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MuCEM : un an d’existence et 2,6 millions de visiteurs

Musée pluridisciplinaire, mais aussi site exceptionnel et désormais lieu de promenade, le Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) aura connu à Marseille en un an d’existence une affluence inespérée de 2,6 millions de visiteurs, selon les chiffres du musée.

« C’est une vraie joie de fêter un anniversaire dans une institution culturelle qui a été aussi rapidement adoptée par le territoire dans lequel elle est implantée, et même au-delà », commente son président Bruno Suzzarelli, un an après l’inauguration du musée national, le 4 juin 2013, par le président François Hollande.

Sur ces 2,6 millions de personnes (la moitié originaire de la région et 15 % d’étrangers), 850 000 ont parcouru les expositions, et 30 000 profité de la programmation artistique et culturelle. « On est bien au-delà de ce à quoi nous nous attendions », affirme M. Suzzarelli, qui tablait sur la moitié. « Notre offre correspondait à un besoin qu’avait Marseille d’accueillir un vaisseau culturel comme celui-ci », a-t-il dit.

Le musée a également accueilli « 446 rencontres, colloques, concerts-performances, spectacles, cinéma, événements et manifestations destinées au jeune public », a-t-il précisé dans un communiqué.

« Musée de société » ouvert à toutes les sciences sociales, le MuCEM veut parler d’histoire comme de l’actualité, et travailler à sa dimension internationale. « Nous ne voulons pas être européocentrés, nous voulons donner la parole aux autres pays », en particulier de tous les côtés de la Méditerranée, explique le président du musée.

À la rentrée 2014, les lieux accueilleront « Food », ou comment des artistes contemporains voient les problèmes alimentaires, déjà présenté dans une première version à Bruxelles et Sao Paulo. Parallèlement l’exposition « Un moment si doux » de Raymond Depardon sera proposée, avec des photos inédites de Marseille.

Parmi les rendez-vous de 2015, une exposition devrait être consacrée aux « lieux saints partagés » de la Méditerranée.

Ouvert pour coïncider avec l’année qui a consacré Marseille capitale européenne de la culture, le MuCEM, premier musée national décentralisé, est installé sur le front de mer de Marseille à l’entrée du Vieux-Port, dans un sombre cube contemporain conçu par Rudy Ricciotti, couplé au Fort Saint-Jean rénové.

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Le point G existe réellement

En 2010, des chercheurs affirmaient que le point G n’était qu’un mythe populaire, mais cette fois, une étude publiée dans le Journal of Sexual Medecine dit plutôt le contraire.
 
Des chercheurs de l’Institute of Gynecology de St-Petersburg en Floride ont découvert, sur un cadavre de femme, une zone distincte à l’endroit même où on mentionne depuis des années que le point G se trouve.
 
On y voit clairement une poche dont les rebords rappellent les tissus érectiles.
 
La zone érogène se situe sur la membrane périnéale, à 16,5 mm de la partie supérieure du méat urétral et à 35 degrés de l’urètre.
 
Cette zone est également appelée zone de Grafenberg, nom du sexologue allemand Ernest Grafenberg, qui a été le premier à évoquer l’existence du point G dans les années 50.
 
Elle est constituée de terminaisons nerveuses qui, lorsqu’elles sont activées, procurent un plaisir sexuel intense.
 
Après des années de débat, la nouvelle étude a réellement observé une zone bien distincte qui délimite le point G chez les femmes.