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Reprendre l’activité est plus bénéfique de façon graduelle

Inutile de vous presser à offrir des performances dignes d’un athlète olympique si vous comptez reprendre ou avez déjà repris l’activité physique en ce début d’année rempli de promesses.

Mieux vaut y aller de façon graduelle et progressive, selon ce que propose The National Library of Medicine, de façon à éviter les blessures et à conserver un degré de motivation suffisamment nécessaire à la continuation de votre résolution.

« Il est important de connaître et de respecter les limites de votre corps. Commencez avec un programme qui va doucement bâtir votre force et votre endurance », lance le Dr Joshua Harris, médecin sportif basé au Texas.

Un autre spécialiste, le Dr Shari Liberman, parle quant à lui d’une hausse des visites pour des foulures et des blessures aux poignets et aux chevilles au début de chaque nouvelle année.

Ces multiples sources et spécialistes suggèrent également de pratiquer plusieurs activités sportives différentes au cours d’une semaine ou d’un mois, afin de garder l’intérêt et d’entraîner le plus de parties du corps différentes possible.

On estime à 500 000 annuellement le nombre de blessures causées par des entraînements sportifs aux États-Unis seulement. L’histoire ne dit pas le nombre de cas de résolutions non tenues par démotivation suivant un départ trop rapide et intense aux premiers jours de l’année…

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3 adolescents sur 4 ne répondent pas aux normes de santé

La plus récente analyse des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), peut sembler décourageante, mais avec le taux d’obésité, elle n’est pas non plus surprenante.

L’information a été récoltée auprès du 2012 National Youth Fitness Survey, sondage auquel 800 adolescents ont participé. Ils ont été questionnés sur leurs activités physiques quotidiennes, puis ont subi des examens physiques pour appuyer les données.

Science World Report rappelle que les normes de santé physique ont été établies en 2008 pour les 12 à 15 ans.

Les chercheurs sont tout de même optimistes, puisque depuis l’établissement de ces normes, 25 % des adolescents participent désormais plus à des activités physiques extérieures, incluant des sports.

« Nous pouvons faire mieux que 25 % », suggère Tala Fakhouri, responsable de la présente étude. « Nous espérons voir ces résultats s’améliorer », a-t-il ajouté dans un communiqué.

Pour ce faire, il faut poursuivre les encouragements et les mesures déjà instaurées pour susciter l’intérêt chez les jeunes.

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Une majorité de gens surestime leur degré d’activité physique

Une majorité de gens surestimerait leur degré d’activité physique, selon des informations proposées par le Daily Mail (UK), et ne serait pas tout en fait en phase avec la réalité de leurs véritables réalisations personnelles en matière de sport.

Une équipe d’experts publient d’intéressantes statistiques dans le Medicine & Science in Sports & Exercise, qui révèlent que la plupart des gens se croient bien plus actifs qu’ils ne le sont en réalité.

De plus, les hommes seraient plus fautifs que les femmes, paraît-il, et auraient tendance à largement surestimer leurs efforts, toujours selon les informations rapportées.

Les hommes ajouteraient 56 minutes de trop à leur bilan d’activité physique hebdomadaire, contre 52 pour les femmes. Les deux sexes auraient cependant la tendance égale de sous-estimer le temps passé assis, à ne rien faire et à manger.

C’est en évaluant près de 1800 participants volontaires et leurs habitudes de vie que les chercheurs en sont venus à de telles conclusions, et si ces derniers ne proposent pas de solutions tangibles, on peut comprendre qu’il faudra s’assurer d’être un peu plus durs envers nous-mêmes et nos capacités afin de fournir un véritable effort qui aura de l’impact sur notre santé.

Fait intrigant en conclusion, les chercheurs estiment que les personnes possédant un bagage d’études universitaires auraient moins tendance à mentir ou à gonfler les faits que les autres!

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Malbouffe : Une expérience nutritionnelle des plus étonnantes

Un professeur américain a décidé d’ajouter son grain de sel dans le dossier épineux de la malbouffe et des habitudes alimentaires et de santé des Nord-Américains, avec des résultats étonnants, rapporte notamment Top Santé.

Le professeur John Cisna a en effet décidé de reprendre la formule Supersize Me du réalisateur Morgan Spurlock, version Cisna, et a mangé des repas fournis par McDonald’s chaque jour, trois fois par jour.

La variante, et elle est importante, consistait cependant à faire preuve de stratégie quant au choix des repas et, surtout, à ajouter l’exercice physique à sa routine afin de voir si cela pouvait compenser le burger quotidien.

Il a donc chaque jour ingurgité un œuf McMuffin le matin, accompagné de flocons d’avoine, une salade le midi, puis un trio classique le soir. Chaque journée était assortie d’au moins une marche de 45 minutes.

Résultat? John Cisna a perdu 37 livres. Et il y a plus, le professeur a vu son taux de mauvais cholestérol retrouver un seuil beaucoup plus normal qu’auparavant.

« Ce sont nos choix qui nous rendent gros, pas McDonald’s », lance en conclusion John Cisna, non fier d’avoir réussi son expérience, qui en dit long sur les impacts de l’activité physique sur le poids et la santé. 

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Le stress et l’anxiété directement liés aux risques de crise cardiaque

Oui, être anxieux et stressé peut vous mener tout droit à la crise cardiaque. Voilà la conclusion large que l’on peut tirer de l’étude publiée et rapportée par l’American Heart Association.

L’anxiété, qui frappe de plus en plus de gens, semble-t-il, apparait comme un facteur de risque très important pour l’équipe de chercheurs américains basés à l’Université de Pittsburgh, en Pennsylvanie.

Menée par la Dre Maya Lambiase, l’équipe tire ces conclusions après l’analyse des résultats découlant du suivi de plus de 6000 patients, sur une période de 22 ans.

« Tout le monde fait de l’anxiété de temps en temps. Mais, quand c’est élevé ou chronique, cela peut avoir un effet sur vos années vasculaires au bout de la route », explique Lambiase, qui estime à 33 % la hausse des risques de crise cardiaque chez les personnes anxieuses.

Cependant, elle et son équipe tracent également un lien entre l’anxiété et la mauvaise alimentation, le tabagisme et l’absence d’exercice physique, qui contribuent tous de façon indirecte à ce lien observable.

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Les différents impacts du sport selon l’heure de la journée

On le sait, il faut se mettre au sport, à l’activité physique, et mener une vie active. Les différentes options en matière d’exercice sont nombreuses et permettent différents changements ou impacts sur le corps, mais saviez-vous que le moment de la journée que vous choisirez pour pratiquer votre activité physique préférée aurait lui aussi un impact direct sur le type de résultats obtenus?

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, en se basant sur quelques études réalisées sur le sujet, notamment de l’Appalachian State University en Caroline du Nord, de l’Université de Californie et de l’Université de Chicago.

Ainsi, on apprend que le meilleur moment pour perdre du poids grâce au sport serait le matin, très tôt, entre 6 h et 8 h. On attribue cet effet sur le poids au niveau élevé de cortisone observable le matin, et qui permet de brûler graisse et calories plus aisément.

L’activité physique en après-midi aurait plutôt un impact biologique sur le rythme circadien, et permettrait davantage de lutter et prévenir plusieurs maladies et troubles de l’humeur.

Pour terminer, ceux qui choisissent de pratiquer une activité physique le soir, soit entre 17 h et 19 h, verront leurs niveaux de stress et d’anxiété diminuer grandement, en plus d’afficher de meilleures performances qu’à tout autre moment de la journée.

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L’exercice stimule aussi la créativité

Une nouvelle étude trace un lien entre les performances créatives et l’activité physique, rapporte le Daily Mail (UK), et explique que cette dernière pourrait même venir à bout du fameux syndrome de la page blanche.

Une bonne nouvelle pour les penseurs, écrivains et rédacteurs de ce monde, même si cette catégorie de professionnels n’est pas toujours reconnue pour sa passion pour le sport.

Une bonne raison de s’y mettre, cependant, si l’on se fie aux conclusions de l’étude proposée par ces chercheurs de l’Université Leiden, aux Pays-Bas. Ceux-ci ont observé les capacités créatives et de réflexion de deux groupes de sujets, dont l’un pratiquait fréquemment des activités physiques, alors que l’autre pas, on aura compris.

Le groupe de sujets qui a ajouté l’exercice physique à sa routine hebdomadaire a démontré beaucoup plus d’habileté à trouver des réponses et des solutions créatives à des problèmes donnés et des questions précises, ce que les chercheurs attribuent à une meilleure « pensée convergente ».

La pensée convergente se définit par la capacité à trouver le plus de solutions possibles à un même problème, explique l’équipe de spécialistes, qui publie les résultats de cette étude sur la créativité dans journal scientifique Frontiers in Human Neuroscience.

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Faire du sport… en le regardant?

Super nouvelle pour les sportifs de salon et les gérants d’estrade par excellence, alors que Top Santé rapporte une étude qui semble affirmer que le simple fait de regarder un match de sport à la télévision serait considéré comme une activité physique en soi.

Impensable? Supercherie?

Selon le professeur Vaughan Macefield, il n’en est rien. En fait, le spécialiste basé à Sydney, en Australie, publie une recherche dans le magazine Frontiers in Autonomic Neuroscience qui stipule que « d’observer des images de sportifs en activité augmente l’activité musculaire, le rythme cardiaque, la respiration, la circulation sanguine, l’activité du système nerveux central et même la transpiration, des paramètres physiques normalement constatés sur des personnes en train de faire du sport ».

Le professeur a pu en arriver à de telles conclusions en installant une dizaine de sujets confortablement, puis en leur proposant tour à tour des images calmes, puis celles d’un match de sport enlevant.

En mesurant les réactions biométriques et électriques des sujets de l’étude, Macefield conclut que « les changements enregistrés étaient faibles, mais ils correspondaient aux réponses physiologiques à la pratique d’un exercice physique. Nous savons que le système nerveux sympathique, responsable du rythme cardiaque, des glandes salivaires ou encore des vaisseaux sanguins, accroit son activité lors de l’activité physique. Nous avons montré que son activité augmente également lorsque vous regardez une scène d’activité physique, comme si vous courriez vous-même ».

Incroyable, non? Cela dit, cette démonstration ne vous fera en rien perdre les calories ingérées en vous goinfrant devant un match de votre équipe préférée ni ne vous fera des abdos d’enfer, mais s’avère un baume sur le coeur des amateurs de sports professionnels télévisés. 

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La modération a bien meilleur goût, même dans le sport

Le professeur et pédiatre Richard Bélanger souhaite sensibiliser les amateurs de sport au phénomène de surentraînement, rapporte Radio-Canada, notamment chez les jeunes.

Le Dr Bélanger indique que même s’il est fantastique et hautement bénéfique de s’intéresser au sport et de pratiquer des activités physiques, il est tout aussi important de savoir tracer une ligne et d’éviter d’en faire trop.

Pour étayer ses propos, le spécialiste s’est allié à des chercheurs de l’Université de Genève et de l’Université de Suisse pour mener à bien une étude sur le sujet. L’équipe a donc analysé les cas de 1245 jeunes individus, âgés de 16 à 20 ans.

En observant différents facteurs et différentes réactions chez les sujets de l’étude, Bélanger et ses collègues ont déduit que la « norme » de temps accordé aux activités physiques devrait s’établir à 7 heures par semaine.

En dépassant ce nombre, il semble que plusieurs problèmes puissent survenir, à savoir du surmenage, des troubles de l’humeur, des symptômes dépressifs et du stress.

Comme quoi la modération a bien meilleur goût, même dans le sport!

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Le jogging et le vélo seraient aussi bénéfiques pour le cerveau

S’offrir un jogging ou une randonnée de vélo de façon régulière n’aurait pas que des impacts positifs sur votre santé physique, semble-t-il, alors que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude sur le sujet qui vante les bienfaits des exercices aérobiques sur le cerveau.

Des activités comme la course et la bicyclette, donc, pourraient améliorer les capacités de la mémoire, en plus d’optimiser les performances du cerveau en général, selon les chercheurs texans en tête de la recherche.

Du coup, on peut prétendre que de tels impacts minimiseraient les risques de démence ou d’Alzheimer en vieillissant, croient également les experts.

On explique le phénomène notamment par une meilleure circulation sanguine au niveau des vaisseaux du cerveau, un effet particulièrement bienfaiteur chez les gens qui franchissent le cap de la cinquantaine.

L’équipe de l’Université du Texas croit donc qu’il est fort avantageux d’allier exercices aérobiques aux exercices mentaux (mots croisés, jeux vidéo ou interactifs, etc.), afin d’optimiser ses chances de vieillir en santé et de réduire les risques de maladies dégénératives.