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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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La malbouffe serait plus dévastatrice que la faim dans le monde

C’est tout un constat que rapporte topsante.com, qui devrait franchement nous porter à réfléchir sur nos habitudes alimentaires en tant que Nord-Américains surgâtés.

Une étude internationale dévoile des statistiques étonnantes indiquant que la malbouffe et les comportements alimentaires des pays développés sont à l’origine de plus de décès que la malnutrition.

Véritable paradoxe alimentaire, cette situation est d’autant plus inacceptable qu’il est facile de penser que les deux situations pourraient sans doute s’améliorer si on « coupait dans le gras » en donnant nos surplus alimentaires aux pays affamés.

Selon l’étude, intitulée Global Burden of Disease, c’est plus de trois millions de décès dans le monde en 2012 qui sont liés à de mauvaises habitudes alimentaires. La faim, elle, est en cause dans près d’un million de morts.

Trois fois plus de décès pour trois fois plus de bouffe, il y a de quoi faire un sérieux bilan social.

L’étude compilait aussi les taux de mortalité impliquant d’autres facteurs, comme le tabagisme (1re place du lugubre décompte) et le cancer (qui est en progression de 38 % par rapport à 2011).

Les maladies et problèmes cardiovasculaires sont en baisse, avec un taux d’un décès sur quatre mondialement, contrairement à un sur cinq il y a 20 ans.

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Trop peu de sommeil pour trop d’appétit

Des chercheurs croient que le sommeil peut jouer un rôle dans la façon dont l’organisme réagit à la nourriture. Quelques études sur le sujet sont parues depuis quelque temps, et on trace un lien de plus en plus clair entre le sommeil et la nutrition.

En voici une nouvelle, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui fait maintenant une corrélation entre le nombre d’heures de sommeil et la puissance de l’appétit. Selon les chercheurs en tête de l’étude, trop peu de sommeil favoriserait l’amplification d’hormones qui font croître à leur tour l’appétit, ou le sentiment d’avoir faim.

De plus, ils se sont aperçus que le processus de la faim est différent chez les hommes et chez les femmes.

Un double constat que nous explique l’enquêtrice principale au dossier, Marie-Pierre Saint-Onge, de l’Obesity Nutrition Research Center (St. Luke’s/Roosevelt Hospital) de New York : « Les résultats obtenus pointent en direction d’un lien direct entre la privation de sommeil et la régulation de l’énergie. L’état “d’équilibre de l’énergie”, pour une personne qui est en période de gain ou de perte de poids, serait critique pour le métabolisme. Les réponses hormonales qui suivent une privation de sommeil sont des facteurs importants ».

Les résultats ne sont pas aussi clairs chez la femme, ajoute l’équipe de chercheurs. Le lien entre le sommeil et l’appétit chez la femme demeure à prouver, mais celle-ci ne réagit manifestement pas de la même façon que l’homme dans ce dossier.

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La nutrition pour célibataires endurcis

C’est bien connu que de manger seul est moins motivant que de préparer des plats pour deux. Manger à deux apporte une dynamique d’échange et de partage des plaisirs qu’une personne seule pourra difficilement ressentir, bien assis devant son téléviseur.

Ainsi, il faut contrer cela par des techniques et astuces de « célibataires » (qui s’appliquent aussi si vous ne l’êtes pas!), explique www.extenso.org.

Fini les repas congelés, les céréales en boîte ou encore le poulet rôti livré directement chez vous. Il faut d’abord bien préparer son plan de match. La préméditation est la clé, puisqu’il est décourageant de contempler un réfrigérateur et des armoires vides lorsqu’on a très faim.

On suggère donc de toujours avoir de bons aliments chez soi, des aliments qu’on aime et qui s’apprêtent de plusieurs façons. Salades, poissons en conserve, œufs, pains (réguliers, pitas, etc.), fromages et légumes frais sont tous des ingrédients faciles à apprêter, et ce, rapidement.

Vous devez d’abord penser à ce que vous aimez vraiment manger, et en faire des provisions. Ensuite, il est conseillé de ne pas attendre à la dernière minute pour penser à son repas, puisqu’une faim trop puissante vous poussera vers des solutions rapides et peu efficaces.

Faites aussi congeler vos repas favoris!

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Boire de l’eau ou une tisane pour couper les fringales

(Relaxnews) – Difficile de résister à la tentation d’un carré de chocolat ou d’un dessert sucré. Pourtant, chaque femme a son petit secret pour ne pas céder à la gourmandise.

D’après une étude réalisée par l’institut BVA pour Taillefine, 44 % des Françaises déclarent boire un grand verre d’eau ou une grande tisane pour ne pas craquer. D’autres préfèrent manger un yaourt nature ou un fruit (29 %) ou complètement oublier la nourriture en s’évadant avec un livre (16 %).

D’une façon générale, les femmes ont conscience d’être gourmandes et n’ont aucun problème avec ça. Près de la moitié des Françaises (46 %) affirment assumer cette gourmandise, et 36 % disent apprécier ces petits plaisirs tout en sachant se maîtriser.

Près d’un cinquième des sondées (18 %) avoue toutefois qu’il est difficile de ne pas craquer, malgré de longs moments de résistance.

La maison est le lieu où il est le plus difficile de résister à la tentation (77 % en première citation). Toutefois, les femmes ont également tendance à céder à la gourmandise au restaurant ou au travail (7 %).

Cette étude a été réalisée en ligne par BVA, entre le 20 et le 27 février dernier, auprès d’un échantillon national représentatif de 1000 femmes âgées de 18 à 65 ans.

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Les raisins secs contre la faim

En fait, manger ce fruit permettrait non seulement de contrôler la faim, mais aussi de consommer une quantité réduite de calories par rapport à la consommation d’un autre type de fruit.

C’est ce qu’a révélé une étude subventionnée par le California Raisin Marketing Board. Des enfants de 8 à 11 ans ont mangé différentes collations (raisins secs, biscuits aux pépites de chocolat, croustilles et raisins frais) jusqu’à ce qu’ils se disent rassasiés.

L’appétit a été mesuré avant et après la collation, permettant aux experts de constater que les enfants mangeaient moins après avoir grignoté des raisins secs. Ils absorbaient donc moins de calories et la portion de nourriture mangée au repas suivant la collation diminuait de 10 à 19 %.

« Nous avons constaté que la consommation de raisins secs en tant que collation permettait d’éviter la consommation excessive de calories, qu’elle augmentait la sensation de satiété et qu’elle pouvait ainsi contribuer à la conservation d’un poids santé chez les enfants d’âge scolaire », explique le chercheur derrière cette étude, Harvey Anderson.

Rappelons également que les raisins auraient la propriété de protéger contre le cancer de la peau et le vieillissement prématuré.

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Tous les fruits ne sont pas bons en collation

Bien que tous les fruits soient bons pour la santé, en manger trop peut avoir un impact négatif sur l’organisme, et certains plus que d’autres.
 
Si la fringale vous prend, il est toujours plus judicieux d’opter pour des fruits. La famille des baies, comme les bleuets, les fraises et les framboises, est un excellent choix. Ces fruits regorgent de vitamines et d’antioxydants.
 
Les pommes, les poires et les avocats sont riches en vitamine C et en fibres pour une bonne digestion.
 
Attention, les melons et pastèques contiennent beaucoup de sucre. Il serait préférable de réduire leur consommation si vous êtes diabétique, par exemple.
 
Les ananas aussi ont beaucoup de sucre, mais ils contiennent de nombreux éléments nutritifs, dont l’enzyme broméline qui réduit l’inflammation.
 
Même chose pour les mangues et les papayes à consommer avec modération. Remplacez-les plutôt par des bananes. Bien qu’elles contiennent une bonne quantité de sucre, elles sont reconnues comme une excellente source d’énergie.
 
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Les oeufs peuvent faire éviter le grignotage en matinée

Les personnes qui consomment un ou deux œufs au petit déjeuner ont moins de risque de succomber au grignotage en matinée.
 
Selon le Daily Mail, les œufs offrent des protéines qui permettent de se sentir rassasié plus longtemps.
 
Pour la nouvelle étude, on a demandé à 20 personnes en bonne santé et ayant environ la même taille de consommer des œufs ou un bol de céréales. Après une semaine, ils changeaient pour l’autre option.
 
Lorsque ces personnes ont mangé les œufs, elles se sont senties plus rassasiées jusqu’à midi qu’avec les céréales.
 
De plus, les tests ont démontré que le niveau de ghréline, l’hormone associée à la faim, était beaucoup plus bas chez les mangeurs d’œufs.
 
Ceci pourrait donc également aider les personnes qui veulent perdre du poids à cesser de grignoter entre le petit déjeuner et le déjeuner, par exemple.
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Allaitement : des mamans inquiètes, des bébés capricieux

Ils ont faim : ils pleurent. C’est le mode d’expression des nourrissons pour signaler qu’ils ont l’estomac vide.

Selon une nouvelle étude réalisée par des spécialistes du Medical Research Council de Cambridge, de l’University College London et de l’Université Paris-Sud, publiée dans la revue scientifique PLoS ONE, il semblerait que les nouveau-nés, qu’ils soient allaités ou non, laissent entrevoir rapidement différents traits de caractère.

C’est grâce à un questionnaire sur le tempérament et sur le mode d’alimentation — le Revised Infant Behavior Questionnaire – que 316 jeunes mamans ont été interrogées trois mois après la naissance de leur enfant.

Les résultats de cette étude ont démontré que les mères qui allaitent ressentent davantage d’inquiétude par rapport à l’idée de manquer de lait et d’être dans l’incapacité de satisfaire le petit.

En ce qui concerne les différences entre les enfants nourris au biberon, au sein uniquement ou par allaitement mixte : elles sont grandes.

Les bébés allaités exclusivement ou de façon variée obtiennent de moins bonnes réponses à la stimulation et une plus faible capacité à contrôler leurs émotions.

Les mamans qui donnent le sein considèrent également leur bébé comme plus « difficile » à calmer que celles qui donnent le biberon.

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Allaitement : les bébés pleurent plus, dorment moins bien et sourient moins

Les chercheurs d’une nouvelle étude britannique croient que l’irritabilité liée à l’allaitement maternel est naturelle. Il ne s’agirait donc pas d’un signe de stress ou même nécessairement qu’il a faim si votre enfant dort moins bien ou rit moins.

Le bébé allaité chercherait davantage le confort, l’attention, la chaleur, la sécurité et le contact avec la peau de sa mère. Voilà ce qui expliquerait ses larmes plus fréquentes.

Le bébé nourri au biberon, lui, semble plus détendu, car il a souvent trop mangé. Un peu comme les adultes qui trouvent du réconfort en mangeant, les enfants peuvent être plus calmes parce qu’ils ont mangé ou bu plus qu’ils ne le devaient.

En revanche, l’allaitement maternel a démontré ses preuves pour aider à protéger les bébés contre l’obésité, l’eczéma, les problèmes cardiaques et les maux d’estomac et d’oreilles.

Rappelons que l’allaitement réduit les chances de cancer du sein chez la mère et facilite la perte de poids après la grossesse.

Les comportements de plus de 300 bébés, âgés de trois mois, ont été évalués pour cette étude.