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Un avant-goût captivant de Drive to Survive 6!

La 6e saison de la série documentaire Formula 1: Drive to Survive est attendue avec impatience, dévoilant maintenant dans sa bande-annonce les moments tendus de la saison précédente et offrant ainsi un aperçu des coulisses captivantes de la Formule 1 et des rebondissements de la dernière saison.

Les passionnés de Formule 1 anticipent le début de la saison 2024 prévu pour le 29 février.

Ils auront toutefois de quoi se régaler en attendant, avec le lancement officiel sur Netflix, le 23 février, de la sixième saison de la célèbre série documentaire, offrant une plongée captivante dans l’univers de la course automobile.

Netflix

La saison 6 de la docusérie promet de dévoiler de manière intime le championnat du monde de Formule 1 de 2023, offrant aux fans un accès sans précédent. Cette série, reconnue pour ses images exclusives et ses perspectives personnelles et professionnelles, plonge dans les parcours émotionnels des pilotes et des équipes, comblant ainsi le fossé entre les circuits emblématiques et les téléspectateurs. Elle explore les dynamiques et les pressions vécues par les compétiteurs d’élite dans ce sport aux enjeux considérables.

Netflix

Le retour de Drive to Survive, le 23 février prochain, ravira sans aucun doute les passionnés de F1!

Surtout avec les récentes annonces concernant Lewis Hamilton…

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Dans les coulisses

Carey Price est de passage au Grand Prix de Formule 1 du Canada

Carey Price n’est peut-être pas un grand partisan de Formule 1, mais il semble apprécier sa journée au Circuit Gilles-Villeneuve. Le gardien de but est venu assister à la course du Grand Prix de Formule 1 du Canada, dimanche.

Sa femme, Angela Price, a publié une photo sur Instagram où on peut la voir en compagnie de Carey Price, ainsi que de Paul Byron et sa femme.

Price a même pris le temps de répondre à quelques questions de Louis Butcher du Journal de Montréal.

« J’ai beaucoup de respect pour ces athlètes de haut niveau, car ce sont de véritables athlètes. » – Carey Price

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Le numéro 31 n’est pas un grand amateur de F1. Sa dernière visite au Grand Prix du Canada remonte à 2013. Il semble toutefois bien aimer l’événement.

Ce que Price admire le plus des pilotes de F1, c’est leur concentration. En tant que gardien de but, il est probablement très conscient que dans les deux sports, la concentration et la calme sont la clé du succès.

Price a même dévoilé qui est son pilote favori. Il s’agit de Lewis Hamilton. C’est logique, parce que Hamilton est un des plus grands pilotes de l’histoire. Il a remporté le championnat des pilotes à sept reprises depuis le début de sa carrière.

Paul Byron et Carey Price ne sont pas les seuls joueurs de hockey présents à l’événement. Samedi, nous avons pu apercevoir Cole Caufield, Trevor Zegras, Jack Hughes et Chris Wideman au Circuit Gilles-Villeneuve.

Aujourd’hui, on a  aussi aperçu Pierre-Luc Dubois et Mitch Marner.

On espère voir Price plus souvent dans l’entourage de Montréal.

En rafale

– Les Panthers ont encore de la difficulté à digérer la défaite.

– Hamilton aime encore la foule de Montréal.

– Daniel Brière a compris sa mission.

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Automobile

F1: On ne triche pas, on interprète les règlements!

Derrière le volant

Vous avez certainement entendu parler des protestations de l’écurie Renault envers celle de Racing Point en Formule 1. 

Celle-ci accuse l’écurie dirigée par le Canadien Lawrence Stroll de ne pas avoir respecté le règlement concernant les écopes de freins arrière. Selon le nouveau règlement, il faut que celles-ci aient été conçues et développées par l’écurie alors qu’on les accuse d’avoir copié celles de Mercedes, ce qui était légal l’an dernier.

Les commissaires de la FIA ont conclu que Renault avait raison et a déduit 15 points de ceux accumulés par l’écurie Racing Point en plus d’une amende de 400 000 euros. On en appelle de part et d’autre, Renault jugeant que la sanction n’est pas suffisamment sévère tandis que l’autre partie se défend d’avoir enfreint les règlements.

Pourtant, ce qui peut sembler anodin aux yeux de plusieurs s’explique, du moins c’est mon interprétation, par le fait que Renault, une écurie appartenant à un grand constructeur, n’accepte pas le fait de se faire damer le pion par une écurie privée utilisant plusieurs composantes mécaniques Mercedes. Il faut savoir que le constructeur Renault connaît plusieurs difficultés commerciales et financières et il ne serait pas surprenant qu’on abandonne l’aventure en Formule 1. Pour convaincre les patrons de Billancourt, on s’entête à persécuter l’écurie canadienne après chaque course.

Incidemment, l’an dernier, suite au Grand prix du Japon, c’est Racing Point qui avait accusé l’écurie française d’avoir triché en utilisant un système de répartition de freinage illégal ! Et il faut se rappeler qu’en 2009 Renault avait été exclue avec sursis de la Formule pour une période de deux ans suite au scandale du Grand prix de Singapour alors que la direction de l’écurie avait demandé à Nelson Piquet Jr de provoquer un accident afin de favoriser son équipier Fernando Alonzo.

Ce n’est pas une première

Bref, il s’agit d’une confrontation relativement technique. Mais, ce n’est pas la première fois, qu’on accuse quelqu’un de tricherie. Au fil des années, nombreuses sont les équipes ou les intervenants qui se sont fait prendre la main dans le sac. Pas plus tard que l’an dernier, plusieurs écuries ont soupçonné Ferrari d’avoir trouvé une astuce technique afin de contourner le règlement au chapitre du système de débit d’essence pour que le moteur développe plus de puissance. La FIA a fait enquête et a conclu une entente avec Ferrari concernant l’alimentation en carburant du moteur.

Cette entente est secrète et on ne l’a jamais rendue publique. Cependant, Ferrari a modifié l’alimentation de ses moteurs et, à partir de là, les bolides rouges de Maranello sont devenus nettement moins véloces. Y aurait-il de cause à effet ? Pourquoi ce secret, il faut préciser que Ferrari a souvent bénéficié de la tolérance des autorités.

Il y a trois ou quatre années, les commissaires ont décrété que des ailerons placés sur la partie médiane de la carrosserie des Ferrari dépassaient les normes en longueur. On n’a pas pénalisé l’écurie parce qu’on a dit que c’est vrai que le règlement n’avait pas été respecté, mais que Ferrari n’avait pas eu l’intention de tricher. 

Il y a de nombreuses années, alors que l’écurie Tyrrell était encore en existence avant d’être achetée et devenir BAR, l’équipe avait été disqualifiée du Grand prix de Détroit 1984 en raison de la présence de billes de plomb dans le réservoir de ballast. Martin Brundle qui avait terminé deuxième derrière le Brésilien Nelson Piquet sur Brabham a été déclassé et l’écurie soumise à une très forte amende.

Cette fois si ce n’était pas un aileron jugé un tantinet trop long, un museau avant trop bas, trop flexible ou quelque chose de circonstanciel, mais la ferme intention de tricher.

Au cours des années, on a connu également plusieurs épisodes d’espionnage industriel.

Des ingénieurs coupables

Il n’y a pas que des contraventions au chapitre de la mécanique elle-même, on a assisté au fil des années à plusieurs cas d’espionnage industriel. Par exemple, une équipe dépense le gros prix pour débaucher un ingénieur travaillant pour une écurie qui a connu beaucoup de succès. Ceci est dans la norme même si ce n’est pas tellement éthique. Mais il y a pire, celle de transmission de données de façon illégale.

L’un des cas les plus connus en matière d’espionnage industriel en Formule 1 est celui qui a opposé les écuries Ferrari et McLaren. Ce scandale qui a largement fait les manchettes a impliqué l’ingénieur Nigel Stepney qui avait occupé plusieurs postes importants au sein de la Scuderia. Au début de la saison 2007, la direction de l’écurie italienne l’accuse de tentative de sabotage alors qu’on a décelé la présence d’une poudre blanche à la proximité des réservoirs des Ferrari. Une perquisition à son appartement avait permis de déceler la présence de cette poudre sur ses vêtements.

Mais ce n’était que le début de cette saga judiciaire. En effet, la Scuderia Ferrari porte plainte contre Stepney pour avoir communiqué des informations confidentielles à un membre de l’écurie McLaren, sa grande rivale à l’époque. En effet, ces deux écuries se disputent la tête du championnat. Le récipiendaire de ces documents est Mike Coughlan alors designer en chef de McLaren. Le pot aux roses a été découvert alors que la femme de ce derniers est allée dans une boutique de fourniture de bureau pour y photocopier plus de 750 pages de documents portant le logo Ferrari. Le propriétaire de l’établissement a alors contacté Ferrari pour les informer.

Les pénalités imposées cette année à Racing Point sont de la petite bière comparée à ce que l’on a imposé à McLaren. En effet, elle a non seulement perdu tous ses points au Championnat du monde en plus d’une amende de 100 millions de dollars. Rien de moins. En fait, l’écurie britannique n’a jamais copié les informations techniques sur ses voitures, mais elle avait pris connaissance des stratégies de l’équipe italienne, ce qui lui donnait un avantage.

On ne triche pas, on interprète

Mais à part quelques cas spectaculaires, la plupart du temps, les écuries consacrent beaucoup de temps à étudier et interpréter les règlements qui sont nombreux et parfois très complexes. D’ailleurs, dans le cas de Racing Point, l’équipe se défend d’avoir interprété en toute honnêteté les règles qui ont été modifiées pour la saison 2020.

Bref, les ingénieurs fort talentueux sont des génies à analyser les règlements, les différentes composantes des voitures afin de voir si on ne pouvait pas améliorer les performances tout en trouvant des éléments qui ne sont pas touchés par les règlements et qui pourraient leur donner un avantage.

C’est un va-et-vient incessant entre les commissaires de la FIA qui doivent vérifier toutes les nouvelles composantes de la voiture au fil de la saison et bien entendu homologuer la voiture avant le début de la saison. Et il ne se passe pas une année sans qu’une écurie en accuse une autre de courir avec une voiture qui n’est pas totalement légale. Et puisque certaines équipes se partagent les mêmes composantes mécaniques, il ne faut pas se surprendre si plusieurs d’entre elles ne soient pas entièrement légales en raison de l’interdiction de partager certaines composantes. Les écuries comme Red Bull et Alpha Tauri font partie de la même famille. Et on peut affirmer la même chose entre les écuries Ferrari, Alfa Romeo et Haas qui se partagent les mêmes composantes de motorisation, de boîtes de vitesses et d’éléments de suspension. Même sans vouloir déroger au règlement, il est possible qu’il y ait certains éléments qui pourraient faire controverse.

Tout ce chassé-croisé de chicane technique et juridique ainsi que certains passages d’espionnage industriel rendent la Formule 1 intéressante aussi bien en dehors des circuits que sur ces derniers.

Et le mot de la fin revient à Ross Brawn ancien directeur technique de chez Ferrari et qui a eu sa propre écurie de Formule 1 a déclaré : « En Formule 1 la marge est très étroite entre le respect des règlements et leur contournement. Il y a toujours des zones d’ombre que les écuries se plaisent à interpréter de différentes façons. » Il faut souligner que ce dernier est dorénavant directeur technique et sportif du Championnat du monde de Formule 1.Il doit savoir de quoi il parle.

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Sport

Un 4e enfant à 89 ans pour Bernie Ecclestone!

Dans les coulisses

Ce matin, c’est un article du Daily Mail qui attire l’attention.

Bernie Ecclestone, multi-milliardaire et ancien propriétaire de la F1, a 89 ans. Il s’agira de son quatrième enfant… un premier garçon!

Cette fois, il sera papa avec son épouse Fabiana Flosi, 44 ans…

Trois mois après la naissance de son enfant, Ecclestone célébrera son 90e anniversaire de naissance.

Il a déjà trois enfants : Deborah (65 ans), Tamara (35 ans) et Petra (31 ans). Deborah est issue d’un premier mariage et les deux autres, d’un second.

Deborah a donc 21 ans de plus que l’actuelle épouse de son père… et elle attend un petit frère durant l’été.

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Sport

Coronavirus: Des équipes de F1 veulent fabriquer des ventilateurs

BUM Interactif

Après les constructeurs automobiles Tesla, Ford, Honda, Rolls-Royce et General Motors, voilà que les écuries de F1 veulent aider à vaincre la pandémie mondiale.

Les écuries Mercedes, Ferrari, Red Bull, Racing Point, McLaren et Williams ont toutes proposé leur aide, alors que le championnat de Formule 1 est à l’arrêt à cause du coronavirus.

De nombreux pays dans le monde s’inquiètent du nombre de ventilateurs qu’ils ont à leur disposition pour venir en aide aux milliers de malades nécessitant de l’aide respiratoire provoquée par le virus.

Une source chez Mercedes s’est confiée au quotidien anglais The Sun.

«Nos gars ne travaillent pas en ce moment sur les F1, ils ont les capacités de faire cet important travail. Nous avons dans nos équipes de nombreuses expertises techniques, et des discussions avancées à propos de modifier notre chaîne de production sont en cours. »

«La communauté F1 est en discussion à ce propos afin de fournir toute l’aide que nous pouvons», ajoute la source.

Le championnat de Formule 1 a repoussé ou annulé les sept premières courses de son calendrier.

Photo : Capture d’écran YouTube

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Sport

Michael Schumacher est « conscient »

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Selon une infirmière qui travaille auprès de l’ex-pilote de Ferrari, Michael Schumacher est « conscient ».

C’est le journal Le Parisien qui a révélé le week-end dernier que Michael Schumacher avait été hospitalisé lundi (9 septembre) dans le plus grand des secrets à l’hôpital parisien Georges-Pompidou.

Hier, l’ancien patron de Ferrari et ami de longue date de Michael Schumacher, Jean Todt, s’est rendu au chevet du célèbre patient. Il lui a rendu visite environ 45 minutes. Todt, qui est l’actuel président de la FIA, a quitté les lieux discrètement sans donner de commentaires.

Aucune information officielle n’a filtré concernant les soins prodigués à Michael Schumacher. Le Parisien souligne cependant que l’établissement hospitalier a réalisé sur l’homme, en 2000, les premières greffes de cellules souches musculaires au monde.

Michael Schumacher, 50 ans, un anniversaire souligné par Ferrari, n’a pas été vu en public depuis 6 ans. L’ex-pilote a subi un terrible accident de ski en Suisse en 2013, subissant un traumatisme crânien sévère.

Photo : Cover-Images

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Michael Schumacher regarde les courses de F1

Ces rares nouvelles sur l’état de santé de l’ex-champion du monde ont été révélées par un ami intime, Jean Todt, lors d’un entretien sur les ondes de Radio Monte-Carlo(RMC).

Jean Todt, aujourd’hui patron de la FIA, était le directeur de Ferrari lorsque Michael Schumacher dominait le plateau de la F1. Les deux hommes étaient devenus des amis proches au fil de leur collaboration.

L’homme de course a confié que l’Allemand faisait encore de bons progrès, et qu’il suivait les courses de F1 à la télévision.

« Je suis toujours prudent avec ce type de commentaires, mais c’est vrai. Nous avons regardé une course Michael et moi à sa résidence en Suisse ».

Par respect pour la famille, Jean Todt n’a pas voulu entrer dans les détails concernant l’état de santé du septuple champion du monde. 

« Michael est entre les meilleures mains et à l’air bien », s’est contenté d’ajouter le Français qui rend régulièrement visite à son ami.

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Michael Schumacher, aujourd’hui âgé de 50 ans, n’a pas été vu en public depuis un accident de ski alpin survenu il y a cinq ans dans les Alpes françaises. Le champion fut gravement blessé à la tête, souffrant d’un traumatisme crânien qui l’avait alors poussé dans le coma.

Photo : Cover Images

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Automobile

Pininfarina Battista : Plus vite qu’une Formule 1!

L’excellence de Pininfarina dans la conception et le savoir-faire de voitures exclusives prend une nouvelle expression avec Battista, un hypercar électrique lancé au Salon de l’automobile de Genève par Automobili Pininfarina, la nouvelle marque de voitures de luxe durables sous la gouverne de Mahindra & Mahindra Ltd.

A Genève, Pininfarina rappelle également le nouveau partenariat avec Karma Automotive annoncé lors du dernier salon de l’automobile de Detroit, en vue de sa première mondiale au prochain Shanghai Motor Show, où un nouveau véhicule électrique de luxe conçu par Pininfarina sera dévoilé.

« L’accord avec Karma représente une autre étape importante dans la stratégie de croissance de Pininfarina sur le marché nord-américain, à la suite de l’ouverture de notre nouveau centre de design à Los Angeles. Nous sommes heureux d’être en support à Karma avec notre expérience dans le design, dans la création de véhicules de luxe sur mesure et dans le style de vie de marques premium. Avec Karma, nous partageons la même passion pour la beauté, l’exclusivité et l’innovation, toujours au nom de la durabilité environnementale. On a maintenant hâte de montrer au monde le premier fruit de notre effort commun », explique le PDG Silvio Pietro Angori.

Pininfarina fait une autre annonce importante au Salon de l’automobile de Genève. C’est le nouveau partenariat avec WayRay, une entreprise suisse qui développe des écrans holographiques en réalité augmentée pour voitures de tourisme. Les deux marques collaboreront sur de futurs projets, tant dans le secteur automobile que dans le secteur des autres moyens de transport, afin de promouvoir l’intégration des écrans de réalité augmentée développés par WayRay dans le design d’intérieur, en tirant parti de l’expertise de Pininfarina.

Nommé en l’honneur de Battista «Pinin» Farina, fondateur de la Carrozzeria Pinin Farina, qui a débuté en 1930, la Battista représente au mieux l’application de la capacité de Pininfarina à proposer des projets clé en main. La voiture a en fait été conçue dans le centre du style de Cambiano, à Turin, par l’équipe dirigée par Carlo Bonzanigo, et sera fabriquée à la main en nombre limité, toujours à l’atelier Pininfarina.

«C’est un rêve devenu réalité», a déclaré le président Paolo Pininfarina. Mon grand-père était certain qu’un jour, il y aurait une gamme de voitures entièrement signée Pininfarina. Ce hypercar aura des performances de classe mondiale, des innovations technologiques de pointe et naturellement un style unique et élégant. Je suis convaincu qu’il ne pourrait avoir d’autre nom que Battista. Aujourd’hui, son rêve devient réalité dans cette union extraordinaire entre notre passé glorieux et l’avenir de l’automobile.

Conçu pour être le premier hypercar de luxe tout électrique au monde, le corps en fibre de carbone de Battista repose sur des technologies et un design fonctionnels extrêmes. Avec une puissance et un couple respectifs de 1?900 ch et 2?300 Nm, la Battista a pour ambition d’atteindre une accélération de 0 à 100 km/h en moins de deux secondes, soit plus rapidement qu’une voiture de Formule 1, une vitesse maximale de 350 km/h et offrir une autonomie potentielle d’environ 450 km sans émission.

Les trois versions de Battista présentées à Genève (deux exemples sur le stand Automobili Pininfarina et un troisième modèle sur le stand Pininfarina) reflètent le potentiel de personnalisation des 150 voitures qui seront produites.

La Battista Grigio Luserna présente des détails en aluminium anodisé et des accents de Blu Iconica satiné sur son corps dramatique gris satiné. Avec son design de roue unique et solide et

son intérieur bicolore noir et beige, cette spécification présente une expression forte, bien définie et dynamique de Battista qui reste toujours élégante.

Le second Battista présente le pack de design Battista, Iconica d’Automobili Pininfarina. Cette voiture Blu Iconica représente la plus proche des trois voitures de la couleur traditionnelle de la marque Pininfarina avec une interprétation du bleu Pininfarina. Plus tonique que le bleu traditionnel de Pininfarina, reflétant l’innovation technologique qu’il comporte, les multiples couches de peinture en font un bleu profond qui représente l’ambition de fournir des performances électriques dans un emballage luxueux.

Esthétiquement, la voiture est plus spectaculaire avec des modifications du capot et des rétroviseurs qui lient visuellement le capot au pare-brise par le biais de lames en fibre de carbone. L’aile avant située au-dessus de la bande de lumière à DEL avant est divisée en deux visuellement, reflétant le graphique de l’aile arrière de la voiture et unifiant le design général.

Luca Borgogno, directeur de la conception chez Automobili Pininfarina, explique : ?Nous voulions que Battista soit très italienne, avec des courbes sensuelles pour donner une impression des voitures des années 60 et du moment où la conception sensuelle des voitures était à l’avant-plan et quand Pininfarina est vraiment devenue emblématique. La forme de la carrosserie parle cette langue italienne, les détails développés en collaboration avec le propriétaire de chaque voiture en ajoutant les accents et la personnalité.?

Les compétences exprimées à travers Battista ? conception, ingénierie, production de séries limitées ? ne représentent qu’une partie de la gamme de services que Pininfarina peut offrir à ses clients.

Automobili Pininfarina confirme le partenariat entre Battista hypercar et Pirelli

La marque de pneus italienne Pirelli a confirmé son partenariat avec Automobili Pininfarina pour la création des hypercars Battista présentés à Genève. Chacun des nouveaux chefs-d’?uvre purement électriques Automobili Pininfarina sera présenté avec un pneu sur mesure Pirelli P Zero monté sur une jante de 21 pouces dans un nouveau design exclusif spécifique aux voitures Battista. Automobili Pininfarina et Pirelli sont maintenant engagés dans des discussions pour développer un programme de pneus pour la plus puissante voiture de sport italienne jamais construite.

À Genève, Pininfarina envisage l’avenir de l’industrie automobile grâce à son expertise multidisciplinaire dans les services. La fertilisation croisée, principalement issue du design industriel et de l’architecture, permet à Pininfarina d’offrir à ses clients une nouvelle proposition de valeur plus large, sous la forme de solutions intégrées et de projets clés en main dans tous les secteurs, des voitures aux télécommunications, de l’immobilier à la navigation de plaisance, de la machinerie industrielle à la vente au détail.

La définition de l’identité de la marque, la combinaison de la conception physique et numérique (UX), les capacités techniques clés en main, la construction de prototypes industriels, de pièces uniques et de séries limitées, jusqu’au support marketing et à la vente au détail, sont incluses dans cette approche holistique de Pininfarina.

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GP du Canada, déjà 40 ans pour Villeneuve

C’était en 1978. Il y a cette année 40 ans, le Québécois Gilles Villeneuve devenait le premier Canadien a remporter un Grand Prix de F1.

La chance voulue que Villeneuve signe cette première victoire en carrière chez lui, sur le circuit de l’île Notre-Dame à Montréal. Une victoire qui arrivait à point, alors que les fans de Ferrari commençaient à douter de la valeur du pilote québécois.

Joann Villeneuve, la veuve de Gilles s’est souvenue de cette course d’anthologie. Elle s’est confiée au Journal de Montréal : « C’était le dernier Grand Prix de la saison et les tifosi avaient commencé à s’impatienter et à se demander si le grand patron de l’écurie, Enzo Ferrari, avait fait le bon choix en confiant un volant à Gilles. La pression était donc forte sur les épaules de mon mari pour qu’il obtienne de bons résultats en fin de saison. »

La toute première saison de Gilles Villeneuve chez Ferrari n’avait pas été de tout repos. Le pilote numéro 12 avait déjà abandonné en course cinq fois depuis le début de l’année à son arrivée à Montréal. Il n’était monté qu’une seule fois sur le podium, en Autriche, avec une troisième place.

« Sa première saison complète en F1 n’avait pas été facile, ayant été marquée de hauts et de bas, rappelle Joann. Gilles avait éprouvé des problèmes avec les pneumatiques sur sa Ferrari lors de quelques courses. On lui reprochait de les user trop rapidement en raison de son style de pilotage agressif », confie celle qui suivait son mari partout autour du monde.

40 ans plus tard, Joann Villeneuve se souvient encore du sentiment qui habitait la majorité des gens présents : « C’était l’euphorie chez le personnel de Ferrari et chez les admirateurs de Gilles. Personne ne se plaignait du froid qu’il faisait. Les sensations vécues ce jour-là se comparent probablement à celles d’un gagnant à la loterie. C’était pratiquement trop beau pour être vrai. »

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Malgré l’importance du moment, Gilles Villeneuve restait humble : « Gilles n’était pas le genre d’homme à célébrer longtemps ses exploits. Il n’était pas reconnu comme étant un fêtard. Je crois que nous étions retournés manger au restaurant de l’hôtel avant d’aller voir ses parents à Berthier. Il fallait ensuite se diriger vers notre résidence à Monaco parce que Jacques et Mélanie (leurs enfants, NDLR) devaient retourner à l’école », se souvient Joann Villeneuve.

Photo : F1-site

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Annie Villeneuve signe l’hymne du Grand Prix du Canada

À vos marques, prêts, écoutez! Annie Villeneuve a dévoilé aujourd’hui un tout nouvel extrait, écrit spécialement pour célébrer l’arrivée du Grand Prix du Canada. Avec la pièce Enivré, l’artiste découverte lors de la première édition de Star Académie cosigne une chanson rendant hommage à la détermination et à la passion des pilotes de course. La chanson a également son penchant anglophone et bilingue, intitulé Burn so Bright.

C’est lors de sa rencontre avec François Dumontier, promoteur de l’événement, qu’Annie a été inspirée pour la création de cette chanson électrisante.

« J’ai ressenti une frappante inspiration ce jour-là que je me devais de communiquer par la musique. L’organisation du Grand Prix m’a fait confiance, et elle s’est laissée surprendre par cette chanson qui concorde précisément avec l’effervescence de cet événement mythique. »

L’artiste présentera non seulement son nouveau morceau lors du Grand Soir de la F1, mais également sur la scène de la Cinquième Salle dans le cadre des Francos de Montréal, le 14 juin prochain. Cet ultime spectacle mettra également le point final à sa tournée 5, titre de son plus récent album.

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