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Le Musée de la Civilisation présente E TÙ AKE MAORI DEBOUT

Le Musée de la Civilisation ne présente l’exposition E TÙ AKE MAORI DEBOUT que depuis hier (21 novembre), mais l’événement obtient déjà beaucoup de rayonnement médiatique et fait énormément parler de lui.

L’exposition présente les Maoris, un peuple indigène néo-zélandais, et le riche héritage historique qu’ils ont laissé aux générations futures, selon le site du musée (www.mcq.org).

L’exposition provient d’ailleurs directement de la Nouvelle-Zélande, ayant été d’abord été présentée au Museum of New Zealand Te Papa Tongarewa avant de s’installer à Québec.

L’organisation du Musée de la Civilisation parle de véritables trésors ancestraux, inestimables, qu’auront la chance de découvrir les nombreux visiteurs qui franchiront les tourniquets du musée.

L’exposition propose 155 objets, dont 68 sont classés trésors nationaux, comprenant des armes, des bijoux, des œuvres, des instruments de musique, des matériaux et combien d’autres éléments historiques rarement observés par le commun des mortels.

C’est tout un coup que vient de réussir le Musée de la Civilisation, et son directeur général, Michel Côté, s’en réjouit. Il lance : « S’il est fondamental d’inscrire nos propres références culturelles à l’intérieur de la programmation du Musée, il l’est tout autant de jeter des ponts avec celles des autres peuples ».

L’exposition E TÙ AKE MAORI DEBOUT sera présentée jusqu’en septembre 2013.

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Les Beatles débarquent à Pointe-à-Callière!

En 2014, ça fera cinquante ans que les Beatles ont effectué une mythique visite à Montréal, dont le point culminant fut les deux concerts présentés au légendaire Forum.

Oui, déjà! On se replace donc en 1964, alors que le Fab Four faisait vibrer les colonnes du temple, probablement le seul événement qui a généré plus de passion que le Canadien de Montréal lui-même dans une enceinte de hockey.

Pour souligner ce cinquantième anniversaire, le musée Pointe-à-Callière va proposer une exposition qui retracera la belle époque de la musique dans les années 60, à Montréal et au Québec.

C’est que les sixties pour les Québécois, ce n’est pas que les Beatles, mais aussi les Baronets, les Bel Canto, les Bel Air, César et les Romains, les Classels, les Hou-Lops, les Sultans, les Merceys et les Sinners. Tous ces groupes n’ont pas hésité à reprendre des pièces des Beatles, en français.

Les visiteurs pourront donc revivre cette belle époque, observer des objets gorgés d’histoire et faire des découvertes. On invite d’ailleurs les collectionneurs à contacter l’organisation pour exposer leurs trésors, via le beatles@pacmusee.qc.ca.

L’exposition aura lieu du 26 mars 2013 au 30 mars 2014.

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Le Cercle présente Causes à Images, jusqu’au 4 décembre

Les férus de photographie voudront sans doute faire un détour par Québec, plus particulièrement au Cercle, pour jeter un coup d’œil à l’exposition Causes à Images.

C’est Stigmat Photo et le Groupe Têtu qui présentent cet événement superbe, où sont présentées des photographies qui font réfléchir, conscientisent et font avancer la conscience collective, aux dires de l’organisation.

Il s’agit de la deuxième édition de l’exposition, qui prévoit encore plus de visiteurs cette année, mais aussi plus d’exposants, alors que l’on propose les œuvres de plusieurs artistes et photographes, dont celles de William Daniels, Justin Maxon (Collectif Razon), Renaud Philippe (Stigmat Photo) et Sarah Elliot.

En passant de la crise en Lybie par la réserve d’Attawapiskat, l’exposition transporte les visiteurs dans des univers vastes et criants de vérité.

Aussi au programme, des projections multimédias et des ateliers.

Causes à Images a pour objectif de faire découvrir l’importance de la photographie pour les causes humanitaires, ainsi que sa place vitale au sein des médias moins généralistes.

L’entrée est gratuite pour tous, et l’exposition se termine le 4 décembre prochain.

Visitez le site du Cercle pour plus d’informations

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Retour au Moyen Âge au MNBAQ

Le Musée National des Beaux-Arts du Québec (MNBAQ) propose depuis le 4 octobre dernier, et jusqu’au 6 janvier 2013, l’exposition Art et Nature au Moyen Âge.

Ce retour dans le temps est une collaboration entre le musée de Cluny de Paris et le Musée National des Beaux-Arts du Québec et offre la chance aux amateurs d’art d’admirer certaines œuvres exceptionnelles de l’époque.

Plus qu’une exposition de tableaux, le musée accueille aussi des pièces et des artéfacts rares, comme des chapiteaux en pierre calcaire, des pièces d’ivoires, des vitraux, des tapisseries et bien d’autres.

L’exposition permet de comprendre comment le lien entre les artistes du Moyen Âge et la nature, omniprésente dans les créations datant de cette ère. Elle couvre plus de 500 ans d’histoire et permettra aux amateurs de s’imprégner pleinement de l’atmosphère qui régnait entre le 10e et le 15e siècle.

On attend d’ailleurs des pièces historiques comme La Tenture de la Vie Seigneuriale, l’Arbre de Jessé : Le Christ et la Vierge à l’Enfant et la Colombe Eucharistique.

Venez découvrir les fresques, artéfacts et peintures qui ont marqué cette période clé de l’histoire de l’Homme, au Musée National des Beaux-Arts du Québec, à Québec (Parc des Champs-de-Bataille), jusqu’au 6 janvier prochain.

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Sherbrooke présente Lieux Interdits

La ville de Sherbrooke est très heureuse d’accueillir et de présenter l’exposition Lieux Interdits d’Alain Robidas, selon www.destinationsherbrooke.com.

Présentée jusqu’au 18 novembre prochain, l’exposition propose les œuvres de Robidas, un photographe unique qui capte avec saveur et émotion des paysages de partout.

Cette fois, pour Lieux Interdits, ce sont ses photographies de lieux isolés, moins connus et sauvages, capturés sur le vif aux quatre coins de la province.

L’artiste utilise encore parfois une ancienne technique de développement appelée « argentique », ce qui confère à ses œuvres une richesse inégalée, toujours selon le site sherbrookois.

Issu du milieu du théâtre, il a travaillé à la conception de décors pour plusieurs pièces. Il a aussi collaboré aux éclairages de plusieurs productions, toutes des expériences qui lui ont permis de devenir le photographe qu’il est maintenant.

On décrit les sites québécois visités par l’artiste comme de « petits trésors ».

Pour obtenir plus d’informations sur cette exposition unique, il est possible de le faire au (819) 846-1122, ou encore via le www.maculturebrompton.com.

L’exposition Lieux Interdits réside à la Maison des arts et de la culture de Brompton (1, rue Wilfrid-Pelletier) jusqu’au 18 novembre. À ne pas manquer.

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Harold Klunder en vedette à Québec

La Galerie Michel Guimont de Québec propose une exposition incomparable, jusqu’au 11 novembre prochain.

Harold Klunder est un artiste canadien acclamé par la critique et les amateurs de beaux-arts. Originaire des Pays-Bas (Deventer), il est venu s’installer au Canada en 1952 avec sa famille afin d’étudier les arts visuels à la Central Technical School de Toronto.

Dès lors, il a créé de multiples œuvres, dont des sculptures, peintures, gravures, photographies et même des œuvres musicales! L’artiste multidisciplinaire s’est fait remarquer et n’a jamais cessé de produire des œuvres de qualité.

C’est seulement en 1970, alors qu’il était devenu peintre à temps plein, qu’il a obtenu la véritable reconnaissance, alors que ces tableaux étaient de plus en plus exposés et demandés.

Ses œuvres ont voyagé partout dans le monde, sur tous les continents, et c’est au tour de la Galerie Michel Guimont de Québec de saluer le talent de cet artiste immigrant.

L’exposition Harold Klunder se tient donc à Beauport jusqu’au 11 novembre 2012, et l’entrée est gratuite, rapporte quoifaireaquebec.com. Toute la famille peut donc admirer les œuvres d’un artiste canadien reconnu internationalement.

Par ailleurs, le peintre vit toujours au Canada, à Montréal, et il travaille aussi en Ontario, où il possède un studio.

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Exposition originale et unique au Vatican

L’Italie, Rome et la Cité du Vatican sont des destinations merveilleuses pour tous les touristes du monde entier. Les voyageurs ne se font pas prier pour se rendre en ces lieux empreints d’une histoire riche et importante.

Voilà qu’une exposition des plus originales vient s’ajouter à tout cela, selon que raconte Toronto Sun.

Il s’agit d’une exposition qui présente les différents véhicules utilisés par les papes au fil de l’histoire, une véritable manne pour les amateurs d’histoire, de religion ou de véhicules! L’idée est intéressante, d’autant plus que l’on sait que les papes se sont toujours baladés avec panache au fil des ans.

Ainsi, les touristes, voyageurs et curieux pourront admirer des véhicules de toutes les époques, certains datant même de 1825.

L’un des joyaux de l’exposition est une Berlina Di Gran Gala, construite en 1826 pour le pape Leo XII, jadis tirée par six chevaux. Aussi à découvrir, une Bianchi Tipo 15, une Bianchi Tipo 20, une Fiat 525, une Graham Paige 837, une Citroën C6 et la Mercedes 460, une limousine.

La plus récente acquisition de l’exposition est la Fiat 1107 Nuova Campagnola 1980, sans toit, célèbre pour avoir transporté le pape Jean-Paul II lors de la tentative de meurtre désormais historique à son endroit.

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Exposition de costumes hollywoodiens à Londres

Ce sont 130 tenues légendaires qui sont réunies pour vous faire traverser l’histoire en misant sur l’importance de la création de costumes au cinéma.

Lepoint.fr rapporte une citation de l’actrice Meryl Streep, qui affirme que « dans chaque film, le costume représente la moitié du travail pour donner vie à un personnage ».

Dans le cas présent, l’habit fait le moine, contrairement à l’expression connue. Hollywood Costumes ouvrira ses portes dès le samedi 20 octobre prochain. Vous pourrez admirer la superbe robe noire portée par Audrey Hepburn, ou encore la légendaire robe blanche de Marilyn Monroe. Il va de soi que le film Gone With The Wind vous réserve aussi un costume.

L’exposition est divisée en 3 parties distinctes, soit la Déconstruction, le Dialogue et l’Apothéose. Vous naviguerez ainsi à travers l’histoire des costumiers d’Hollywood, et des changements avec lesquels ils ont dû composer. Entre autres, rappelons que nous sommes passés du noir et blanc à la couleur, puis à la qualité numérique.

En plus des costumes célèbres, les fans retrouveront les originaux de costumes tels que Harry Potter, Batman ou encore Darth Vador, alors que dans une autre partie se trouveront des éléments comme les souliers rouges de Judy Garland dans The Wizard Of OZ.

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Exposition itinérante sur la grotte de Lascaux

Faisant partie du patrimoine mondial de l’UNESCO, la grotte de Lascaux a été interdite au public en 1963. En parallèle, plusieurs essais ont été faits pour transposer ces merveilles dans une enceinte similaire, à l’aide de peintres copistes.

Ce que Lascaux l’Exposition Internationale a de différent, c’est qu’elle a été élaborée de façon à pouvoir se déplacer à travers le monde. Pour ce faire, il a fallu, dans un souci du détail, reproduire chaque proéminence, chaque crevasse de la grotte originale, mais sur un matériau des plus légers qui soit.

C’est samedi dernier (13 octobre), à Bordeaux, qu’a eu lieu la grande première. Le public a pu circuler parmi les mastodontes peints, répliques parfaites des originaux et de l’environnement, sur de l’élastomère modelé à l’aide d’une fraiseuse numérique.

Parmi les figures reproduites par des peintres méticuleux, on y retrouve entre autres des reproductions connues, soit la vache noire, les bisons adossés et la frise des cerfs.

Selon sciencesetavenir.com, cependant, il manquerait d’ambiance à cette exposition. Reconstituer une grotte n’est malheureusement pas si aisé.

Lascaux l’Exposition Internationale sera bientôt en route vers les États-Unis et le Canada.

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Exposition impressionniste au Musée des beaux-arts

Le Musée des beaux-arts de Montréal annonce un événement unique à venir cet automne dans ses murs. Il semble en effet que l’organisation du Musée ait réussi à attirer de prestigieuses collections de maîtres impressionnistes, comme Picasso, Monet, Renoir, Degas, Gauguin et bien d’autres.

L’exposition est prévue du 13 octobre au 20 janvier 2013, de quoi donner le temps aux amateurs de se présenter aux guichets du Musée, et peut-être plus d’une fois!

Le MBAM se dit très fier de présenter ce qui s’avère être la première vraie exposition d’art impressionniste au Québec, par l’entremise de sa directrice et conservatrice, Nathalie Bondil.

Les amateurs de ce type d’art pourront donc admirer des tableaux des plus grands peintres de l’histoire, dont une sélection de 21 œuvres de Renoir.

On parle de 75 pièces au total, et on s’attend à voir beaucoup de gens franchir les portes du Musée des beaux-arts de Montréal. Déjà, l’exposition Il était une fois l’impressionnisme a attiré plus d’un million de visiteurs à travers le monde.

Elle s’envolera pour une tournée asiatique après son séjour en terres québécoises, puisqu’elle est attendue au Japon, en Chine et en Corée du Sud.