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Les 3 facteurs de risque les plus associés à l’obésité infantile

Selon une étude de l’Université de l’Illinois, chez les enfants d’âge préscolaire qui présentent un surpoids ou de l’obésité, les facteurs de risque suivants sont les plus communs : un sommeil inadéquat, un IMC qui classe le père ou la mère dans la catégorie de surpoids ou d’obésité et les restrictions alimentaires des parents, visant à contrôler le poids de l’enfant.

« Nous avons évalué 22 variables qui ont précédemment été déterminées comme des prédispositions à l’obésité infantile. Ce sont les 3 qui sont fortement ressorties du lot, et ce, même si on prenait en considération les 19 autres », explique Brent McBride, professeur du développement humain et directeur du laboratoire du développement de l’enfant à l’université.

Ce sont 329 parents de l’Illinois, dans le cadre d’une recherche nommée STRONG (Synergistic Theory and Research on Obesity and Nutrition Group) Kids Program, qui ont participé à la recherche. Il s’agissait de la première analyse de cette étude longitudinale, alors que les enfants étaient âgés de 2 ans.

Les facteurs analysés étaient très étendus et comprenaient les informations démographiques, l’historique de santé tant du parent que de l’enfant, ainsi que les habitudes alimentaires familiales.

« Si vous, en tant qu’adulte, vivez dans un environnement qui vous permet de conserver un poids élevé, rappelez-vous que votre enfant vit dans le même environnement », insiste McBride.

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Travailler de longues heures augmente les risques de maladies cardiovasculaires

Une étude menée par des chercheurs de l’University College de Londres mentionne que les personnes qui travaillent plus de 11 h par jour ont 67 % plus de risques de souffrir d’une maladie cardiovasculaire, comparativement à celles qui travaillent de 7 à 8 heures quotidiennement.
 
Attention toutefois, cela ne prédispose pas à plus de risques d’infarctus. « Il faut regarder l’ensemble des facteurs de risque. Quelqu’un qui travaille de longues heures, mais qui mange bien et fait de l’exercice ne devrait pas s’inquiéter », mentionne Mika Kivimaki, professeur de l’University College.
 
L’étude a suivi 7 085 travailleurs pendant 11 ans. On ne parvient pas à savoir si ce sont les longues heures de travail qui favorisent les risques de maladies cardiovasculaires ou si cela est dû au fait qu’elles encouragent l’adoption de mauvaises habitudes de vie, comme une mauvaise alimentation et peu d’activité physique, rapporte L’Actualité.