pour les femmes et de 8 ans et demi pour les hommes. 

Ce mode de vie sain réduit les risques de mort prématurée, c’est ce qui ressort de l’analyse des données de 120 852 personnes âgées de 55 à 69 ans.
 
Le régime méditerranéen, l’abandon du tabac, 30 minutes d’activités par jour et maintenir un indice de masse corporelle (IMC) entre 18,5 et 25 est le mode de vie le plus sain qui soit pour avoir une meilleure longévité, mais également réduire considérablement les risques de maladies diverses.
 
Les bienfaits du régime méditerranéen ont souvent été démontrés, il contient peu de matières grasses et de viandes rouges.
 
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Bien se nourrir avant et après l’exercice

Certaines personnes craignent de manger avant ou après s’être entraîné, pourtant il suffit de choisir les bons aliments, riches en nutriments et faibles en gras. 

Selon Healthmeup par exemple, avant d’aller courir ou marcher sur une courte distance,  vous pouvez manger une banane, les hydrates de carbone naturels garderont le corps bien éveillé.
 
Les œufs, avant ou après un entraînement, sont la source idéale de protéines et de graisses.
 
L’eau de coco sans sucre ajouté, après un exercice, permet d’éliminer les toxines. De plus, ne négligez pas les boissons protéinées. Certaines sont offertes en préparations en poudre que l’on mélange avec une boisson. Elles vous redonneront de l’énergie.
 
Il est préférable d’éviter de s’entraîner l’estomac vide, car vous manquerez d’endurance et d’énergie plus rapidement.
 
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Les parents sont plus conscients de l’obésité infantile

Une enquête menée auprès de 2 000 parents révèle que nous sommes de plus en plus concernés par l’obésité. Il semble même qu’un grand nombre d’entre eux (85 %) se sont dits responsables de l’état de santé de leurs enfants et souhaiteraient faire plus d’exercice avec eux.

Cette recherche américaine a aussi confirmé le taux grandissant d’obésité infantile dans la société d’aujourd’hui : un parent sur huit considérait que son enfant accusait un surpoids, lisons-nous sur OnePoll.

Plusieurs ont par ailleurs répondu que leur enfant était obèse et la majorité de ces derniers ont avoué tenir comme responsable leur mauvaise alimentation. Ajoutons que certains parlent encore beaucoup d’une possible raison génétique pour expliquer les problèmes de poids de leur progéniture.

Bien que les parents semblent conscients des défis que représente l’obésité chez la génération de demain, très peu semblent équipés pour y répondre efficacement. L’éducation demeure la meilleure voie.

À l’heure actuelle, seulement 58 % des répondants disaient avoir un enfant de poids normal. On prédit qu’en 2050, 25 % des enfants seront obèses, c’est-à-dire qu’ils auront un indice de masse corporelle supérieur à 30.