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Les émotions au service de la minceur

Top Santé rapporte une étude-sondage effectuée auprès de la population et de psychologues, qui explique que l’aspect émotionnel serait beaucoup plus important que l’on croit en matière de perte ou de prise de poids.

Pour contrôler son poids, on sait depuis longtemps qu’il faut manger moins et bouger plus. Les experts ne remettent aucunement en question cet état de fait, mais pensent que l’on doit également faire entrer la variable émotionnelle dans l’équation.

Ainsi, si vous respectez à la lettre les recommandations nutritionnelles et faites de l’exercice, mais que vous ne semblez pas arriver aux résultats escomptés, il se pourrait que vos émotions soient responsables.

Les répondants au sondage, professionnels ou non, affirment tous croire que les émotions jouent un rôle dans la perte ou la prise de poids, que ce soit pour le contrôle de soi (sur l’alimentation) ou encore la réaction éventuelle de l’organisme face à vos actions.

On suggère donc fortement aux gens qui veulent se mettre au régime ou changer radicalement de style de vie de consulter un spécialiste, un psychologue, afin de les aider dans leurs démarches.

Se faire aider par ses proches (encouragements, coaching, discipline) semble aussi être une technique qui porte des fruits.

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Découverte de cellules spécifiques dans les cas de cancer du col de l’utérus

Des scientifiques ont identifié des cellules distinctives dans une zone spécifique du col de l’utérus. Ces cellules particulières seraient responsables de la majorité sinon de tous les cancers utérins qui sont causés par le virus du papillome humain (VPH).
 
Selon l’étude publiée dans les Annales de l’Académie nationale américaine des sciences, le VPH est un important facteur de risque du cancer du col de l’utérus.
 
La découverte de ces cellules permettra donc de distinguer les cellules bénignes de celles qui sont potentiellement dangereuses dans les lésions précancéreuses du col de l’utérus.
 
Ce type de cancer emporte chaque année 240 000 femmes dans le monde, dont 380 sont canadiennes.
 
De plus, les chercheurs ont aussi découvert que ces cellules spécifiques ne se régénèrent pas lorsqu’elles sont retirées du col de l’utérus. Cela pourrait ouvrir une nouvelle voie de prévention en la matière.
 
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Incontinence urinaire et post-partum vont de pair

Des données fournies par une étude canadienne affirment que l’incontinence urinaire, lorsqu’elle se poursuit après la grossesse, a une incidence majeure sur l’état dépressif menant au post-partum.

Selon magicmaman.com, les résultats de l’étude, menée auprès de près de 2 000 jeunes mères, apportent une toute nouvelle dimension à la causalité de la dépression post-partum. En tout, 5 facteurs prédominants sont ressortis de la recherche.
 
La place d’importance prise par l’incontinence urinaire a d’ailleurs étonné les chercheurs : « L’incontinence reçoit bien trop peu d’attention d’une manière générale et en tant que facteur de dépression post-partum ».
 
Ces pertes urinaires surviennent normalement au dernier trimestre de la grossesse et sont dues au poids du bébé, au relâchement des tissus et à l’imprégnation hormonale. Elles se produisent principalement lors d’éternuements, de rires ou d’efforts physiques.
 
Considérant son impact majeur sur la dépression post-partum, il est donc important d’en faire part à votre médecin, surtout si elle se produit en début de grossesse.
 
Les autres facteurs à tenir en compte sont le jeune âge de la future mère, le manque de soutien à l’allaitement, une nouvelle hospitalisation et l’état de santé à la suite de l’accouchement.