Une étude menée auprès de 4 383 adultes démontre que les personnes qui étaient le moins en forme étaient deux fois plus à risque de mourir au cours des 9 prochaines années.
« Nos résultats démontrent que la sédentarité, plutôt que les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires ou l’âge, peut expliquer les taux de mortalité chez les personnes moins actives », a souligné l’auteure de cette recherche, la Dre Sandra Mandic de l’Université d’Otago en Nouvelle-Zélande.
La chercheuse prétend que les 2/3 des candidats ayant participé à son étude ne suivaient pas les recommandations en matière d’activité physique, soit 30 minutes 5 jours ou plus par semaine.
Les participants ont été répartis en 5 groupes selon leur degré de forme physique. Le quart de ceux qui étaient dans le groupe le plus sédentaire est décédé au cours des neuf années qu’a duré cette recherche, selon la Dre Mandic.