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Les bébés prématurés plus sensibles aux microbes

On lit dans PloS One que les microbes, les bactéries et les champignons diffèrent chez les bébés prématurés ou de faible poids de naissance.

Des chercheurs du Duke University Medical Center ont remarqué chez 11 bébés prématurés une diversité beaucoup moins importante de microbes que chez les autres, nés à terme.

Toutefois, ces microbes s’avèrent plus dangereux. Ceux prélevés dans les intestins des poupons se sont révélés très nocifs s’ils pénètrent le sang.

D’autre part, même après que les bébés aient pris des antibiotiques, les bactéries saines ne réapparaissaient pas très rapidement. Ce serait une explication possible au fait que les bébés prématurés sont plus vulnérables aux infections.

Parallèlement, on a relevé que le champignon Candida, qui est très difficile à traiter, se retrouve souvent dans l’organisme de ces poupons. La même observation a été faite pour des parasites et des bactéries dangereuses.

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Des substances ignifuges liées au faible poids de naissance

Des poupons dont la mère a été exposée à certaines substances ignifuges durant sa grossesse seraient plus enclins à avoir un faible poids de naissance. Les produits chimiques en question ont été retirés du marché, mais on en trouve encore dans d’anciens meubles.

Des chercheurs de l’Université de la Californie ont analysé les taux sanguins de PBDE (polybromodiphényléther) de 286 femmes enceintes. À la suite de la naissance de leur enfant, on a conclu que chaque augmentation de 10 fois était reliée à une diminution du poids de naissance de 4,1 onces.

On rappelle toutefois que ces produits chimiques ne sont plus utilisés, mais puisqu’ils l’étaient sur des objets que l’on ne remplace pas souvent, comme des meubles, ils demeurent présents dans de nombreux foyers.

Il semble en fait que la plupart d’entre nous sont exposés aux PBDE; 97 % en auraient une présence dans le sang. Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’American Journal of Epidemiology.

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Des substances ignifuges liées au faible poids de naissance

Des poupons dont la mère a été exposée à certaines substances ignifuges durant sa grossesse seraient plus enclins à avoir un faible poids de naissance. Les produits chimiques en question ont été retirés du marché, mais on en trouve encore dans d’anciens meubles.

Des chercheurs de l’Université de la Californie ont analysé les taux sanguins de PBDE (polybromodiphényléther) de 286 femmes enceintes. À la suite de la naissance de leur enfant, on a conclu que chaque augmentation de 10 fois était reliée à une diminution du poids de naissance de 4,1 onces.

On rappelle toutefois que ces produits chimiques ne sont plus utilisés, mais puisqu’ils l’étaient sur des objets que l’on ne remplace pas souvent, comme des meubles, ils demeurent présents dans de nombreux foyers.

Il semble en fait que la plupart d’entre nous sont exposés aux PBDE; 97 % en auraient une présence dans le sang. Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’American Journal of Epidemiology.

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Mort subite : plus de risques pour certains bébés

On lit sur BBC une nouvelle qui pourrait semer la panique. Il semble qu’un faible poids de naissance soit relié au risque de mort subite du nourrisson.

Les chercheurs recommandent déjà aux parents d’un bébé de moins de 2,5 kg de le faire dormir dans leur chambre, dans un berceau, durant ses 6 premiers mois de vie.

C’est la Foundation for the Study of Infant Deaths qui a établi le constat mentionné. La raison première en demeurerait toutefois le tabagisme passif. Les bébés ayant un faible poids à la naissance seraient quand même plus vulnérables.

D’autres facteurs ont aussi été relevés. On pense ici au sexe, car les garçons seraient plus à risque, la monoparentalité et le trop jeune âge de la mère. Il est donc primordial, si un nouveau-né rejoint l’une ou plusieurs de ces conditions, de redoubler de prudence.

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Faible poids de naissance : les effets s’estompent

En suivant au fil des ans des enfants qui étaient nés avec un très faible poids de naissance, on a remarqué que leurs problèmes de santé n’amplifiaient pas. Cette courbe a été particulièrement notable en ce qui a trait à l’asthme.

Chez ceux qui sont nés très petits (soit moins de 2,2 lb), l’âge scolaire est très souvent marqué par des problèmes de santé chronique et certains troubles du développement. Toutefois, malgré la hausse des cas d’obésité, on ne remarque pas de changement entre 8 et 14 ans.

En effet, comme nous le lisons dans JAMA, si le taux d’obésité augmente de 12 à 19 % entre 8 et 14 ans, ce changement ne semble pas interférer avec les taux de maladies chroniques chez les enfants nés avec un faible poids de naissance.

Mentionnons finalement que les soins prodigués aux bébés prématurés ou ayant un petit poids à leur naissance ont manifestement évolué depuis les années 90.

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Plus de grossesses à risques chez les femmes maigres

On entend souvent parler des risques encourus durant la grossesse chez les femmes obèses. Or, il ne serait pas mieux d’être trop mince, selon l’International Journal of Epidemiology.

Une étude analytique et comparative a démontré que les femmes maigres étaient plus enclines à avoir une grossesse à risque. Ainsi, elles vivraient un accouchement prématuré dans une plus grande proportion que les autres.
 
Il ne s’agit pas là du seul risque pour leur enfant. En effet, les femmes ayant un poids inférieur à la moyenne ont tendance à mettre au monde un bébé ayant un faible poids de naissance.
 
Ce qui est surprenant, dans cette étude, est que les femmes maigres des pays développés accoucheraient plus souvent de façon prématurée, alors que cette observation n’a pu être constatée dans les autres pays.

Finalement, il a été remarqué dans tous les pays que plus la femme a un poids faible, plus son bébé en aura un aussi à sa naissance.

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L’alcool cause des accouchements prématurés

Une étude parue dans le BMC Pregnancy and Childbirth confirme une fois de plus les risques entraînés par la consommation d’alcool durant la grossesse.

Après avoir suivi 60 000 femmes enceintes, des chercheurs de Dublin, en Irlande, ont conclu que boire de l’alcool en début de grossesse pouvait causer des naissances prématurées, des fausses couches et un faible poids de naissance.
 
Les participantes de l’étude ont été questionnées sur leurs habitudes de vie entre la dixième et la douzième semaine de leur grossesse. Ces données ont par la suite été comparées à celles prises lors de la naissance de leur enfant.
 
Dans le cadre de cette étude, 71 % des femmes enceintes ont dit consommer de l’alcool sur une base occasionnelle.
 
La forte consommation d’alcool était aussi associée à des problèmes de santé, une fois l’enfant ayant atteint l’âge adulte.

Les chercheurs recommandent toutefois que d’autres études soient faites avant qu’une faible consommation d’alcool durant la grossesse soit considérée sans danger pour le fœtus.