Catégories
Uncategorized

L’avocat pourrait contribuer grandement à la perte et au maintien du poids

De nouvelles recherches vantent les mérites de l’avocat, qui serait un ingrédient idéal à ajouter à nos recettes dans le cadre d’un objectif de perte ou de maintien du poids, rapporte Medical News Today.

En effet, le fruit de l’avocatier permet non seulement des apports nutritifs non négligeables, mais aussi un plus grand sentiment de satiété, apprend-on des conclusions proposées par l’Université Loma Linda et présentées en Espagne lors du 20e Congrès International de Nutrition.

« Même si d’autres études sont nécessaires, cette recherche propose des indices prometteurs et une base pour des recherches ultérieures qui déterminent l’effet de l’avocat sur la satiété, les niveaux de sucre dans le sang et sa réponse d’insuline », explique Nikki Ford, directrice de cette recherche.

Autant de raisons, donc, d’inclure des portions d’avocat, même minimes, dans nos recettes et assiettes, puisque ses bienfaits sont multiples et permettent un impact réel sur la santé physique.

Catégories
Uncategorized

Perdre du poids par la satiété

Science Daily propose une recherche présentée lors de la réunion annuelle de l’Institute of Food Technologists (IFT), à Chicago, qui prône l’importance de bien choisir ses collations afin de ne pas prendre du poids, mais aussi d’en perdre.

Le raisonnement est fort simple : en choisissant des collations qui comblent plus rapidement votre faim, vous n’aurez pas à manger surabondamment pour arriver au même résultat.

Ce constat peut en effet sembler simpliste. Avouons toutefois que nous ne choisissons que rarement nos collations et récompenses alimentaires en nous demandant quelle option présente la meilleure chance de nous faire atteindre un rapide état de satiété.

On préfère souvent les chocolats, craquelins salés et croustilles de ce monde sans aucune considération pour notre faim et la résolution du problème réel (ne plus avoir faim).

Pourtant, en choisissant une collation qui nourrit vraiment l’organisme, il est permis de croire que l’on peut perdre du poids… sans avoir faim de nouveau!

« La maîtrise de l’appétit est un domaine qui reçoit de plus en plus d’attention de la part de l’industrie alimentaire, qui cherche à proposer aux consommateurs des produits qui les gardent remplis plus longtemps », affirme Dr Roberta Re, une nutritionniste britannique.

cience Daily propose une recherche présentée lors de la réunion annuelle de l’Institute of Food Technologists (IFT), à Chicago, qui prône l’importance de bien choisir ses collations afin de ne pas prendre du poids, mais aussi d’en perdre.

Le raisonnement est fort simple : en choisissant des collations qui comblent plus rapidement votre faim, vous n’aurez pas à manger surabondamment pour arriver au même résultat.

Ce constat peut en effet sembler simpliste. Avouons toutefois que nous ne choisissons que rarement nos collations et récompenses alimentaires en nous demandant quelle option présente la meilleure chance de nous faire atteindre un rapide état de satiété.

On préfère souvent les chocolats, craquelins salés et croustilles de ce monde sans aucune considération pour notre faim et la résolution du problème réel (ne plus avoir faim).

Pourtant, en choisissant une collation qui nourrit vraiment l’organisme, il est permis de croire que l’on peut perdre du poids… sans avoir faim de nouveau!

« La maîtrise de l’appétit est un domaine qui reçoit de plus en plus d’attention de la part de l’industrie alimentaire, qui cherche à proposer aux consommateurs des produits qui les gardent remplis plus longtemps », affirme Dr Roberta Re, une nutritionniste britannique.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Ne magasinez pas quand vous avez faim

On connaît tout de même l’adage qui dit qu’il est mieux d’avoir mangé avant de faire l’épicerie. C’est la même chose pour le magasinage, puisqu’on rencontre un nombre impressionnant de kiosques et restaurants de nourriture hypercalorique.

Une nouvelle étude des chercheurs de l’Université de Cornell a été effectuée auprès d’un premier échantillon de 62 personnes qui étaient privées de nourriture 5 heures avant le magasinage, puis d’un second groupe de 82 personnes à qui l’on avait donné des craquelins pour satisfaire leur faim.

La corrélation entre le niveau de privation de nourriture et les choix d’aliments effectués étaient flagrants. Plus les gens avaient faim, plus ils choisissaient des aliments à haute teneur calorique. Plus ils étaient rassasiés, plus les choix se tournaient vers des aliments sains.

L’étude a même vérifié, justement, les habitudes des gens à l’épicerie, en surveillant les paniers entre 16 h et 19 h, puis entre 13 h et 16 h. Le premier groupe était plus enclin à avoir faim, tandis que le second devait en principe être rassasié.

Les mêmes résultats ont été observés. Le premier groupe optait pour des solutions hypercaloriques, alors que le second groupe, en général, effectuait des choix santé.

Selon Medical News Today, l’auteur de l’étude a indiqué que même la plus petite faim influence nos choix d’alimentation. La meilleure option consiste donc à prendre une collation avant de partir.

Catégories
Uncategorized

Un rapport rappelle l’importance des fibres pour l’organisme

Les fibres sont assurément les alliées des consommateurs, rapporte Santé Log, alors qu’un rapport sur le sujet est publié par Tate & Lyle, une firme alimentaire.

Attention, cette compagnie œuvre notamment dans le domaine de la distribution de produits alimentaires et de fibres, mais le rapport semble s’appuyer sur des études réelles et concrètes.

De toute façon, il n’existe pas réellement de controverse ou de polémique entourant les fibres, et les bienfaits de celles-ci sont unanimement reconnus par les spécialistes en nutrition de partout dans le monde.

Donc, on rapporte qu’outre les apports nutritifs essentiels offerts par les fibres, comme le calcium, celles-ci permettent également une meilleure satiété. Cela signifie que votre faim sera mieux rassasiée en consommant des fibres, ce qui évite de sombrer dans les repas surchargés et les collations constantes.

De plus, les fibres permettent une meilleure digestion, un processus essentiel au bon fonctionnement de tout l’organisme.

On déplore le manque de fibres dans le régime alimentaire moyen des Nord-Américains, et on ne saurait trop conseiller aux gens de découvrir les vertus associées aux fibres, conclut le rapport.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’olive aiderait à se sentir rassasié

L’huile d’olive est déjà reconnue pour ses propriétés bénéfiques pour le coeur dans le cadre du régime méditerranéen, mais une étude européenne montre un nouveau bienfait, assez surprenant.

Contrairement aux produits pauvres en matières grasses ou riches en d’autres types de graisses naturelles, l’huile d’olive permet de réguler la sensation de satiété après le repas, ce qui pourrait aider à éviter le grignotage.

Des chercheurs de la Technische Universität München (TUM) de Munich et de l’Université de Vienne ont étudié quatre différents types de graisses comestibles : la graisse de porc, le beurre, le colza et l’huile d’olive.

Sur une période de trois mois, les participants à l’étude consommaient 500 grammes de yogourt allégé enrichi avec un de ces trois types de graisse chaque jour, dans le cadre de leur régime quotidien habituel.

« L’huile d’olive enregistrait le plus grand effet de satiété », rapporte le chercheur Peter Schieberle de l’Université de Munich. « L’huile d’olive montrait une plus forte concentration de l’hormone de satiété, la sérotonine, dans leur sang. De façon subjective, les participants ont aussi rapporté qu’ils trouvaient les yogourts avec l’huile d’olive plus nourrissants. »

Les résultats de cette étude ont aussi révélé que l’arôme d’huile d’olive jouait un important rôle dans le sentiment de satiété. Les chercheurs ont utilisé de l’huile d’olive produite en Espagne, en Grèce, en Italie et en Australie et ont trouvé que l’huile italienne était plus chargée en composants d’arômes, l’Hexanal et l’E2-Hexanal.

« Nos conclusions montrent que l’arôme peut réguler la satiété », ajoute le professeur Schieberle. « Nous espérons que ce travail ouvrira la voie au développement de produits pauvres en matière grasse plus efficace, mais néanmoins rassasiants. »

Catégories
Uncategorized

Moins manger grâce à un nouveau type d’intervention

The National Library of Medicine rapporte qu’une nouvelle technique développée dans le cadre de la lutte à l’obésité permettrait à certaines personnes de manger moins ou d’avoir moins faim, selon les conclusions des chercheurs de la New York Cardiovascular Research basés à New York.

Il s’agit d’une intervention peu invasive, mais qui aurait déjà fait ses preuves lors des premiers essais cliniques. Cinq patients ont pour l’instant testé l’opération, et ils ont en grande majorité perdu du poids, parfois jusqu’à 45 livres.

La technique propose de bloquer une artère située dans l’estomac, empêchant ainsi un certain apport sanguin vers l’organe, un processus qui produit une hormone que l’on dit « responsable » de la faim.

Moins de sensation de faim, donc, pour les patients qui subiraient l’intervention et qui pourraient ainsi avoir un meilleur contrôle sur ce qu’ils mangent.

Présenté lors du congrès annuel de l’American College of Cardiology, ce rapport soulève l’optimisme de plusieurs chercheurs, mais il faudra attendre des tests plus poussés pour parler d’une véritable percée.

« Si des études plus larges et aléatoires démontrent des résultats similaires, ceci pourrait s’avérer une méthode alternative simple à la chirurgie de l’estomac que l’on connait en ce moment. »

Catégories
Uncategorized

Une grenade qui fait maigrir

Vous aurez sans doute compris que l’on parle ici du fruit, qui a presque complètement perdu sa place dans le régime alimentaire nord-américain (comme bien d’autres excellents fruits et légumes, d’ailleurs).

Voilà que Top Santé rapporte une étude écossaise, effectuée à l’Université Queen Margaret d’Édimbourg, qui affirme que la grenade est une alliée de taille dans la lutte aux kilos en trop.

Il appert que cet aliment permet de mieux gérer sa faim et d’en ressentir beaucoup moins les effets.

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont analysé les comportements de 29 sujets. Certains ont reçu des compléments de grenade à leur régime, alors que d’autres n’ont reçu qu’un simple placebo.

On leur demandait ensuite de se placer devant une bonne assiette de pâtes, alors que les chercheurs identifiaient les réactions de ces volontaires en les observant et par voie de sondages.

Les résultats semblent probants, à un point tel que les chercheurs peuvent affirmer que le groupe ayant reçu des suppléments de grenade ressentait moins la faim (12 % moins), se sentait plus satisfait après les repas (plus 16 %) et avait moins envie de manger constamment (21 % moins).

Avec de tels chiffres, la grenade n’a plus de raison de ne pas effectuer un grand retour dans votre assiette! On recommande les compléments et extraits de grenade, vendus dans plusieurs boutiques.

Catégories
Uncategorized

Comment reconnaître les différents pleurs de bébé

Comme le mentionne plurielles.fr, inutile d’énerver votre nourrisson en faisant le tour des besoins « possibles » lorsqu’il se met à pleurer. Procédez par élimination et restez calme.

La faim : Les pleurs les plus faciles à identifier. Ils débutent par des pleurs réguliers, puis s’accentuent rapidement, jusqu’à devenir, disons-le, insupportables si la faim n’est pas immédiatement calmée. Ces pleurs cessent dès qu’ils sont comblés par le lait.

La douleur : Principalement causés par les coliques, les pleurs se manifesteront au rythme des douleurs intestinales. Il n’y a pas de solution miracle, mais en le prenant dans nos bras et en frottant son ventre, ou encore en repliant ses jambes sur son abdomen, on peut soulager bébé temporairement.

Inconfort : La température ambiante — trop froide ou trop chaude — incommode rapidement le nourrisson. Prenez l’habitude de vérifier s’il n’est pas en sueur, ou au contraire, si ses mains et ses pieds sont gelés. Par la suite, vérifiez sa couche. Les pleurs d’inconfort dénotent généralement plus d’agacement et ressemblent à une plainte plutôt qu’à des pleurs francs et intenses.

La fatigue ou le réconfort : Ces deux éléments vont parfois de pair. Il arrive que votre bébé s’ennuie de votre contact. C’est d’autant plus présent chez lui lorsqu’il est fatigué. Ses pleurs seront alors moins énergiques et plus sporadiques. Parfois, juste frotter son dos ou sa tête alors qu’il est dans son berceau lui apportera suffisamment de réconfort. D’autre part, vous reconnaîtrez éventuellement des signes tels que le frottement des yeux, puis une tendance à refuser systématiquement tout ce qui fonctionne habituellement. C’est alors l’heure du dodo.

Catégories
Uncategorized

L’antagoniste du fructose : le glucose

On a beaucoup parlé, et encore tout récemment, du fructose et de ses effets néfastes sur la santé. On vous apprenait cette semaine que les études concluent non seulement que le fructose est mauvais pour la santé (notamment parce qu’il est employé dans plusieurs produits de consommation usinés sous la forme de sirop de maïs, par exemple), mais aussi parce qu’il donne une impression de faim… sans fin.

Le fructose ne donne donc pas l’impression de satiété, ce qui pousserait les gens à manger davantage, malgré l’ingestion d’une tonne de calories.

Cependant, ce n’est pas le cas du glucose, qui fait ici figure d’antagoniste à son camarade. En effet, selon santelog.com, le glucose réussit quant à lui à envoyer le bon message de satiété à l’organisme, ce qui ne donne pas envie à l’individu qui en consomme de manger de nouveau tout de suite après.

Les chercheurs de Yale en tête de l’étude croient même que le glucose offre plus qu’une impression d’être rassasié, mais aussi un sentiment de plénitude, de bien-être.

C’est ce qu’observent les chercheurs chez les sujets qui favorisent le glucose au fructose, et c’est aussi vérifiable chez les animaux.

Bien sûr, on rappelle que le sucre en général est mauvais pour l’organisme, et que l’on doit en limiter sa consommation.

Catégories
Uncategorized

Le fructose est-il le véritable coupable du surpoids?

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui porte encore une fois un blâme au fructose, un sucre retrouvé dans les fruits, qui se voit réutilisé mécaniquement dans une panoplie de produits retrouvés sur le marché, sous la forme notamment du sirop de maïs.

Cette fois, on suggère que le fructose pourrait bien être la cause principale de la hausse des cas d’obésité et des statistiques désastreuses concernant le poids moyen des Nord-Américains.

C’est qu’en plus d’être un sucre et de ne pas posséder de véritables vertus pour la santé, le fructose ne couperait pas non plus la faim. Ainsi, malgré de larges quantités ingérées, les gens seraient tout de même enclins à manger rapidement de nouveau pour aller finalement chercher ce sentiment de satiété.

Ce sont des chercheurs de l’Université Yale qui arrivent à ces conclusions, après avoir analysé les réponses cérébrales de 20 sujets types, des hommes adultes en santé, à la suite de la consommation de produits renfermant de fortes doses de fructose.

Les hormones associées à la satiété ne sont pas produites en grande quantité lorsque les sujets consomment du fructose. Pour les spécialistes, cela signifie que le cerveau envoie le message que le corps a encore faim, malgré des tonnes de calories déjà consommées.