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Nouvelles quotidiennes

Une exposition dédiée à Amy Winehouse au Jewish Museum de Londres

« Amy était incroyablement fière de ses racines judéo-londoniennes. Alors que certaines familles partent à la mer les jours de beau temps, nous allions toujours dans l’East End de Londres », explique le frère de la chanteuse, Alex Winehouse, en introduction à une exposition au Jewish Museum de Londres consacrée à Amy Winehouse.

« C’est qui nous étions, et ce que nous étions. Nous n’étions pas religieux, mais traditionnels. J’espère que, dans ce lieu des plus appropriés, le monde pourra voir l’autre visage, non seulement d’Amy, mais aussi de la famille juive type. »

Cette exposition, qui ouvre ses portes le 3 juillet, coïncide avec l’anniversaire de la mort de la chanteuse (survenue le 23 juillet 2011). Elle est organisée jusqu’au 15 septembre à Camden Town et développe quatre thèmes : le Judaïsme, la famille et le foyer, Amy et Londres, et Amy icône de mode.

Cette rétrospective photo et vestimentaire de la star explore aussi l’influence qu’a eue la grand-mère de la chanteuse, qui a été en couple avec Ronnie Scott, célèbre propriétaire d’un club de jazz à Londres, qui a programmé Ray Charles en tout début de carrière.

Pour plus d’informations, visitez le site du musée.
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Une exposition dédiée à Amy Winehouse au Jewish Museum de Londres

« Amy était incroyablement fière de ses racines judéo-londoniennes. Alors que certaines familles partent à la mer les jours de beau temps, nous allions toujours dans l’East End de Londres », explique le frère de la chanteuse, Alex Winehouse, en introduction à une exposition au Jewish Museum de Londres consacrée à Amy Winehouse.

« C’est qui nous étions, et ce que nous étions. Nous n’étions pas religieux, mais traditionnels. J’espère que, dans ce lieu des plus appropriés, le monde pourra voir l’autre visage, non seulement d’Amy, mais aussi de la famille juive type. »

Cette exposition, qui ouvre ses portes le 3 juillet, coïncide avec l’anniversaire de la mort de la chanteuse (survenue le 23 juillet 2011). Elle est organisée jusqu’au 15 septembre à Camden Town et développe quatre thèmes : le Judaïsme, la famille et le foyer, Amy et Londres, et Amy icône de mode.

Cette rétrospective photo et vestimentaire de la star explore aussi l’influence qu’a eue la grand-mère de la chanteuse, qui a été en couple avec Ronnie Scott, célèbre propriétaire d’un club de jazz à Londres, qui a programmé Ray Charles en tout début de carrière.

Pour plus d’informations, visitez le site du musée.
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Potins

Exposition La Petite Vie

Pour la 20e année de mise en ondes de La Petite Vie, en collaboration avec les producteurs, le réalisateur Pierre Séguin et Avanti Ciné Vidéo, le Musée québécois de culture populaire rendra hommage à la série culte en offrant une exposition relatant la genèse de la série et incluant, entre autres, plusieurs articles du décor et une multitude de surprises.

C’est au Musée québécois de la culture de Trois-Rivières que l’exposition sera présentée du 20 juin jusqu’au 7 septembre 2014.

À l’intérieur, les visiteurs pourront s’asseoir sur le canapé de la famille Paré, se tenir dans sa cuisine et même découvrir quelques pâtés chinois au frigo, gracieuseté de Thérèse, voir le lit de Popa et Moman ainsi que les habits de Lison.

À l’extérieur, une petite salle de cinéma, aménagée dans la ruelle où les sièges rappellent la forme de sacs de vidanges si chers à Ti-Mé, permet au visiteur de visionner un montage avec du contenu original et des commentaires inédits de l’auteur Claude Meunier.

Ce dernier a d’ailleurs souhaité rester à l’écart du projet, car il a dit préférer découvrir le tout en même temps que le public.

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Une réplique géante du Trophée de l’Euro exposée à Paris

Durant deux jours, les 23 et 24 juin, la tour Eiffel ne sera plus la seule star du Champs de Mars, à Paris. Une réplique géante du Trophée du Championnat d’Europe de football de l’UEFA se prêtera au jeu des photographes amateurs.

Cette réplique haute de douze mètres du « Trophée Henri Delaunay » symbolisera le coup d’envoi de l’Euro 2016, organisé par la France. Elle sera installée dans la perspective de la tour Eiffel.

Mercredi 26 juin, l’UEFA, par le biais de son président Michel Platini, dévoilera le logo de la compétition.

24 équipes de football européennes s’affronteront du 10 juin au 10 juillet 2016 dans le cadre de l’Euro.

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Joan Miro, l’Arlequin artificier, s’expose en Bretagne dans une rare rétrospective

L’exposition Joan Miro, l’Arlequin artificier, une rare rétrospective portant un regard nouveau sur l’artiste catalan et les différentes formes d’art qu’il a explorées, s’ouvre à partir de samedi (15 juin) au centre d’art contemporain de la famille Leclerc à Landerneau.

La rétrospective du grand maître du surréalisme présente, en partenariat avec la fondation Marguerite et Aimé Maeght, 470 oeuvres dont certaines rarement exposées, car appartenant à des particuliers.

Organisée à l’occasion du 120e anniversaire de la naissance de Miro (1893-1983), elle puise dans les oeuvres de la Fondation Maeght, mais aussi de la Fondation Joan Miro de Barcelone, de la Bibliothèque de France et de particuliers, descendants et proches de l’artiste.

« C’est une exposition tout à fait exceptionnelle parce qu’il y a longtemps qu’on n’avait pas réuni autant d’œuvres de Miro en un seul lieu », se félicite Patrick Jourdan, commissaire général, en réglant les derniers détails avant le vernissage où sont attendues près de 2000 personnes.

Sur les 1000 m2 du Centre Hélène et Édouard Leclerc pour la Culture de Landerneau, berceau de la famille Leclerc, à 25 km de Brest, l’exposition, où sont attendus entre 40 et 50 000 visiteurs jusqu’au 3 novembre, est centrée sur la seconde partie de la vie de Miro, à partir des années 30-40 lorsqu’il décide de s’essayer à la céramique, la sculpture, l’estampe, sans jamais abandonner la peinture.

Le Fonds Hélène et Édouard Leclerc, entièrement financé par des actions de mécénat privées, se situe dans l’enceinte d’un ancien couvent de capucins du XVIIe siècle, à proximité de l’emplacement de l’épicerie fondée par Édouard Leclerc en 1949.

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Le Corbusier en vedette d’une grande exposition à New York

Près de 50 ans après sa mort, le MoMA de New York présente à partir du 15 juin une vaste exposition sur l’architecte, urbaniste, peintre et homme de lettres français Le Corbusier, la première de cette ampleur jamais montée par le célèbre musée d’art moderne.

Sur le thème Le Corbusier, un atlas des paysages modernes, l’exposition présente quelque 320 de ses œuvres, dessins, maquettes, photos, projets, croquis, mais aussi de nombreuses toiles et aquarelles de ce visionnaire souvent intraitable, qui rêvait aussi d’être reconnu pour sa peinture.

« C’est Le Corbusier observant le paysage, fabriquant des paysages. On a considéré que c’était un architecte qui méprisait les villes, qui voulait tout réduire à la même aune, on dit c’est le père des grands ensembles, ce qui est largement faux. C’est une œuvre qui mérite d’être redécouverte autrement, aussi pour ses qualités poétiques et artistiques », explique à l’AFP Jean-Louis Cohen, l’un des deux directeurs de l’exposition, professeur d’architecture à l’Université de New York.

Ses constructions n’étaient pas seulement des « machines-à-habiter » (une expression de Le Corbusier), mais aussi des « machines à regarder le paysage », ajoute-t-il.

L’exposition s’écrit de façon chronologique, mais aussi géographique, du Jura suisse où Le Corbusier, né Charles-Édouard Jeanneret-Gris le 6 octobre 1887, apprend d’abord la peinture, jusqu’au sud de la France où il est mort le 27 août 1965, en passant par Paris, l’Italie, l’Autriche, l’Allemagne, Istanbul, la Grèce, Buenos Aires, Rio, Moscou, Alger, l’Inde…

La rétrospective durera du 15 juin au 23 septembre et a coûté près d’un million de dollars. La Fondation Le Corbusier à Paris a prêté de nombreuses œuvres. D’autres viennent du Fonds Le Corbusier de La Chaux-de-Fonds, d’autres de la collection propre du MoMA.

L’exposition voyagera ensuite en Espagne, à Barcelone du 6 au 11 mai 2014 et à Madrid du 11 juin au 19 octobre 2014 à la Fundacio La Caixa.

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Exposition Astérix à la BNF, dopée à la potion magique

La Bibliothèque nationale de France accueillera du 16 octobre prochain au 19 janvier 2014 une grande exposition Astérix, l’irréductible Gaulois devenu culte au fil de 34 albums, bientôt 35, traduits en 107 langues et dialectes et vendus à plus de 350 millions d’exemplaires dans le monde.

Au coeur de la rétrospective, un don exceptionnel fait par Albert Uderzo à la BNF en mars 2011. Il recouvre les planches originales de trois albums : Astérix le Gaulois, premier titre de la série, publié dans le journal Pilote à compter du 29 octobre 1959, La Serpe d’or, deuxième épisode, et Astérix chez les Belges, vingt-quatrième album dont le scénariste René Goscinny, mort brutalement le 5 novembre 1977, ne vit jamais la publication.

Le prochain album, et premier sans Uderzo, Astérix chez les Pictes, doit sortir le 24 octobre, signé Jean-Yves Ferri (De Gaulle à la plage) et Didier Conrad (dessinateur de Raj et des Marsukids).

L’exposition restitue l’osmose entre Uderzo et Goscinny et la genèse d’Astérix, retraçant en parallèle l’enfance et la jeunesse des deux auteurs, leur rencontre, leurs créations communes, le lancement de Pilote, pour lequel ils recherchèrent un nouveau personnage et choisirent les Gaulois.

Puis des planches originales ou imprimées, notes manuscrites et scénarios dactylographiés dialoguent avec des pièces archéologiques « rappelant l’ancrage historique, mais aussi la distanciation parodique » de la série, souligne la BNF.

La troisième partie mesure et analyse le phénomène Astérix à travers son formidable succès national et international, les adaptations cinématographiques, l’exploitation publicitaire, la déclinaison en jeux et jouets, jusqu’à la création d’un parc d’attractions.

L’exposition décortique ensuite l’humour des scénarios, des dialogues et du graphisme. Le parcours s’achève sur une incursion dans l’intimité des deux génies du 9e art.

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Bilal aux Arts et Métiers pour une exposition exceptionnelle

Une centaine de planches originales, de dessins et de toiles d’Enki Bilal dialoguent avec de surprenants trésors du Musée des Arts et Métiers, choisis par l’artiste, dans l’exposition Mécanhumanimal, symbiose esthétique entre homme, animal et machine.

À partir de mardi et jusqu’au 5 janvier 2014, les visiteurs pourront plonger dans l’univers fantasmé de ce poète visionnaire qui a pioché dans les réserves du musée pour dénicher et détourner des objets insolites entrant en résonance avec son œuvre, des années 1970 à nos jours.

Pourquoi ce nom énigmatique de Mécanhumanimal? « Mes bandes dessinées et mon travail pictural s’inspirent des ponts qui existent entre humains et animaux, souvent favorisés par la technologie, ce mot s’est donc imposé », explique à la presse Bilal, qui adore forger des néologismes et mène depuis longtemps une réflexion sur les rapports entre l’homme et l’innovation technique. L’artiste a aussi réalisé cinq toiles pour l’exposition, qu’il prépare depuis plus de deux ans, dont Machine à tailler les engrenages coniques.

Entre performance et installation, l’exposition, conçue par le Musée des Arts et Métiers et 9e Art, organisateur du Festival international de la BD d’Angoulême, s’articule autour de cinq thèmes : Passions humaines, Animaux, Monstres et hybrides, Rêves de machines, Conflits et planètes.

Le visiteur est accueilli par l’index grandeur nature de la Statue de la Liberté, rebaptisé Indexeur de liberté, puis plonge dans les différents mondes de l’auteur de la trilogie Nikopol, de Animal’z ou Julia & Roem sur fond de musique tour à tour inquiétante ou poétique, avec une mise en scène intimiste.

Ainsi, des planches de l’album La Femme piège (1986) côtoient une évocation de la salle de bain de l’héroïne, avec un miroir surplombant un lavabo dans lequel le visage du visiteur se transforme en tête de mort. À sa gauche, une « fontaine à radium », issue des collections du musée, rappelle que dans les années 30, la radioactivité était synonyme de cure de jouvence et de beauté….

Des réflexions de chercheurs et d’artistes invités par Bilal complètent l’exposition et se retrouvent, comme ses œuvres, dans le livre Mécanhumanimal publié par Casterman.

Né en 1951 en Yougoslavie, auteur de BD majeur, Grand Prix du Festival d’Angoulême en 1987, également réalisateur, Bilal a déjà pris part il y a quelques mois à l’exposition Les Fantômes du Louvre.

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Une exposition inédite d’Andy Warhol

Au mois de mai à New York, une exposition inédite d’Andy Warhol sera présentée durant 10 jours. Cette exposition intitulée Lost then Found présentera des portraits inédits du maître du pop art.
 
C’est au photographe Steve Wood que l’on doit ces clichés pris en 1981 à l’hôtel La Belle Époque à Deauville. En effet, lorsqu’il est tombé par hasard sur ces photos perdues depuis 30 ans, il a pensé qu’elles méritaient leur « heure de gloire ». Ainsi est née l’exposition Lost then Found.
 
« Ces photographies révèlent un Warhol que la plupart d’entre nous n’ont jamais vu », a déclaré Christopher Bollen, rédacteur en chef du magazine Interview, fondé par Warhol en 1969.
 
« Ce témoignage nous donne la possibilité de le réévaluer comme l’un des artistes les plus influents du siècle dernier », mentionne Bollen.
 
Décédé en 1987 à l’âge de 58 ans, Andy Warhol est connu pour ses peintures pop art, ses portraits de célébrités devenus cultes, comme celui de Marilyn Monroe. Il s’est aussi essayé à la musique et à la réalisation de films. Il est un modèle pour toute une génération de New-Yorkais.
 
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Une exposition sur John Fitzgerald Kennedy

Cette année, les États-Unis commémorent le 50e anniversaire de l’assassinat de John F. Kennedy. Afin de lui rendre hommage, une exposition est présentée au Newseum de Washington.

L’exposition JFK se déroule en deux parties. La première est une série de 70 photos inédites, prises par le photographe Jacques Lowe, qui a suivi John Fitzgerald Kennedy dans sa campagne électorale de 1960.

Lowe, qui avait été choisi par le père du candidat démocrate, a contribué au succès de John F. Kennedy grâce à la renommée de ses photos. Notamment celle où l’on voit John Junior jouer dans le bureau ovale, qui est devenue mondialement connue.

Au total, entre 1958 et 1961, Jacques Lowe a pris 40 000 photos. Il les avait entreposées précieusement dans le coffre d’une banque du World Trade Center, et elles ont toutes été détruites lors de l’attentat du 11 septembre…

C’est grâce à un travail minutieux effectué sur les 1500 planches contacts de ces photos, qui ont dû être numérisées et nettoyées de leurs marques, que le musée peut proposer les 70 clichés de l’exposition. Une centaine d’autres photos sont également proposées sur ordinateur.

La deuxième partie de l’exposition, Trois coups de feu tirés, est quant à elle tournée vers le jour de l’assassinat du président Kennedy, le 22 novembre 1963, et regroupe des documents d’époque comme des vidéos, des notes de journalistes ainsi que des photos.