Étiquette : exercice

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Peu d’enfants bougent suffisamment même en pratiquant un sport

Une récente étude américaine nous apprend que seul le quart des enfants pratiquant des sports organisés y comble ses besoins quotidiens en activité physique.

Rappelons que le temps nécessaire d’exercices est de 90 minutes au Canada et de 1 heure aux États-Unis.

Parue dans Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine, cette étude de l’Université de San Diego a porté sur 200 enfants de 7 à 14 ans.

Ils ont tous été observés durant leur entraînement de soccer, de baseball ou de balle molle et un accéléromètre a permis de mesure leur degré d’activité physique.

De nombreux parents seront surpris d’apprendre que les enfants bougent beaucoup moins qu’ils ne le croient en faisant partie d’une équipe sportive.

En fait, 30 minutes de la période d’entraînement sont au départ jugées complètement inactives, car les enfants écoutent les consignes de leur entraîneur.

Les adhésions aux équipes sportives sont en augmentation, mais ces chercheurs affirment que les attentes des parents sont exagérées.

D’autres bienfaits de la participation à une équipe devraient donc être mis de l’avant, comme le développement des capacités et l’occasion de se faire des amis, par exemple.

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Du gingembre cru pour soulager la douleur musculaire

Une nouvelle étude démontre qu’une petite quantité de gingembre cru, consommée tous les jours, diminue la pression exercée sur les muscles durant l’entraînement. Ainsi, le gingembre pourrait aider à réduire la douleur musculaire causée par l’exercice physique.
 
Selon le Journal of Pain, les chercheurs ont donné 2 grammes de gingembre cru à un premier groupe de participants, la même quantité de gingembre traité à la chaleur à un deuxième groupe et les derniers participants ont reçu un placebo.
 
On a constaté que la chaleur augmentait la puissance du gingembre pendant 11 jours. Toutefois, 24 heures après un entraînement, ceux ayant eu le gingembre cru ont dit que leur douleur musculaire était de 25 % inférieure à ceux ayant reçu le placebo. Pour le gingembre traité à la chaleur, la douleur était moindre de 23 %.
 
Depuis très longtemps, le gingembre est utilisé contre les nausées, mais de récentes études démontrent qu’il possède d’autres propriétés puissantes. En poudre, il pourrait aider à tuer les cellules cancéreuses de l’ovaire.
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Promener le chien pour rester en forme

Les enfants sont plus enclins à bouger lorsqu’ils ont un chien, comme le prouve le résumé de ces études sur Parentcentral.ca.

On pourrait toutefois se demander si les enfants deviennent actifs en ayant un chien ou si les familles actives sont plus portées à adopter cet animal de compagnie.

Le mode de vie inhérent au chien fait tout de même en sorte que les 2 065 enfants d’une étude anglaise ayant un chien ont fait 357 pas quotidiens de plus et se sont assis 11 minutes de moins que ceux n’en possédant pas.

Christopher Owen, un épidémiologiste de l’Université St-George à Londres, a dirigé cette étude sur des enfants de 9 et 10 ans. Il a démontré que les enfants adoptaient ainsi un mode de vie actif, sans regard au sexe ou à la nationalité.

Dans le même ordre d’idée, sur les 1 145 enfants de la seconde étude, dirigée par Jo Salmon de l’Université Deakin à Victoria, en Australie, les propriétaires d’un chien avaient 50 % moins de chances de prendre du poids. Ce dernier a suivi des enfants de 5 et 6 ans, ainsi que de 10 et 12 ans.

Finalement, les parents d’enfants qui ont un chien sont eux aussi en meilleure forme et ils font souvent, au bout du compte, plus d’exercices que leur progéniture.

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L’exercice physique pour améliorer le cerveau des enfants

Si vous souhaitez avoir de petits génies, vous pourriez encourager vos enfants à bouger dès leur plus jeune âge.
 
Des scientifiques mentionnent que l’exercice physique permet de développer le cerveau. Les enfants actifs sont ainsi plus intelligents et ont une meilleure mémoire que ceux qui demeurent inactifs.
 
Selon leur étude, parue dans le Brain Research, les chercheurs de l’Université de l’Illinois, aux États-Unis, ont remarqué que les enfants actifs avaient une partie importante de leur cerveau 12 % plus grande que les enfants qui ne bougent pas.
 
Ils ont analysé le cerveau de 49 enfants avec l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), en plus d’évaluer leur condition physique en les faisant marcher sur un tapis roulant.
 
Les enfants qui s’adonnent à des activités physiques ont l’hippocampe, la partie du cerveau qui gère la mémoire et l’apprentissage, 12 % plus développé que leurs confrères.
Ils obtiennent de meilleurs résultats dans les tests de mémoire et aussi à l’école.
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Seuls les régimes peuvent faire perdre du poids

Le problème croissant de l’obésité ne serait pas dû au mode de vie sédentaire, mais davantage au fait que les gens mangent plus qu’avant. C’est donc une question d’alimentation, affirment les chercheurs dans l’International Journal of Obesity.
 
Contrairement à la croyance populaire, l’exercice n’est pas le meilleur moyen pour perdre quelques kilos. Les experts ajoutent que leurs recherches démontrent que nous ne sommes pas moins actifs qu’il y a vingt ans.
 
Selon le professeur John Speakman de l’Université Aberdeen et des collègues néerlandais qui ont analysé la dépense énergétique de la population au cours des deux dernières décennies, nous ne sommes pas moins actifs, mais nous mangeons plus.
 
Les enfants qui marchent moins pour se rendre à l’école et le nombre croissant d’émissions de télévision ne sont pas nécessairement synonymes de prise de poids.
 
Par exemple, un enfant qui est conduit pour aller à l’école aura plus de temps pour courir dans la cour de l’établissement. Quant à la télévision, elle a seulement remplacé d’autres activités sédentaires comme la lecture et l’écoute de la radio. Dans les années 50, personne ne faisait de vélo au milieu de son salon et maintenant, les gens enfourchent leur bicyclette stationnaire.
 
Même si ce n’est pas le meilleur moyen de perdre du poids, l’activité physique est primordiale dans un mode de vie sain et doit être pratiquée régulièrement pour conserver une bonne santé générale.
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Bouger diminue les prédispositions génétiques à l’obésité

Des chercheurs britanniques concluent qu’il est possible de réduire l’influence des variantes génétiques sur notre poids en adoptant un mode de vie actif.
 
20 430 personnes ont participé à l’étude. Les chercheurs ont constaté que la plupart d’entre elles avaient reçu 10 à 13 variantes génétiques qui les prédisposaient à l’obésité.
 
Le niveau d’activité physique de chacune a été évalué. On a ensuite établi un lien entre le nombre de variations génétiques de chaque participant et leur indice de masse corporelle. Les experts ont donc pu déterminer qu’un mode de vie actif diminuait l’influence génétique pour l’obésité.
 
Chez les plus actifs, la prise de poids a été de 379 grammes par variante, comparativement à 592 grammes chez les personnes inactives.
 
Donc, même en étant génétiquement programmé pour être obèse, il est possible de contrer ce phénomène en faisant de l’exercice régulièrement.
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Les espaces verts sont bénéfiques à la santé mentale

Si vous optez pour les espaces verts afin de vous adonner à vos exercices physiques, votre santé mentale s’en portera mieux. C’est ce que révèle une nouvelle étude qui a analysé 10 essais cliniques totalisant 1 252 participants.
 
On mentionne que pour maintenir ou améliorer son humeur et son estime de soi, rien n’est mieux que de pratiquer ses activités physiques dans un espace vert. Les effets bénéfiques sont considérables pour tout le monde, peu importe l’âge, la scolarité, le sexe, la santé ou même le niveau de richesse ou de pauvreté.
 
Les espaces verts seraient mieux que le gymnase et la ville pour améliorer sa santé mentale. L’amélioration de l’estime de soi est grandement bonifiée, surtout chez les jeunes et les personnes ayant des troubles de santé mentale.
 

Ainsi, on recommande que dans l’aménagement et le transport urbain, on tienne compte de donner un plus grand accès à des espaces verts à la population. Une marche, même légère et de courte durée, dans un parc est plus bénéfique que dans les rues.

 
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Une barbotine pour avoir plus d’endurance sous la chaleur

Sous la chaleur, le sang est dirigé vers la peau afin d’offrir un refroidissement. Ainsi, les muscles et le cerveau sont moins nourris. Plus il fait chaud, plus les efforts physiques deviennent difficiles, nous forçant à abandonner plus rapidement.
 
Des chercheurs pensent toutefois qu’en refroidissant le corps avant un exercice, cela permettrait aux gens d’avoir plus d’endurance. C’est l’expérience qu’ils ont tenté de démontrer avec de jeunes athlètes, rapporte le New York Times.
 
Ces athlètes ont bu une barbotine avant de monter sur un tapis roulant dans une chambre chaude. S’ils buvaient seulement de l’eau froide, ils pouvaient courir en moyenne 40 minutes. Avec une barbotine, ils demeuraient sur le tapis dix minutes de plus.
 
Par contre, l’effet serait de courte durée et ne vous permettrait pas par exemple de courir un long marathon. Toutefois, pour une course de 10 km ou des sports comme le tennis, le soccer ou le football, les barbotines vous permettraient d’échapper à la chaleur un peu plus longtemps.
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20 % de la population ne ressent aucun bienfait de l’exercice

Des chercheurs londoniens en arrivent à une conclusion étonnante qui risque de soulever la colère des groupes qui prônent l’activité physique.
 
Selon le docteur James Timmons et son équipe de l’université de Londres, environ 20 % de la population perdrait son temps à courir, nager, faire de l’aérobie ou toute autre activité physique. Les chercheurs affirment en effet que ces personnes ne ressentent pas les bienfaits de l’exercice sur leur santé, car elles n’ont pas une prédisposition génétique qui le permet.
 
Selon eux, ces personnes devraient donc se concentrer sur leur alimentation afin que celle-ci soit équilibrée pour éviter les problèmes de santé comme les maladies cardio-vasculaires.
 
Selon le Dr Timmons, cette étude ouvre la voie à de futures recommandations personnalisées d’après les résultats d’un test d’ADN effectué sur la personne. Ainsi, on pourrait mettre à exécution un plan qui permettrait à ces individus de rester en forme et de préserver une bonne santé, notamment celle de leur cœur.
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Trop d’exercices pourraient être nuisibles

Des chercheurs américains viennent de constater que trop d’exercices physiques pourraient être nocifs pour la santé.

Les personnes de 45 à 55 ans très actives ont plus de chances de développer de l’arthrose. Cette forme d’arthrite touche principalement les femmes, notamment en vieillissant et en raison d’un surplus de poids.

On a toutefois découvert que les personnes de poids normal qui faisaient beaucoup d’exercices avaient autant de chance de développer la maladie.

236 personnes, 136 femmes et 100 hommes, de 45 à 55 ans ont participé à l’étude effectuée par une équipe de l’Université de la Californie. Les participants ont été répartis en trois groupes selon leur niveau d’activités physiques. On a ensuite examiné les genoux de toutes ces personnes.

Les sauts et la course seraient deux activités très dommageables pour les genoux, les cartilages et les ligaments. Chez les sujets qui faisaient le plus d’exercices, soit plusieurs heures par semaines, on a découvert des blessures comme des déchirures et des lésions liées à la quantité d’exercices.

Maintenant, on souhaite étudier les effets de différents types d’activités, mais tout porte à croire que les exercices provoquant un choc ou exerçant un poids sur les genoux seraient les plus dommageables. Les activités avec moins d’impacts, comme la natation par exemple, auraient plutôt un effet de protection pour la santé des cartilages et préviendraient l’arthrose.