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Ces facteurs de stress qui affectent nos enfants

Le stress peut affecter les enfants autant que les adultes. Nous en parlons plus de nos jours, et les facteurs sont multiples, tout comme ceux qui tourmentent les adultes.

La nouveauté, la pression quotidienne et la pression scolaire sont les principales sources de stress des jeunes, rapporte Psychoenfants.fr. Des phrases aussi banales que « dépêche-toi », « plus vite », « ne fais pas ceci ou cela », à force d’être répétées, peuvent stresser l’enfant. Le rythme qu’on leur impose est souvent frénétique, et ils n’ont pas toujours les mots pour exprimer ce qu’ils ressentent.

À l’école, la pression de la performance et les attentes des parents représentent des facteurs importants de stress pour l’enfant. Ce sentiment, surtout s’il n’est pas reconnu ou traité, peut s’amplifier au secondaire.

La solution réside surtout dans l’environnement affectif et l’accompagnement des parents. L’enfant a besoin de sécurité et d’écoute, et doit se sentir aimé, valorisé et encouragé. Si l’enfant ne se croit pas à la hauteur et qu’il sent du jugement, sa culpabilité et la tension qui l’accompagne prendront le dessus.

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Les 3 facteurs de risque les plus associés à l’obésité infantile

Selon une étude de l’Université de l’Illinois, chez les enfants d’âge préscolaire qui présentent un surpoids ou de l’obésité, les facteurs de risque suivants sont les plus communs : un sommeil inadéquat, un IMC qui classe le père ou la mère dans la catégorie de surpoids ou d’obésité et les restrictions alimentaires des parents, visant à contrôler le poids de l’enfant.

« Nous avons évalué 22 variables qui ont précédemment été déterminées comme des prédispositions à l’obésité infantile. Ce sont les 3 qui sont fortement ressorties du lot, et ce, même si on prenait en considération les 19 autres », explique Brent McBride, professeur du développement humain et directeur du laboratoire du développement de l’enfant à l’université.

Ce sont 329 parents de l’Illinois, dans le cadre d’une recherche nommée STRONG (Synergistic Theory and Research on Obesity and Nutrition Group) Kids Program, qui ont participé à la recherche. Il s’agissait de la première analyse de cette étude longitudinale, alors que les enfants étaient âgés de 2 ans.

Les facteurs analysés étaient très étendus et comprenaient les informations démographiques, l’historique de santé tant du parent que de l’enfant, ainsi que les habitudes alimentaires familiales.

« Si vous, en tant qu’adulte, vivez dans un environnement qui vous permet de conserver un poids élevé, rappelez-vous que votre enfant vit dans le même environnement », insiste McBride.

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L’obésité infantile serait due à 3 principaux facteurs

Le gène de l’obésité est un facteur de plus en plus concluant lorsqu’on parle de surpoids, selon une récente étude. Il serait présent surtout chez les adultes, mais chez les enfants aussi, surtout les fillettes. Il porte les gens à trop manger, parce que cela les fait « se sentir mieux ».

Le coupable est un gène qui agit sur la satisfaction de la récompense. Il peut être relié à 3 facteurs : les prédispositions génétiques, le stress environnemental et le bien-être émotionnel.

Les responsables de la recherche, Dre Patricia Silveira et Dr Robert Levitan, respectivement de l’Université McGill et de l’Universié de Toronto, ont déclaré dans un communiqué : « En d’autres termes, l’obésité est liée à la génétique, au développement précoce et aux circonstances environnantes ».

Les tests effectués ont porté sur 150 enfants de 4 ans. Parmi ceux-ci, certaines mères avaient souffert de dépression ou de pauvreté pendant et/ou après la grossesse. Leurs enfants ont été suivis de la naissance à l’âge de 10 ans.

C’est en soumettant les enfants à divers éléments de récompense alimentaire et en tenant compte des facteurs génétiques, de croissance et d’environnement que les chercheurs en sont venus à cette conclusion.

Vous pouvez lire les détails sur le site de Science World Report.

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Gestion de stress difficile chez les enfants

De nos jours, les facteurs de stress sont multiples pour les enfants, surtout depuis que les deux parents travaillent. Dès qu’ils ouvrent l’œil, on leur dit de « faire vite », de « se dépêcher », puis le rythme se poursuit jusqu’au coucher.

À travers des journées bien remplies, les enfants ont souvent des activités à l’extérieur de l’école, en plus des devoirs. D’autre part, il arrive de plus en plus fréquemment qu’ils jonglent entre leurs deux parents, ceux-ci étant séparés.

Sachez reconnaître les signes du stress. Un repli sur soi-même, une sensibilité ou irritabilité inhabituelle, un comportement rebelle, une baisse des notes scolaires, etc. Plusieurs facteurs doivent être considérés, même si cela peut vous sembler de moindre importance.

Entre autres, l’environnement affectif compte beaucoup pour l’enfant. S’il est laissé de côté, sans écoute, il sera moins à même de faire face aux situations stressantes.

La nouveauté est également une source de stress souvent ignorée. Pour certains jeunes, même le plus petit changement peut être déstabilisant. Observez bien ses réactions pour apprendre à mieux le connaître.

Pensez à la pression que vous ressentez personnellement au quotidien. Imaginez-vous que votre enfant ressent également la pression scolaire et parentale, cette espèce d’aura de performance à tout prix. Soutenez-le et encouragez-le à faire de son mieux, mais sachez évaluer ses limites, car certains jeunes peuvent rapidement sombrer dans la déprime s’ils sentent qu’ils sont un échec pour leurs parents.

 

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La race et l’ethnie : facteurs déterminants de l’obésité

C’est ce que dévoile une étude publiée dans The Annals of American Academy of Political and Social Science.

« Aux États-Unis, les enfants hispaniques et les enfants noirs de mères nées dans leur pays d’origine ont un plus haut risque de surpoids que les enfants de mères blanches nées dans leur pays. En Angleterre, les enfants issus de mères noires nées dans leur pays d’origine ont un plus haut risque de surpoids, et dans certains modèles, les enfants issus de mères asiatiques nées dans leur pays ont un plus haut risque », selon les auteures de l’étude, Melissa L. Martinson, Sara McLanahan et Jeanne Brooks-Gunn.

L’obésité infantile est une grande préoccupation pour les chercheurs, puisqu’elle mène souvent à l’hypertension, au diabète et à un taux élevé de cholestérol.

Rappelons que les enfants obèses développeraient plus de risques de maladies cardiaques que l’on ne voit habituellement qu’à l’âge adulte.

Les facteurs de risques menant à des problèmes cardiaques sont la haute pression sanguine, le haut taux de cholestérol et de sucre ainsi que l’épaississement des muscles du coeur.

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Accoucher sans savoir que vous êtes enceinte

Patrick O’Brien, un obstétricien consultant à l’University College London Hospital et porte-parole du Royal College of Obstetricians and Gynaecologists (RCOG) affirme qu’un obstétricien voit en moyenne un cas de ce genre par année.

Pourtant, les signes d’une grossesse sont évidents. Arrêt du cycle menstruel, nausées matinales, changements physiologiques et mouvement du fœtus, éventuellement.

Comme l’explique Patrick O’Brien, il arrive que ces signes ne se manifestent pas. D’autre part, une femme au cycle menstruel irrégulier ou pratiquement inexistant ne peut se baser sur ce facteur. De plus, les femmes faisant de l’embonpoint sont plus susceptibles de ne pas percevoir le changement physique ou les mouvements du bébé, même en fin de grossesse.

Dans d’autres cas, même si la femme est de poids normal, si le bébé est très petit, il peut passer inaperçu pendant plus de 6 mois, surtout sans aucun autre facteur indiquant la grossesse.

Outre ces exemples, il y a également le déni. Certaines femmes, mais surtout les adolescentes ou celles dans des situations inappropriées, demeurent dans le déni tout au long de la grossesse. Elles refusent simplement d’admettre ce qui leur arrive.

Bbc.co.uk rapporte que toutes les strates de la société sont touchées par ce type de grossesse inattendue. Sue Jacob, professeure d’obstétrique au Royal College of Midwives, explique que les femmes pauvres ou riches, scolarisées ou non, peuvent ne pas être à l’écoute de leur corps et de ses changements.

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Les évanouissements pourraient être d’ordre génétique

La revue Neurology dévoile les résultats d’une recherche mentionnant que s’évanouir pourrait être une affaire de famille.

Nous le savons, des facteurs environnementaux ou émotionnels peuvent nous faire ressentir le malaise vagal, le type d’évanouissement le plus fréquent et le moins dangereux, mais la génétique peut aussi être en cause.

Ce type d’indisposition se caractérise par un ralentissement du rythme cardiaque, une chute de pression ou un arrêt brutal de l’oxygénation au cerveau.

Les chercheurs ont interrogé 51 paires de jumeaux sur des malaises ressentis au cours de leur vie, les antécédents familiaux et des problèmes de santé possibles.

On constate que les jumeaux identiques ont deux fois plus de risques d’évanouissement que les jumeaux non identiques. Comme quoi la génétique similaire peut aussi avoir un impact.

Selon Neurology, environ 25 % des gens auront un malaise au moins une fois dans leur vie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Des facteurs socio-économiques influencent la mort de prématurés

Selon une étude rétrospective de la Wayne State University de Detroit, il semble que l’absence d’assurance maladie, être de race noire et vivre un séjour prolongé (120 jours ou plus) à l’hôpital sont des facteurs associés à une plus grande probabilité que des prématurés meurent dans les 18 à 22 mois après leur naissance.

En outre, l’utilisation d’antibiotiques pour la mère pendant l’accouchement, l’âge de celle-ci et l’état de l’oxygène à la maison représentaient une probabilité faible, voire nulle, de la mortalité post-unité de soins intensifs néonatals.

Bien que des améliorations des soins périnatals aient été apportées au fil du temps pour aider à la survie de bébés de petit poids, l’extrême prématurité contribue encore en grande partie au taux global de mortalité infantile aux États-Unis, qui s’élève à environ 6,71 décès pour 1000 naissances.

Les chercheurs de cette étude croient que les résultats pourraient être utilisés pour concevoir des interventions spéciales visant à réduire la mortalité post-unité de soins intensifs néonatals et également aider les cliniciens à reconnaitre et prédéterminer les patients à haut risque.

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Une vie malsaine est à l’origine de la moitié des cancers

Une vie saine ne peut garantir que vous n’aurez jamais le cancer, mais cela diminue les risques d’en avoir un, selon une nouvelle étude publiée dans le British Journal of Cancer.
 
14 facteurs ont été évalués. Seulement au Royaume-Uni, on mentionne que quatre cancers sur dix sont causés par le tabac, le manque d’exercice, une trop grande consommation de sel, un surpoids, une surconsommation d’alcool et le fait de ne pas avoir d’enfant.
 
Déjà, nous savions que des milliers de cancers pourraient être évités chaque année en réduisant l’exposition au soleil et aux produits chimiques, mais cette fois, on affirme que cesser de fumer, perdre du poids ou diminuer la consommation d’alcool aiderait grandement à réduire les risques de développer un cancer.
 
De plus, adopter de saines habitudes de vie permettrait également de réduire les risques d’avoir d’autres maladies graves, voire mortelles, comme des maladies cardiovasculaires, respiratoires ou rénales.
 
Le tabagisme à lui seul est responsable du cinquième des cas de tous les cancers. L’alcool est à l’origine de 6,4 % des cancers du sein et d’un cancer du foie sur dix.
 
Quant au cancer de l’estomac, les trois quarts pourraient être évités seulement en cessant le tabac, en consommant moins de sel et plus de fruits et légumes.
 
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Un lien entre la schizophrénie et l’épilepsie

Pour la première fois, les chercheurs ont découvert un lien bidirectionnel entre la schizophrénie et l’épilepsie.
En effet, les personnes schizophrènes ont jusqu’à six fois plus de risques de faire des crises d’épilepsie.
 
L’équipe du China Medical University Hospital de Taichung croit que ce lien ferait partie des facteurs génétiques, neurobiologiques et environnementaux.
 
Toutefois, les recherches doivent s’approfondir afin de mieux comprendre les mécanismes qui relient les deux maladies, mentionne la revue Epilepsia.
 
16 000 personnes schizophrènes et souffrant aussi d’épilepsie ont été suivies entre 1999 et 2008 pour arriver à ces conclusions.
 
Au Canada, on estime que 1 % de la population est touchée par la schizophrénie. Tout comme l’épilepsie, il s’agit d’une maladie complexe. Comme pour tout ce qui touche le cerveau, les experts continuent de faire des découvertes dans le domaine.