Catégories
Uncategorized

L’exercice, même à petites doses

Une étude menée auprès de 4 383 adultes démontre que les personnes qui étaient le moins en forme étaient deux fois plus à risque de mourir au cours des 9 prochaines années.

« Nos résultats démontrent que la sédentarité, plutôt que les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires ou l’âge, peut expliquer les taux de mortalité chez les personnes moins actives », a souligné l’auteure de cette recherche, la Dre Sandra Mandic de l’Université d’Otago en Nouvelle-Zélande.

La chercheuse prétend que les 2/3 des candidats ayant participé à son étude ne suivaient pas les recommandations en matière d’activité physique, soit 30 minutes 5 jours ou plus par semaine.

Les participants ont été répartis en 5 groupes selon leur degré de forme physique. Le quart de ceux qui étaient dans le groupe le plus sédentaire est décédé au cours des neuf années qu’a duré cette recherche, selon la Dre Mandic.

Catégories
Uncategorized

Un régime pour prévenir l’Alzheimer

Une alimentation riche en fruits, en légumes et en oméga-3 ainsi qu’un programme d’exercice physique régulier font diminuer le risque d’être touché par la maladie neurodégénérative, nous apprend une récente étude publiée dans le Journal of the American Medical Association.

Le Dr Nikolaos Scarmeas, de l’Université Columbia à New York, et son équipe ont évalué les effets d’un régime méditerranéen et du sport sur l’apparition des premiers symptômes de l’Alzheimer auprès de 1 880 aînés, dont l’âge moyen se situait à 77 ans.

Les chercheurs en concluent que l’incidence de la maladie diminue de 60 % lorsqu’on associe ces deux habitudes de vie, comparativement aux participants plus sédentaires et n’ayant pas une alimentation méditerranéenne.

 

Catégories
Uncategorized

Une bonne hygiène de vie payante

Une étude, dont les résultats se trouvent dans le Journal of the American Medical Association, arrive à la conclusion qu’une bonne alimentation, un programme d’exercice physique et un poids santé sont la clé pour un coeur en santé.

Le Dr Luc Djousse, de la faculté de médecine de l’Université Harvard, a travaillé avec 83 882 femmes et 20 900 hommes chez qui il a évalué le risque de maladies cardiovasculaires et les habitudes de vie.

Parmi toutes les bonnes habitudes à adopter, l’auteur de cette étude croit que c’est l’exercice physique qui se distingue. À titre d’exemple, le risque de défaillance cardiaque chez les sportifs est de 11 % et augmente à 14 % chez les sédentaires.

Catégories
Uncategorized

L’exercice pour contrer le cancer du sein

Après l’âge de 30 ans, l’exercice physique serait bénéfique pour contrer le cancer du sein, selon une étude présentée durant la réunion annuelle de l’American College of Sports Medicine tenue à Seattle.

Dans cette étude, Lisa Sprod et ses collègues de l’Université du Colorado du Nordont ont demandé à 4 296 femmes de parler de leurs activités physiques durant 4 étapes de leur vie, soit de 10 à 15 ans, de 15 à 30 ans, de 30 à 50 ans et au-delà de 50 ans.

Les chances de développer le cancer du sein par rapport à leur activité physique lorsqu’âgées de 10 à 30 ans n’ont révélé aucune corrélation, mais les femmes qui ont continué à faire de l’exercice passé l’âge de 30 ans ont réduit de façon considérable leur risque de développer la maladie.

« Nous avons établi la normale à 60 minutes par semaine. Celles qui faisaient moins de 60 minutes d’exercice par semaine étaient classées dans le groupe sous la moyenne et celles qui en faisaient au-delà de 60 minutes étaient classées dans le groupe au-dessus de la moyenne. »

Les chercheurs ont ensuite remarqué que les femmes de 30 à 50 ans qui étaient dans le groupe au-dessus de la moyenne avaient développé moins de cancer du sein que l’autre groupe. La même chose a été remarquée pour les femmes âgées de plus de 50 ans.

« Ce que cela laisse croire, c’est que plus vous faites d’exercice passé l’âge de 30 ans, plus vous réduisez vos chances de développer un cancer du sein », a conclu Mme Sprod.

Catégories
Uncategorized

Les Américains ne manquent pas d’exercice

Selon une étude qui a été présentée vendredi dernier (8 mai) lors d’une conférence internationale sur l’obésité à Amsterdam, l’obésité chez les Américains ne provient pas du fait qu’ils manquent d’exercice, mais plutôt de leur trop grande consommation de nourriture, rapporte Cyperpresse.ca.

Le directeur de l’étude, Boyd Swinburn, a affirmé que rien n’indiquait qu’une baisse de l’activité physique soit à l’origine de cette épidémie aux États-Unis. Il a ajouté que c’était en fait l’augmentation de l’ingestion d’énergie qui avait entraîné cette prise de poids.

En moyenne, les enfants ont grossi de quatre kilogrammes et les adultes de huit kilogrammes durant les trois dernières décennies aux États-Unis.

Les chercheurs ont découvert qu’en fait, les Américains devraient peser plus compte tenu de leur alimentation, ce qui signifie qu’ils ont probablement intensifié leur activité physique.

Afin de retrouver leur poids des années 70, les enfants américains devraient réduire leur consommation de 350 calories par jour. Les adultes, quant à eux, devraient la réduire de 500 calories.

Catégories
Uncategorized

Les bienfaits du déjeuner

Il n’y a pas que l’exercice physique qui aide à brûler les calories, le petit déjeuner peut aussi contribuer.

La Dre Emma J. Stevenson et son équipe de l’Université de Nottingham affirment que les femmes sédentaires qui prennent quotidiennement un petit déjeuner riche en fibres et composé d’aliments à faible indice glycémique brûlent plus rapidement les calories.

Parmi les déjeuners recommandés, on note des céréales muesli, du lait, du yogourt, des pêches en conserve et une petite quantité de jus de pomme. Ce type de repas facilite l’oxydation des glucides, selon la Dre Stevenson.

Tous les détails se retrouvent dans la revue médicale The Journal of Nutrition.

Catégories
Uncategorized

Les bienfaits de l’exercice chez les jeunes

Des chercheurs de l’Université de l’Alabama à Birmingham ont démontré que les adolescents qui pratiquent régulièrement du sport brûlent davantage de calories et métabolisent mieux la glycémie, ce qui les protège du diabète de type 2.

32 jeunes ont participé à cette étude où l’on a mesuré leurs mouvements durant la journée grâce à un accéléromètre.

Les chercheurs ont découvert que ceux qui étaient modérément actifs au cours de la première semaine de leurs travaux avaient un métabolisme plus rapide que les adolescents sédentaires. Ils avaient également une meilleure facilité à éliminer le sucre dans leur organisme.

Pour l’auteure de cette recherche, la Dre Amy S. Thomas, l’intensité du sport pratiqué ne semble pas jouer dans la balance puisque même la marche a démontré les mêmes résultats.

Catégories
Uncategorized

Régime et exercice contre le diabète

Selon une étude menée par le Dr Guangwei Li et publiée dans la revue médicale The Lancet, un régime adapté et de l’exercice physique pourraient retarder le diabète de plusieurs années, voir même jusqu’à 14 ans.

Entre 1986 et 1996, 577 sujets âgés de 25 à 70 ans ont été en observation. Ces derniers avaient une intolérance au glucose, l’un des symptômes souvent associés au diabète de type 2.

Parmi les participants qui ont radicalement modifié leurs habitudes de vie, l’incidence de diabète a diminué de moitié pendant la recherche et de 43 % 20 ans après le début des observations.

Chez le groupe témoin, le taux de détection du diabète était de 11 %, tandis qu’il était de 7 % lorsque les participants étaient actifs et soumis à un régime.

Seulement au Canada, environ deux millions de personnes sont atteintes de la maladie. On évalue qu’elle cause 6 % des décès à l’échelle mondiale.

Catégories
Uncategorized

Les bienfaits de l’exercice à 50 ans

Selon des chercheurs suédois de l’Université d’Uppsala, les hommes de 50 ans qui décident de s’entraîner gagnent 2,3 années de vie supplémentaires.

Le Dr Karl Michaëlsson a comparé le degré d’activité physique au poids, à la tension artérielle et au taux de cholestérol chez 2 205 hommes âgés de 50 ans au début des travaux. Au fil des années, son équipe de scientifiques a pris les mêmes mesures chez les sujets âgés de 60, 70, 77 et 82 ans.

Pour M. Michaëlsson, les participants les plus actifs voyaient leur risque de mortalité chuter. Malheureusement, l’auteur principal de cette recherche déplore que la moitié de la population masculine de plus de 50 ans opte pour la sédentarité.

Catégories
Uncategorized

De bonnes habitudes pour prévenir le cancer

Le chercheur Michael Marmot, de l’American Institute for Cancer Research, affirme que de saines habitudes de vie permettent de réduire du tiers l’incidence de cancer.

Convaincu que les gens peuvent prévenir l’apparition de la maladie, le Dr Marnot indique qu’une alimentation équilibrée, un programme d’exercices régulier et un poids santé diminuent de 40 % le risque de cancer du côlon et du sein.

22 autres experts ont travaillé avec M. Marmot à décortiquer les habitudes de vie liées à différents types de cancer, dont celui des poumons. Leurs conclusions vont dans le même sens que celles de la World Health Organization, qui recommande une alimentation riche en fruits et légumes, en produits de grains entiers, avec moins de portions de viandes.

« Notre étude démontre qu’en apportant des changements significatifs au quotidien, on peut réduire le nombre de cas de cancer », a conclu le Dr Marmot.