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Les secrets pour déguster un brunch de Pâques au restaurant sans débourser un sou

Nous sommes maintenant à une période de l’année où le beau temps s’amène de plus en plus et il faut en profiter ! La journée de Pâques est le 9 avril prochain et il s’agit d’une belle occasion de pouvoir célébrer avec vos proches. 

Si vous êtes une personne qui aime le chocolat, il s’agit probablement de l’une de vos périodes de l’année favorites puisque Pâques arrive le dimanche 9 avril. 

Cette journée est souvent une belle occasion pour profiter de bons moments avec vos proches. Si vous allez du côté de la ville de Québec, il y a Le jardin d’hiver que vous pouvez aller visiter

Il y a également la fameuse visite à la cabane à sucre qui demeure un incontournable ! Si vous désirez bouger, le ski de printemps est toujours une superbe idée. 

Sans oublier le magnifique parcours nocturne immersif à Wendake ou une journée de détente dans un spa.

Bien évidemment, le brunch en famille est souvent l’option favorite de nombreux québécois. Il existe une façon pour vous permettre d’aller profiter de ce bon repas au restaurant sans avoir à vider votre portefeuille. 

La Carte Cobalt American Express vous offre une superbe prime de bienvenue afin de vous permettre de cumuler des points dès le départ. Découvrez ses nombreux avantages en visitant le lien plus bas :

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Mais ce n’est pas tout ! Cette carte vous offre 2 points par tranche de 1 $ d’achats admissibles de transport et d’essence au Canada et d’achats admissibles de voyage.

Vous obtenez donc 2 fois les points sur les achats qui vous amènent du point A au point B mais également 1 point par tranche de 1 $ d’achats portés à la Carte partout ailleurs.  

Tout le monde a le droit de faire ses propres choix et nous avons tous des réalités différentes. Vous avez donc un outil intéressant qui pourra vous guider au travers de vos décisions.

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Nightlife.ca

Tripeux de théâtre? Voici 5 pièces à voir ce mois-ci!

Au Québec, l’industrie du théâtre est vraiment dynamique! Malgré qu’elle ait été fortement frappée par la COVID-19, elle s’est relevé en force et propose aux Québécois.e.s plusieurs pièces de théâtre toutes plus intéressantes les unes que les autres.

Côté culturel, le mois de septembre est souvent bouillonnant de nouveautés! C’est pourquoi plusieurs pièces sont présentées pour la première fois ou pour une nouvelle fois durant ce mois-ci.

Ci-dessous, découvrez cinq pièces de théâtre qui prendront l’affiche en septembre.

Embrasse

Crédit: Jean-François Gratton, une communication compagnie et cie

Embrasse est une pièce écrite par Michel Marc Bouchard et mise en scène par Eda Holmes. Elle est jouée au Théâtre du Nouveau Monde. On y suit l’histoire de Béatrice Lessard et de sa voisine, madame Maryse. Cette dernière a souvent porté plainte contre Béatrice Lessard pour violence envers son garçon et elle fera elle aussi les frais de cette violence en se faisant frapper par la mère. L’enfant, Hugo, est très singulier. Il embrasse les gens sans raison et rêve de devenir couturier. D’ailleurs, il a le projet de créer une tenue éblouissante pour sa mère afin qu’elle la porte lors du procès et qu’elle soit ainsi innocentée.

Vous trouverez plus d’informations ici.

Manuel de la vie sauvage

Crédit: Théâtre Duceppe

Manuel de la vie sauvage est une pièce écrite par Jean-Philippe Baril Guérard et mise en scène par Jean-Simon Traversy. On suit Cindy Bérard, une jeune multimillionnaire et fondatrice de Technologies Huldu inc. Son mantra: «Il n’y a rien de plus puissant qu’une idée». Mais la route vers la réalisation de cette idée est jalonnée de pièges…

Véritable satire du monde des start-ups et des conférences de motivation, Manuel de la vie sauvage nous amène loin dans les questionnements d’éthique, de pouvoir et d’argent.

Vous trouverez plus d’informations ici.

Adieu Monsieur Haffmann

Crédit: Théâtre du Rideau Vert

Adieu Monsieur Haffmann est une pièce écrite par Jean-Philippe Daguerre et mise en scène par Denise Filiatrault. On se trouve catapulté à Paris sous occupation allemande, en 1940. Joseph Haffmann, de confession juive, doit céder sa bijouterie à son employé Pierre Vigneau et se cacher dans la cave. Mais combien de temps devra-t-il faire cela? Et à quel prix?

Cette pièce a remporté un grand succès en France et c’est un bonheur d’avoir l’occasion de la voir ici au Québec.

Vous trouverez plus d’informations ici.

Seeker

Crédit: Centre du Théâtre d’aujourd’hui

Seeker est une création de l’autrice Marie-Claude Verdier mise en scène par Justin Laramée. On y suit David Boutin et Madeleine Péloquin dans leurs personnages de Lomond et son ex-femme. Campée en 2250, au Colorado, l’histoire tourne autour de Lomond qui est un Seeker, soit quelqu’un qui a la capacité d’accéder aux souvenirs des autres. Il sera appelé à collaborer avec le gouvernement et cela l’amènera face-à-face avec son ex-femme.

La pièce est une sorte de thriller de science fiction qui saura plaire à un grand nombre de personnes. Les thématiques explorées sont la corruption, l’utilisation de l’intimité à des fins de pouvoir ainsi que la réalité versus la fiction.

Vous trouverez plus d’informations ici.

Nassara

Crédit: Centre du Théâtre d’aujourd’hui

Nassara est une pièce de théâtre écrite par Carole Fréchette et mise en scène par Sophie Cadieux. Dans cette pièce, on suit Marie-Odile qui est en voyage à Ouagadougou, au Burkina Faso, dans le cadre d’un colloque international sur l’agriculture urbaine. Incapable de se concentrer, Marie-Odile a en tête un incident étrange arrivé la veille. Lorsque ce sera à son tour de prendre la parole, la porte de la salle s’ouvrira et tout basculera.

Nassara signifie le Blanc, la Blanche en moré. L’autrice s’est inspiré de son séjour à Ouagadougou pour rédiger cette pièce. Elle a d’ailleurs été coproduite par le Théâtre des Récréâtrales de Ouagadougou.

Vous trouverez plus d’informations ici.

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Art de vivre

Le Bas-Saint-Laurent avec des enfants (Partie 3) : Le Témiscouata

Récemment, je vous suggérais des activités kid-friendly dans le Kamouraska et dans la région de Rimouski que nous avons découvertes pendant nos vacances. Après ces deux arrêts, nous nous sommes éloignés du fleuve pour nous diriger vers le Témiscouata. Et là aussi, évidemment, nous avons trouvé de beaux endroits parfaits pour les familles!

Le Parc national du Lac-Témiscouata

Crédit:Quartz

Les parcs de la Sépaq sont toujours agréables à visiter, et le Parc national du Lac-Témiscouata ne fait pas exception! Le secteur du Grand Lac Touladi (magnifique!) a été le favori des enfants. Nous avons loué un pédalo pour nous promener sur le lac, et Coco et Bout d’Chou ont affirmé à de nombreuses reprises qu’il s’agissait du plus beau jour de leurs vies. De retour sur la terre ferme, ils ont profité de la belle plage, essayé d’attraper des poissons dans l’eau peu profonde et joué dans le coin jeu, avant de se diriger vers le sentier des Curieux de nature, un petit sentier d’hébertisme avec mini-tyrolienne et mur d’escalade.

Le lendemain, nous avons loué des vélos dans le secteur de l’Anse-à-William. Nous avons choisi de rouler sur le sentier Grey-Owl, plat et facile, mais il y a plusieurs sentiers cyclables entre lesquels choisir. En plus, la location de vélos pour enfants et de remorques à vélo est gratuite à la Sépaq, alors ça vaut vraiment la peine!

Le parc Clair Soleil

Crédit:Quartz

Avec des enfants, un parc, c’est toujours gagnant. Un parc comme le parc Clair Soleil, ça l’est encore plus! Les enfants qui ont besoin de dépenser de l’énergie ont un grand espace vert pour le faire, et ils peuvent choisir entre différentes sections avec des structures de jeu et même des jeux d’eau. De plus, le parc est situé sur une rue où se trouvent plusieurs endroits où acheter de quoi boire ou manger, comme la boulangerie Tentations gourmandes ou la crèmerie Les folies glacées (Coco et Bout d’Chou nous parlent encore de leur tornade!). 

La plage municipale de Cabano

Crédit:Quartz

Je triche un peu, parce que la plage était fermée en raison de mauvaise qualité d’eau lors de notre passage. Coco et Bout d’Chou ont été très déçus parce qu’elle était vraiment bien aménagée! L’espace de baignade est délimité par un quai à partir duquel on peut descendre à l’aide d’une échelle ou carrément se lancer à l’eau en utilisant une glissade. Les espaces de stationnement ne manquent pas, il y a un vestiaire où se changer et on va se le dire, l’eau est plus chaude que celle du fleuve! C’est également un bon endroit où admirer l’immense Lac Témiscouata, surtout au coucher du soleil. Nous ne manquerons pas de nous y baigner la prochaine fois que nous serons à Cabano!

Avez-vous d’autres suggestions d’activités dans le Témiscouata?

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Art de vivre

Douce nostalgie

(CHRONIQUE)

Je crois qu’on peut dire que je suis quelqu’un qui profite de la vie à fond. Je savoure chaque instant, je veux me souvenir de chaque détail, odeur et sentiment vécu. Je suis celle qui, après une journée de glissades en famille, se trouve chanceuse d’entendre ses ados chanter sur la banquette arrière et qui s’imprègne du moment. Ça fait en sorte que je n’ai que très rarement de regrets, par contre je suis une grande nostalgique. Je parle ici d’une douce nostalgie qui réchauffe le cœur, attendris l’esprit et mouille l’œil de bonheur. J’imagine que c’est pour ça que je suis une véritable collectionneuse de photos et vidéos souvenirs. La preuve, j’ai près de 130 000 photos et vidéos de mes enfants dans mon ordinateur et on aime beaucoup les regarder ensemble.

Crédit:Askar Abayev – Pexels

Je suis sincèrement heureuse d’avoir filmé autant de moments. Bien sûr, j’ai capturé leurs premières fois dans tout et immortalisé nos multiples voyages, mais aussi les petits moments bien ordinaires comme mon fils qui déguste une collation, ma grande qui se peigne les cheveux ou ma belle puce du milieu qui se brosse les dents. Parfois même, je les filmais à leur insu à travers la fenêtre de la cuisine alors qu’ils jouaient tous les 3 dans la cour. Ainsi, j’ai en souvenir des danses douteuses, des jeux de rôles loufoques et très souvent de petits moments tendres entre frère et sœurs.

Crédit:Olia Danilevich – Pexels

C’est fou ce que ça me fait en dedans quand je regarde ces souvenirs. Parfois, j’ai l’impression que ces enfants là, sur mon écran, sont figés dans le temps, qu’ils ne sont pas les mêmes que ceux assis à côté de moi. Ils me font rire et pleurer tellement je les trouve mignons même que par moment, je me dis que j’aimerais un petit 5 minutes avec eux, pour les bécoter dans le cou et leur mordiller les orteils. D’un autre côté, ces êtres fabuleux qui partagent mon présent; ces ados de 13-16 et 18 ans, je ne voudrais les échanger pour rien au monde! Nos conversations sont riches et nos moments ensemble sont de vrais bijoux. En réalité, au fond de moi, je crois que je voudrais les 2 versions de ces petits humains merveilleux. La version cute, dépendante et colleuse que je pourrais prendre dans mes bras et celle mature et drôle avec qui je partage des confidences et des moments privilégiés irremplaçables.

Le temps passe, les choses changent et les gens évoluent, c’est ce qui fait que la vie est si fabuleuse. Notre mémoire ne peut tout retenir avec exactitude alors ces vidéos sont pour moi la chose la plus précieuse que je possède. Et je ne me lasse pas de les regarder encore et encore. Comme si j’étais spectatrice de ma vie d’avant, de qui j’étais à l’époque, de notre quotidien dans notre petit cocon d’amour. J’ai la certitude que dans quelques années encore, je serai nostalgique des moments que je suis en train de vivre présentement, et pour moi, c’est signe que je suis réellement heureuse.

Et vous ? Êtes-vous nostalgiques ?

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Art de vivre

On rêve de câlins et de brunchs

(CHRONIQUE)

La pandémie nous fait réaliser à quel point des choses prises pour acquises et semblant si anodines peuvent soudainement nous être enlevées. Nos grands rêves et nos grandes ambitions se sont, pour certain.e.s, transformés en rêves si simples.

Pour ma part, je rêve de prendre un café avec ma mère, dans le confort de la maison familiale, aussi longtemps qu’on en a envie, sans distance (et un immense câlin). Je rêve aussi de serrer ma filleule, qui est à 500 km d’ici, dans mes bras. Je rêve de chaleur humaine.

J’ai demandé aux Moms (et Dad) du blogue ce qu’elles feraient une fois la pandémie derrière nous, ou à tout le moins, lorsqu’elle sera presque terminée. Voici le top 5 des réponses que j’ai reçues quant aux petites envies normalement si faciles à combler, mais si difficiles en ce moment.

  1. Faire un câlin à une autre personne qu’un membre de son foyer – et laisser les enfants faire des câlins aux autres aussi.
  2. Faire un repas entre adultes : bruncher avec sa meilleure amie, souper avec les voisins, partager un dessert au restaurant avec une amie, prendre un verre en famille élargie.
  3. Permettre aux enfants d’aller passer du temps chez leurs grands-parents, un soir, une nuit, une semaine en vacances, pour réchauffer leur coeur.
  4. Aller voir des spectacles ou participer à des activités… en vrai!
  5. Voyager, à 200 km ou à 2000 km, sans tracas.

Et vous, à quoi vous accrochez-vous pendant cette période un peu plus difficile? Quel doux souvenir vous enrobe d’amour et vous motive à continuer vos efforts pour contrer la pandémie?

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Art de vivre

Avoir des enfants rapprochés: mon constat 2 ans plus tard

Mon conjoint et moi avons un écart d’âge de 12 ans et, lorsque nous nous sommes rencontrés, il était déjà papa d’un petit garçon. Notre relation a évolué rapidement et nous avons eu notre fils, de 6 ans le cadet de son grand frère (demi-frère pour être exacte, mais chez nous, on préfère dire frère). Et puis SURPRISE! J’étais de nouveau enceinte de ma fille, qui s’est pointée le bout du nez 15 mois plus tard.  

Donc voici le topo à ce jour : un grand de 9 ans, un mini de 3 ans et une mini de bientôt 2 ans.

Je me fais souvent questionner à savoir si un court écart d’âge entre les enfants a été facile à gérer pour nous. Dans cet article, je vous livre donc un débriefing, 2 ans plus tard, de notre vécu familial, en espérant que notre expérience puisse aider à préparer un couple qui souhaite vivre une parentalité avec des enfants rapprochés en âge!

*N’oubliez pas qu’il s’agit de notre réalité, sur notre vécu familial et qu’il peut être tout à fait différent d’une famille à l’autre. Je vous invite à commenter pour nous offrir votre point de vue sur le sujet, qu’il soit différent ou similaire!*

Donc, si c’était à refaire, est-ce que j’envisagerais d’avoir des enfants rapprochés? Oui, absolument!

Et mon conjoint, lui? Pour être honnête… probablement pas aussi rapprochés!!! Notre aisance avec les enfants est différente, mon conjoint s’épanouit pleinement avec les cocos et de plus en plus lorsqu’ils grandissent et gagnent en assurance. Il a évidemment été présent et m’a énormément soutenu tout au long de la période du 0-1 an, mais croyez-moi, il était absolument hors de sa zone de confort!

Il a réellement commencé à prendre ses aises avec notre fils à ses 15 mois. La naissance de la cocotte m’obligeait évidemment à réorganiser mon temps, mais le changement s’est opéré principalement lorsque la vie nous y a obligés. À ses 3 semaines, notre fille a été hospitalisée 10 jours en soins intensifs pédiatriques : j’ai donc passé 10 jours à l’hôpital à ses côtés et, mon conjoint, 10 jours seul avec notre fils de 15 mois. J’étais morte d’inquiétude, pour ma fille évidemment, mais aussi pour mon conjoint qui devait gérer le train-train quotidien seul (les chiens, le travail, l’école, la garderie, les repas, le ménage, etc.). La beauté dans cette épreuve, c’est que mon conjoint a totalement assuré! Il a pris sa place auprès de notre 15 mois et je suis certaine que ces 10 jours ont eu un impact positif sur leur relation père/fils et sur la confiance de mon conjoint quant à son rôle de papa.

Mais, pour ma part, ce que j’ai trouvé le plus difficile durant les 4 dernières années, c’est l’obligation d’adaptation continuelle à laquelle nous avons fait face. Les périodes d’adaptation font partie de l’aventure de la parentalité, mais je crois qu’elles sont décuplées lorsqu’on a des enfants rapprochés en âge.

Je vous explique. Il y a…

L’adaptation à la 1re grossesse — toutes les aspirations, les inquiétudes, les maux, les trimestres, les craintes, l’accouchement, etc. qui bousculent le cours de notre existence.

L’adaptation à la maternité : devenir maman pour la première fois est un changement énorme, la vie fait un 360, c’est une période d’adaptation merveilleuse, mais également éprouvante. Puis, on prend ses marques et on avance de plus en plus avec assurance jusqu’à ce qu’on entre dans une nouvelle ère (allaitement, biberon, purée, DME, dodo changeant, bébé marche, bébé court partout, bébé te met au défi… Et ainsi de suite, pour… TOUJOURS!)

Eh oui, on réalise tranquillement l’ampleur que la parentalité prend avec le temps : je serai maman pour toute la vie et que je continuerai (je l’espère!) de suivre les phases de mes enfants avec intérêt tout au long de leur vie et de la mienne. Cela implique donc une ADAPTATION obligée pour le restant de ma vie!

L’adaptation du couple aussi : entre nos rôles d’amoureux, d’amants, d’amis et de parents, il y a également tout un monde. Le temps pour le couple est moindre, sans parler de mon corps, de mes envies et désirs qui avaient changé. Le tout combiné à notre charge de tâches quotidiennes qui n’allait pas en diminuant! Ouf! De mon point de vue, le couple est rudement mis à l’épreuve et, ironiquement, c’est une des choses que je trouve tellement magnifique dans la parentalité! Car traverser toutes les étapes, franchir nos seuils de tolérance, s’épauler et se soutenir dans toutes les circonstances nous a rendus plus proches que jamais (bien malgré la distance qu’un bébé peut créer dans un couple!)

L’adaptation de la fratrie : un petit bonhomme qui passait soudainement d’enfant unique à grand frère, c’est beau, mais ça passe évidemment par des hauts et des bas!  

L’adaptation dans notre vie sociale, qui englobe le temps consacré à nos loisirs, à nos amis et notre famille. Sans oublier les relations qui changent et évoluent selon différents facteurs comme le statut parental, les choix, la disponibilité, etc. de nos proches et de nous-mêmes.

Et puis, dans le cas d’une 2e grossesse rapprochée, toutes ces adaptations s’ajoutent à…

L’adaptation à la 2e grossesse, qui dans bien des cas, ne sera absolument pas identique à la première. Le tout en gérant son bébé de 6 mois qui poursuit son développement.

L’adaptation au nouveau bébé et à tous les aspects de la maternité qui reviennent (allaitement, début de l’alimentation, le sommeil, etc.).

L’adaptation de la fratrie qui revient et qui diffère, parce qu’à 15 mois, le nouveau grand frère ne comprend absolument pas pourquoi maman a un autre bébé dans les bras! Il doit apprendre à laisser de la place à sa nouvelle petite sœur, le tout en affrontant l’arrivée hâtive du terrible two!

Et je pourrais continuer à énumérer les adaptations obligatoires qui ont traversé notre chemin depuis, mais je pense que vous avez compris l’idée!

Ahh et pourquoi pas! Encore quelques-unes : l’adaptation aux couches lavables, à la propreté, aux débuts à la garderie, au retour au travail, des chiens et du chat, dans l’avancement de nos projets et j’en passe… ! Vous le voyez bien maintenant, le portrait que j’essaie de dresser?

Eh oui, je suis d’accord, l’adaptation fait évidemment partie de la vie de tous : la roue tourne et on est continuellement confrontés à de nouveaux défis. Mais, de ma jeune expérience, je me permets de constater qu’avant les enfants, je m’adaptais à une situation et je vivais ainsi pour un bout de temps avant d’en arriver à un nouveau changement. Mais depuis les enfants, c’est une avalanche de changements qui nous ensevelit! Et avec l’arrivée d’un 2e bébé rapproché, l’avalanche ne s’arrête pas : dès qu’on s’assied dans une zone de confort, une nouvelle étape arrive et on se remet à s’adapter, encore et encore! J’ose croire qu’en ayant des enfants avec un écart d’âge plus grand, même si les parents vivent fort probablement le même lot d’adaptations, ils ont un peu plus de temps pour profiter de chaque étape! 

À l’aube des 2 ans de ma fille, je constate que l’avalanche s’essouffle tranquillement, les changements s’opèrent moins rapidement et on s’installe dans des zones de confort de plus en plus durables. Ça fait du bien! Les activités que nous pouvons faire en famille sont de plus en plus nombreuses et surtout, de plus en plus simples à organiser. Je n’ai plus constamment un bébé dans les bras et j’arrive à prendre plus de temps pour moi, pour mon couple, pour mes amis et ma famille.

Malgré l’avalanche, il y a eu tellement de beau, et l’étape que nous entamons avec mon 3 ans et ma 2 ans me ravit. Tout près de la fin des couches, mes 2 cocos qui s’expriment bien, qui dorment leur nuit, qui jouent de façon autonome ensemble, etc.   En comparant ma situation à celle de mes amies qui replongent dans la maternité après 2 ans ou 3 ans et qui recommencent toutes les étapes, alors que pour nous plusieurs sont franchies et terminées, je suis convaincue que cette avenue était la bonne pour nous.

Comprenez-moi bien, je ne remets pas du tout en question leur choix! Je suis absolument heureuse pour elles et je suis certaine qu’elles sont tout à fait satisfaites de leur situation familiale. Mais de prendre le temps de comparer leur situation à la mienne me permet de réitérer ma position : Oui, je suis heureuse et reconnaissance envers la vie d’avoir eu mes 2 enfants rapprochés. Mon conjoint et moi aimons quand les choses bougent et évoluent rapidement, nous avons mille et un projets et un n’attend pas l’autre! Alors, j’imagine que pour nous, l’avalanche était simplement la continuité naturelle de notre vie! 

Est-ce que je considère que le chemin a été de tout repos? Évidemment que non. Mais je suis certaine qu’un chemin différent, qu’il soit avec des enfants ayant un plus grand écart d’âge, avec des jumeaux ou autre, apporte tout autant son lot d’épreuves. Chaque chemin a ses particularités (ses défis et ses avantages) et chaque chemin est unique et beau! Chérissez le vôtre!

Et si vous tentez de déterminer lequel est le mieux pour votre famille en devenir, sachez qu’avec du recul, peu importe votre choix ou le choix que la vie vous imposera, ce sera le bon pour vous! 

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Divertissement Potins

Les secrets du mariage selon Matthew McConaughey

Matthew McConaughey tente de réaliser l’impossible pour une star hollywoodienne.

S’étant forgé une carrière au cinéma parmi les plus enviables, remportant même un Oscar au passage en 2014, Matthew McConaughey est probablement en train de réaliser son plus bel exploit, soit celui de mener une famille stable et unie en compagnie de sa femme, Camila Alves.

Se confiant lors d’une entrevue, la star aborde le sujet et révèle quelques secrets du mariage selon lui.

«Le respect, le sens de l’humour et la communication. On élève trois enfants en ce moment et ça peut te consumer parce qu’ils ont besoin de toi (…)», rappelle l’acteur de maintenant 50 ans, lors d’un entretien accordé à l’édition australienne de WHO.

Matthew McConaughey et Camila Alves se sont mariés en 2012, après six ans de relation.

Ils sont les heureux parents de Levi, Livingston et Vida, respectivement âgés de 12, 8 et 10 ans.

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Matthew McConaughey tente de réaliser l’impossible pour une star hollywoodienne.

S’étant forgé une carrière au cinéma parmi les plus enviables, remportant même un Oscar au passage en 2014, Matthew McConaughey est probablement en train de réaliser son plus bel exploit, soit celui de mener une famille stable et unie en compagnie de sa femme, Camila Alves.

Se confiant lors d’une entrevue, la star aborde le sujet et révèle quelques secrets du mariage selon lui.

«Le respect, le sens de l’humour et la communication. On élève trois enfants en ce moment et ça peut te consumer parce qu’ils ont besoin de toi (…)», rappelle l’acteur de maintenant 50 ans, lors d’un entretien accordé à l’édition australienne de WHO.

Matthew McConaughey et Camila Alves se sont mariés en 2012, après six ans de relation.

Ils sont les heureux parents de Levi, Livingston et Vida, respectivement âgés de 12, 8 et 10 ans.

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Art de vivre

10 indices que vous êtes un enfant des années ’90 devenu parent

Ah, les enfants des années 1990, ceux qui ont grandi à l’époque de la Nintendo, des Pokémon et de la mode plus que douteuse, tout en étant fascinés (et un peu apeurés) par Barney le dinosaure mauve.

Eh bien, pour vous donner une idée, les gens nés en 1990 ont maintenant 30 ans. Ce sont (biologiquement, du moins) des adultes! Puis, de plus en plus, les 90′s kids ont des enfants. Ce sont donc des PARENTS!

Pour s’amuser, j’ai consulté certaines de mes collègues TPL Moms, qui sont aussi des 90′s kids, pour vous pondre cette savoureuse liste de 10 indices que vous êtes un enfant des années 1990 devenu parent.

1- Vous jouez à Pokémon Go avec vos enfants, mais c’est surtout pour votre plaisir nostalgique.

2- Vous avez fait écouter à vos enfants Harry Potter alors qu’ils étaient un peu trop jeunes, ce qui leur a fait peur.

3- Vous jouez à Mario Kart avec vos enfants et prenez un malin plaisir à les battre.

4- En outre, vous refusez que vos enfants jouent sur VOTRE partie; vous ne voulez pas qu’ils gâchent votre progrès!

5- Vous cherchez désespérément les élastiques avec deux billes pour faire les parfaites lulus vintage.

6- Vos enfants écoutent très souvent (parce que c’est vous qui l’imposez) les films préférés de votre enfance tels que Histoire de jouets, Le roi lion ou, pendant les Fêtes, Maman, j’ai raté l’avion! D’ailleurs, quand la plateforme Disney+ a été lancée, vous débordiez de joie.

7- Vous êtes excités de lire vos vieux livres d’enfance à vos enfants, mais ils sont davantage attirés par les nouveaux livres aux couleurs beaucoup plus attrayantes!

Crédit:Alex Perron

8- Vous avez conservé vos Polly Pocket et vous demandez régulièrement à vos enfants d’y jouer avec vous.

9- Vous achetez des rouleaux aux fruits Fruit-O-Long en dessert spécial à vos enfants et vous pensez être le parent le plus cool au monde (vos parents ne voulaient jamais vous en acheter!).

10- Vous étiez plus excité que vos enfants quand vous avez vu en magasin le jouet Puppy Surprise.

Crédit:Walmart

En bonus, on se doit de mentionner le retour en force de Passe-Partout: depuis que cette émission est revenue en ondes, vos enfants regardent les émissions, ont les pyjamas et écoutent la playlist Spotify dans l’auto.

Vous le constatez, les 90′s kids sont connus pour être des personnes nostalgiques.

Faites-vous partie de cette bande? Vos enfants aiment-ils les classiques de votre enfance?

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Art de vivre

Mon début de grossesse en temps de pandémie

(CHRONIQUE)

Il est cinq heures et demie le matin. Il y a quelques jours à peine, les rayons du soleil commençaient à éclairer ma chambre à cette heure hâtive. Or, en ce début de mois d’octobre, il fait encore noir comme l’ébène. Seule la veilleuse de ma fille, blottie contre moi, me permet de voir qu’elle dort encore profondément.

Moi, je suis bien réveillée. En me couchant hier soir, j’avais hâte de me réveiller. Même si le test acheté au Dollarama que j’avais fait il y a deux jours était négatif, un doute (ou était-ce l’espoir?) avait persisté. Je l’avais pourtant regardé de tous les angles possibles, sous la lumière sévère de ma salle de bain. La deuxième ligne n’était pas apparue. Je n’étais pas surprise, je ne m’attendais pas à en voir une non plus. À peine deux cycles, espacés de plus de quarante jours, avaient frappé mon corps depuis mon petit deuxième. Je n’avais alors aucune idée de ma date d’ovulation.

Le lendemain, en me rendant à la pharmacie pour acheter des suces (comment font-elles pour disparaître si rapidement et définitivement dans mon petit appartement?), je n’ai pas pu m’empêcher d’acheter un Clearblue digital. Ce test-là, il ne ment pas. Lire les mots « Pas enceinte », ça ne laisse pas de doute, juste un petit goût amer.

Je me lève donc à pas feutrés et j’exécute les quelques enjambées qui me mènent à la salle de bain. Je fais le test sans attendre. D’habitude, ça prend une bonne minute ou deux pour apparaître, donc je dépose le test en me faisant croire que je ne vais pas le fixer anxieusement jusqu’à ce que la vérité s’expose à moi.

Ça n’a pris que quelques secondes. Dix, peut-être douze, je n’ai pas eu le temps de compter.

« Enceinte »

QUOI? Je vois des points noirs. Je suis surprise comme jamais je ne l’ai été aux tests positifs de mes grossesses précédentes. Je pensais que je m’étais fait des idées, que les petits maux de cœur matinaux que j’avais vécus les derniers jours étaient tout droit sortis de mon imagination. Je m’assois sur le couvercle de la toilette. « Je suis enceinte », que je me répète.

Cette nouvelle chamboule mon quotidien pas mal plus que lors de mes grossesses antérieures. Cette fois, il y a une PANDÉMIE. Je serai en retrait préventif. En conséquence, tous mes collègues apprendront immédiatement ma grossesse. Je ne verrai plus mes élèves. Je ferai encore plus attention lors de mes sorties obligées. Je demanderai à mon chum qui travaille à l’urgence d’un hôpital de recommencer à prendre sa douche immédiatement en arrivant de la job. En plus, si tout va bien, c’est ma dernière grossesse, c’est ça le plan. Ouf, je suis étourdie. Ça fait beaucoup d’informations pour mon petit cœur. Je ne pensais pas que cette grossesse arriverait aussi rapidement!

Je respire, je souris.

Je suis vraiment contente.

Je suis vraiment chanceuse de vivre ça.

Ce sera une grossesse particulière, c’est certain. Il faudra que j’accepte, encore un peu plus, de ne pas tout contrôler (ce n’est pas ma force).  Sauf que je sais que ce sera beau. Surtout, dans quelques mois, je rencontrerai un nouvel humain. Et je vais l’aimer.

Je l’aime déjà.

Vous avez une histoire à partager? Écrivez-nous au info@tplmag.com