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Les familles reconstituées : plus exigeant pour les femmes

Le site PsychologyToday cite quelques raisons trouvées dans le livre Stepmonster de l’auteure et psychologue Wednesday Martin.

Selon des études rapportées par Martin, pour des raisons émotionnelles et sociales, les femmes sentiraient plus de pression que les hommes à tenter de créer une nouvelle « vraie famille » avec leur conjoint et les enfants issus de sa précédente relation.

De plus, comme les femmes ont tendance à plus de rancune sur une plus longue période que les hommes, la nouvelle conjointe se retrouve souvent avec l’ex de monsieur dans les parages.

Les hommes, eux, préfèrent généralement que la nouvelle situation se passe sans trop de vagues. La mère sera plus intrusive et tentera parfois d’imposer ses directives concernant ses enfants même lorsqu’ils sont dans l’autre maison.

Autre situation potentiellement dure à gérer pour la nouvelle conjointe : le rôle de conseillère conjugale et familiale. Contrairement aux hommes, les femmes sont sentent plus impliquées au niveau de la nouvelle famille.

Elles sont plus nombreuses à se renseigner sur le sujet des familles reconstituées et tenteront possiblement d’éduquer leur conjoint et les enfants de celui-ci afin d’améliorer leur relation. Voilà une démarche qui peut s’avérer frustrante et insatisfaisante si ces autres membres du nid ne démontrent pas le même intérêt.

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Comparer nos enfants, une erreur!

Que ce soit conscient ou non, certains parents ont tendance à comparer leurs enfants entre eux où avec ceux des autres. Non seulement c’est indélicat et potentiellement blessant, mais c’est même mauvais pour leur développement. Nos enfants sont tous différents, avec des forces et des lacunes.

Les comparer à « mieux » qu’eux ne fera que les faire sentir insuffisants ou frustrés, et potentiellement développer des problèmes d’insécurité.

Sur ParentsCanada, une blogueuse en parle ouvertement et donne sa famille en exemple. Elle note certaines observations intéressantes.

« Si vous comparez vos enfants, vous être loin du but qui explique la raison d’en avoir. Le point, bien sûr, est de comprendre et développer vos enfants pour ce qu’ils sont, et non pour les comparer aux autres. Cela est d’autant plus vrai pour une famille recomposée dans laquelle vous commencez à distinguer les prédispositions génétiques des enfants de chaque famille. »

« Un enfant pourrait être un élève doué sur le plan visuel, et un autre peut se démarquer en apprenant par cœur. En fin de compte, le but est de prendre chaque enfant pour ce qu’il l’est, de réaliser son potentiel et de mettre sur sa route les outils dont il a besoin pour se développer. »

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Comment réussir des vacances en famille reconstituée

Planifier : Des vacances, ça se planifie, spécialement dans ce cas-ci. Il ne faut jamais oublier que « chacun est un intrus pour l’autre ». Alors, il vaut mieux « prévenir que guérir », affirme la psychologue Catherine Jousselem.

Laisser tomber la rivalité : Les enfants du divorce fondent souvent beaucoup d’espoir dans le fait que les vacances seront l’occasion de « vivre une expérience en monoparentalité » privilégiée et intime avec un de leurs parents. Pour les nouveaux conjoints, il est bien de tout simplement accepter que l’on n’est pas forcément les bienvenus et de ne pas le prendre de manière personnelle.

Trouver sa place : Entre les deux familles, il y a parfois des mentalités sur l’éducation des enfants qui sont complètement différentes. Pour le nouveau conjoint, il est bon de ne pas imposer ses propres opinions ou manières de faire, mais plutôt de laisser le parent prendre les décisions.

Gérer les petits conflits à mesure : Souvent, les petites chicanes surviennent parce que les enfants provenant de familles différentes vivent une rivalité et tentent d’établir la loyauté de leur parent. C’est aux adultes d’être patients, de faire la part des choses et, dans le pire des cas, de prévoir des activités séparées pour faire baisser un peu la tension.

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Rapport sur la famille : de multiples modèles

Il semble que la famille canadienne n’ait plus de modèle établi, nous apprend Parentcentral.

Katherine Scott, la directrice des programmes de l’Institut Vanier, a fait paraître un rapport de près de 200 pages intitulé Families Count et basé sur des données de 2006.

On peut y lire, entre autres, que 48 % des couples canadiens sont mariés, ce qui représente une baisse marquée.

En effet, si 80 % des enfants de moins de 15 ans avaient des parents mariés il y a 20 ans, seulement 66 % vivaient cette situation en 2006.

Le modèle familial apparaît donc sous de nombreuses formes de nos jours : traditionnel, monoparental, reconstitué, parents de même sexe, conjoints de fait.

Dans le même ordre d’idée, la famille est plus petite et les gens se marient plus tard, si tel est le cas. L’union de conjoints de fait est celle qui a connu la plus forte ascension, soit de 5,6 % à 15,1 % en une vingtaine d’années.

Finalement, l’équipe de Katherine Scott a découvert que les couples sans enfants sont maintenant plus nombreux au Canada que ceux avec une progéniture.