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Voici pour quelle raison il est essentiel de communiquer avec nos enfants

Ce sont surtout dans les familles à faible revenu et dans lesquelles les parents sont moins éduqués que les enfants souffrent des retards les plus importants. Lors de leur entrée à l’école, ils ont en moyenne 2 ans de retard en ce qui a trait au langage.

Anne Fernald, psychologue et enseignante à l’Université Stanford, a mené les plus récentes recherches, révélant un écart majeur chez les enfants issus de la pauvreté.

Les différences se situent tant au niveau du langage parlé qu’écrit, et l’écart se mesure à partir de 18 mois. À 24 mois, les enfants de familles à faible revenu démontraient déjà un retard de 6 mois sur ceux à revenu élevé.

Fernald croit avoir décelé la cause principale de ce retard. À l’aide de dispositifs d’enregistrement vocal, elle a pu établir une lacune au niveau du discours entre les parents et l’enfant de familles à faible revenu. Les bébés entendaient bel et bien des paroles, mais elles ne s’adressaient pas nécessairement à eux.

Le discours direct a prouvé un meilleur apprentissage du vocabulaire, et c’est pourquoi la chercheuse et son équipe mettent désormais sur pied des programmes pour aider les mères à faible revenu à mieux communiquer avec leurs bébés.

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Femmes enceintes et bébés : 56 façons d’aider les médecins à sauver des vies

358 000 femmes meurent chaque année pendant l’accouchement ou la grossesse, et 7,6 millions d’enfants perdent la vie avant l’âge de 5 ans, révèle une importante étude qui a duré plus de trois ans. Les résultats ont été publiés par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Université Aga Khan et le Partenariat pour la santé maternelle, néonatale et infantile (PMNCH).

Cette étude a examiné 50 000 documents médicaux et a été conçue pour faciliter la prise de décisions, dans les pays à faible et moyen revenu, sur la façon d’allouer des ressources limitées pour un impact maximal sur la santé des femmes et des enfants.

Grâce aux résultats, 56 interventions ont été trouvées pour aider à la santé reproductive, maternelle, néonatale et infantile. Parmi ces dernières, on retrouve :

• Gérer l’anémie maternelle avec le fer;
• Prévenir et gérer l’hémorragie post-partum;
• Des soins immédiats thermiques pour nouveau-nés;
• Une prise en charge supplémentaire pour l’alimentation des bébés prématurés et petits;
• Des antibiotiques pour le traitement de la pneumonie chez les enfants.

Les idées présentées sur cette liste ne sont pas nouvelles en soi. Ce qui l’est, c’est qu’elles sont enfin réunies sur le même papier et qu’elles ont l’accord des médecins. Ces derniers disent que ce processus représente un moment historique dans l’avancement de la santé des femmes et des enfants.

Le PMNCH a annoncé que la liste des 56 interventions essentielles sera distribuée sans plus tarder à son énorme réseau social (440 partenaires), afin que tous puissent l’utiliser rapidement.

L’Afrique subsaharienne et l’Asie du Sud sont les deux endroits où il y a le plus haut taux de mortalité maternelle et infantile. La moitié des nouveau-nés meurent dans les 24 heures après la naissance, et 75 % au cours de la première semaine de vie.

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Être enfant et sans-abri

Parmi les enfants vivant au sein d’une famille à faible revenu, on estime que 10 % ont déjà été sans-abri durant un certain temps avant l’âge de 6 ans. De plus, 24 % d’entre eux ont dû être accueillis par une autre famille, des amis ou des parents avant ce même âge, lit-on sur Psychcentral.

Une étude de l’University of Illinois met en lumière la réalité de ces jeunes. Après avoir suivi 2631 enfants de l’âge de 5 ans à l’âge de 20 ans, on a pu évaluer le taux d’itinérance et celui de jumelage avec une autre famille. On a ainsi pu remarquer les effets sur la santé des enfants.

Les jeunes qui s’étaient déjà retrouvés sans-abri vivaient plus souvent avec un handicap que les autres. Près de deux fois plus avaient des problèmes de comportement ou affectifs, soit 15 % par rapport à 8 %. De plus, ils souffraient plus souvent d’asthme. En comparaison avec un groupe sujet (20 %), ces enfants étaient asthmatiques à 5 ans dans 28 % des cas.
 
On a toutefois remarqué que les agents stressants avaient un plus grand impact que les périodes sans domicile, chez les enfants issus d’une famille à faible revenu, que ce soit pour la santé physique ou le développement cognitif. Cette situation ferait donc partie des nombreux stress auxquels peuvent être confrontés ces enfants.
 
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Être enfant et sans-abri

Parmi les enfants vivant au sein d’une famille à faible revenu, on estime que 10 % ont déjà été sans-abri durant un certain temps avant l’âge de 6 ans. De plus, 24 % d’entre eux ont dû être accueillis par une autre famille, des amis ou des parents avant ce même âge, lit-on sur Psychcentral.

Une étude de l’University of Illinois met en lumière la réalité de ces jeunes. Après avoir suivi 2631 enfants de l’âge de 5 ans à l’âge de 20 ans, on a pu évaluer le taux d’itinérance et celui de jumelage avec une autre famille. On a ainsi pu remarquer les effets sur la santé des enfants.

Les jeunes qui s’étaient déjà retrouvés sans-abri vivaient plus souvent avec un handicap que les autres. Près de deux fois plus avaient des problèmes de comportement ou affectifs, soit 15 % par rapport à 8 %. De plus, ils souffraient plus souvent d’asthme. En comparaison avec un groupe sujet (20 %), ces enfants étaient asthmatiques à 5 ans dans 28 % des cas.
 
On a toutefois remarqué que les agents stressants avaient un plus grand impact que les périodes sans domicile, chez les enfants issus d’une famille à faible revenu, que ce soit pour la santé physique ou le développement cognitif. Cette situation ferait donc partie des nombreux stress auxquels peuvent être confrontés ces enfants.
 
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Défis des femmes enceintes à faible revenu

Une femme devra faire face à de nombreux défis durant sa grossesse si elle a un faible revenu. On lit sur Mail Online que près de trois quarts des femmes enceintes vivant avec un tel revenu n’ont pas accès à des cours prénataux.

Selon un sondage, 44 % des femmes enceintes qui ont un revenu moindre de 15 000 livres ne s’étaient pas vues offrir un cours prénatal par leur sage-femme. Toutefois, lorsque l’idée leur a été suggérée, 29 % seulement n’ont pu y participer. On rappelle que ce type de cours peut être payé par certains organismes.

Chez les nouvelles mamans à faible revenu, 26 % n’ont pas été dirigées vers un cours prénatal, alors que ce taux chute à 9 % chez celles qui ont un revenu supérieur à 40 000 livres.

Un cours prénatal couvre des sujets importants, dont le travail en lui-même, l’allaitement et les soins à prodiguer au nouveau-né.

Le présent sondage a finalement révélé que le tiers des femmes jugeaient ne pas avoir suffisamment rencontré leur sage-femme durant leur grossesse.

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Les migraines chroniques liées au faible revenu

Les personnes qui souffrent de migraines chroniques sont plus susceptibles d’avoir un revenu annuel de moins de 30 000 $, comparativement à celles qui ont des migraines épisodiques, selon une étude américaine.
 
Des chercheurs ont analysé les réponses à des questionnaires de 370 personnes souffrant de migraines chroniques et 6 550 personnes avec des migraines épisodiques. On a noté que 38 % des migraineux chroniques gagnaient moins de 30 000 $ par année, alors que chez les migraineux épisodiques, ils étaient 26,6 % à cumuler un tel revenu.
 
De plus, les douleurs (ou céphalées) sont plus intenses avec les migraines chroniques. Ces dernières se caractérisent par des douleurs intenses locales sur plus de 15 jours par mois.
 
Peu importe le type de migraines, elles s’accompagnent bien souvent de nausées et vomissements, avec une grande sensibilité à la lumière et au son. Il s’agit d’un syndrome neurologique.
 
Les résultats des travaux ont été présentés lors de l’European Headache and Migraine Trust International Congress.