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Les frères et soeurs d’un autiste auraient des troubles liés

Une nouvelle étude ayant porté sur près de 3 000 enfants (1 235 familles) présuppose des répercussions familiales provenant de l’autisme, comme présenté dans l’American Journal of Psychiatric.

Il en est ressorti qu’environ un enfant sur cinq ayant un frère ou une soeur autiste présente, pour sa part, des troubles du langage ou de l’élocution.

Le docteur John Constantino, professeur de pédiatrie et de psychiatrie à l’École de médecine de l’Université Washington à Saint-Louis, a dirigé cette recherche.

Pour corroborer ses découvertes, il souligne que des études plus mineures avaient déjà abordé ce point. En effet, il a été démontré que des enfants faisant partie d’une famille au sein de laquelle l’autisme avait été diagnostiqué avaient un retard de langage.

De plus, même si ces enfants ne sont pas systématiquement atteints, ils ont 22 fois plus de chances de développer des troubles et des retards.

Plus d’un enfant autiste vivait au sein de 10,9 % des familles étudiées et 20 % d’entre elles avaient des enfants non diagnostiqués, mais qui avaient un retard de langage.

Il semble donc que les recherches vont tendre de plus en plus à découvrir un réel syndrome de l’autisme.

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Les anorexiques ont besoin de l’appui de la famille

Une nouvelle étude affirme que les adolescents qui souffrent d’anorexie se remettent plus rapidement avec une thérapie familiale qu’avec un suivi personnalisé.
 
La thérapie familiale se concentre plus sur les changements de comportement, alors que la thérapie personnalisée vise les aspects émotionnels de ce trouble alimentaire.
 
« La personne anorexique ne veut ou ne croit pas qu’elle doive changer de comportement. Elle aime ce qu’elle fait, donc il est difficile pour elle d’adopter des changements de comportement, d’en comprendre l’utilité. Les parents peuvent voir ce besoin et cela peut donc vraiment aider », explique au LiveScience le professeur en psychiatrie et en sciences comportementales de l’Université Stanford, James Lock.
 
Le professeur et son équipe ont recruté 121 jeunes anorexiques de 12 à 18 ans et les ont soumis aux deux types de thérapie. Le taux des jeunes s’étant complètement rétablis après un an était deux fois supérieur dans le groupe ayant eu la thérapie familiale. De plus, ils avaient nettement moins tendance à rechuter.
 
« Pendant très longtemps, les parents ont été considérés comme des obstacles à la réussite du traitement. Les traitements qui s’appuient sur la famille ont prouvé leur efficacité lors de cette étude, montrant que les familles sont une ressource pour les enfants et qu’elles devraient participer au traitement des enfants », ajoute le professeur Lock.
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Les mères veulent être leur patron

Une femme sur huit ne trouverait pas son horaire de travail conciliant avec son rôle de mère, nous apprend MailOnline.

Il semble que des voix commencent à s’élever en Angleterre, où de plus en plus de femmes songent à devenir des travailleuses autonomes. C’est l’une des seules façons qui leur permettrait à la fois d’avoir une carrière et d’élever leurs enfants.

Il s’agit là de l’une des conclusions provenant d’une étude menée par le site internet Netmums.com et la compagnie Avon.

Plus de 2 200 mères sur le marché du travail y ont participé. Plus de la moitié d’entre elles occupent un poste de bureau en entreprise, selon un horaire de 9 à 5 s’étendant parfois à de plus longues heures.

En majorité, ces mères ont un ou des enfants âgés de moins de sept ans. Le cinquième a un poupon de moins de 12 mois.

À cause du coût actuel de la vie, entre autres, ces femmes ne pourraient songer à quitter leur emploi. De là l’idée de voir le travail d’une autre façon, soit de devenir son propre patron.

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Rapport sur la famille : de multiples modèles

Il semble que la famille canadienne n’ait plus de modèle établi, nous apprend Parentcentral.

Katherine Scott, la directrice des programmes de l’Institut Vanier, a fait paraître un rapport de près de 200 pages intitulé Families Count et basé sur des données de 2006.

On peut y lire, entre autres, que 48 % des couples canadiens sont mariés, ce qui représente une baisse marquée.

En effet, si 80 % des enfants de moins de 15 ans avaient des parents mariés il y a 20 ans, seulement 66 % vivaient cette situation en 2006.

Le modèle familial apparaît donc sous de nombreuses formes de nos jours : traditionnel, monoparental, reconstitué, parents de même sexe, conjoints de fait.

Dans le même ordre d’idée, la famille est plus petite et les gens se marient plus tard, si tel est le cas. L’union de conjoints de fait est celle qui a connu la plus forte ascension, soit de 5,6 % à 15,1 % en une vingtaine d’années.

Finalement, l’équipe de Katherine Scott a découvert que les couples sans enfants sont maintenant plus nombreux au Canada que ceux avec une progéniture.

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Les parents, meilleurs qu’avant?

Darcia Narvaez en est venue à cette conclusion surprenante, nous apprend Famili.fr. Elle a comparé les principes d’éducation de la préhistoire et du 21e siècle pour constater que le rôle de parent se serait effrité au cours de ces milliers d’années.

Les propos de la psychologue controversée ne sont pas partagés par tous. Selon elle, notre façon d’élever nos enfants a créé « une brisure dans le coeur de générations entières ».

Elle fait ici référence au fait que nous laissons nos bébés dans des sièges d’auto et des poussettes et que nous les laissons pleurer, alors qu’autrefois, il en était tout autrement.

En effet, dans la préhistoire, les bébés étaient allaités sur une très longue période, en plus d’être continuellement dans les bras de leur mère, ce qui a fait en sorte qu’ils bénéficiaient réellement de chaleur humaine.

Aujourd’hui, les parents sont, selon elle, des êtres égoïstes qui sont moins empathiques.

Par ailleurs, madame Narvaez croit que les problèmes d’hyperactivité sont dus au fait que les enfants ne vont presque plus à l’extérieur.

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La famille, les jouets et les amis rendent les petits enfants heureux

Des chercheurs ont interrogé 300 enfants de 4 à 10 ans pour en savoir plus sur les émotions qu’ils ressentent.
 
À la question « Qu’est-ce qui te rend le plus heureux dans la vie? », 43 % des petits répondants ont dit que c’était la famille, alors que pour 38 % c’était les jouets et pour 31 % c’était leurs amis qui les comblaient de bonheur. Les deux tiers des petites filles accordent une grande importance à leur poupée, qu’elles considèrent comme un bébé.
 
Le sondage révèle qu’une grande majorité d’enfants souhaiteraient que leurs parents soient plus disponibles pour s’occuper d’eux. Pour les enfants de moins de six ans, il est indispensable pour eux d’avoir une doudou et des grands-parents.
 
La majorité a répondu que les punitions, les disputes et la jalousie entre frères et sœurs les mettaient en colère ou les rendaient tristes.
 
23 % disent que leur plus grande peur est les monstres, 18 % ont répondu qu’ils ont peur de la mort, mais la maladie, les sorcières, le noir, l’abandon et le décès d’un proche suivent de près.
 
Concernant les métiers qu’ils aimeraient exercer, les petites filles répondent qu’elles aimeraient être pédiatres, vétérinaires ou encore mamans, alors que les petits garçons ont besoin de plus d’action. Ils souhaitent devenir pilotes de course, chefs de train ou astronautes.
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Angelina Jolie n’a pas beaucoup d’amis

Angelina Jolie avoue ne pas avoir beaucoup d’amis à qui elle peut se confier, rapporte le magazine Us
 
En direct du Pakistan, Angelina Jolie a accordé une entrevue à CNN dans laquelle elle confie ne pas avoir beaucoup d’amis.
 
L’ambassadrice de bonne volonté de l’ONU est arrivée au Pakistan en début de semaine afin de rencontrer les victimes des récentes inondations qui ont touché 17 millions de personnes et fait 1 700 morts.
 
L’actrice de 35 ans affirme être assez seule lorsqu’elle doit se rendre à l’étranger pour un tel voyage, mais elle arrive à faire face à cette solitude. « Je parle avec ma famille. Je parle à Brad. Il veut en savoir autant que possible sur ces questions à chaque voyage. Il est déjà venu ici. Il est venu avec moi après le tremblement de terre. Mais, je ne sais pas, je n’ai pas beaucoup d’amis à qui je peux parler. Brad est vraiment la seule personne à qui je parle », mentionne Jolie.
 
Mère de six enfants, la vedette dit qu’elle explique à ses petits pourquoi elle doit s’absenter dans le but de venir en aide aux gens dans le besoin et qu’ils comprennent.
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Katie Holmes et Tom Cruise n’ont pas l’intention d’agrandir leur famille

En entrevue avec le magazine Marie Claire, Katie Holmes mentionne qu’elle et Tom Cruise n’ont pas l’intention d’avoir d’autres enfants, du moins pas pour le moment.
 
« Peut-être dans quelques années, mais en ce moment, je veux m’assurer d’être présente pour Suri. Je suis la plus jeune dans ma famille. Ma sœur la plus proche a cinq ans de plus et l’autre est neuf ans plus âgée, alors j’étais un peu comme une enfant unique et j’ai aimé ça. J’ai aimé avoir toute l’attention de ma mère et je crois que c’est encore le cas parfois », confie l’actrice.
 
De plus, seulement avec Suri, Holmes trouve difficile de trouver un équilibre entre sa carrière et sa vie de mère. Elle veut que Suri, 4 ans, ait une vie normale. Malgré les nombreux voyages du couple, l’actrice tente d’établir la même routine matinale pour sa fille. Lorsque la petite est sur un plateau de tournage avec sa mère, elles bricolent ensemble afin de tenir la fillette occupée et inspirée.
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Angelina Jolie laisse entendre qu’elle pourrait épouser Brad Pitt

Angelina Jolie, qui a été mariée à deux reprises, à Jonny Lee Miller et ensuite à Billy Bob Thornton, croit toujours que le mariage est une belle chose.
 
Elle laisse même entendre qu’il ne serait pas impossible qu’elle et Brad Pitt officialisent leur union éventuellement. Le couple, qui est ensemble depuis 2005, n’a encore jamais envisagé sérieusement la question.
 
« Je pense que le mariage est une belle chose et j’ai essayé deux fois auparavant, mais avec Brad, nous n’avons pas encore ressenti le besoin de le faire. Nous avons déjà pris le plus grand engagement qui soit, soit celui d’avoir une famille », raconte Jolie à FemaleFirst.
 
Rappelons que le couple a six enfants, Maddox, 8 ans, Pax, 6 ans, Zahara, 5 ans, Shiloh, 4 ans, et les jumeaux de 2 ans, Knox et Vivienne.
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Vancouver parmi les cinq meilleures villes canadiennes pour les familles

Vancouver en Colombie-Britannique, Edmonton et Calgary en Alberta ainsi que Kitchener et Guelph en Ontario sont les cinq villes canadiennes a avoir obtenu une note globale de A comme meilleure ville pour élever une famille.
 
Ces notes ont été attribuées par l’Institut du mariage et de la famille Canada. Les notes ont été données selon cinq catégories : le sentiment communautaire, le choix de l’éducation, le coût de la vie, la force économique et l’indépendance familiale.
 
Outre le top cinq des notes globales, Winnipeg, au Manitoba, a été nommé l’endroit où le coût de la vie est à son plus faible, alors que Gatineau, au Québec, a le plus d’espaces verts et un excellent niveau de charité communautaire.
 
Ville de Saguenay et Trois-Rivières se sont quant à elle améliorées.
 
Aucune ville canadienne n’a obtenu une note globale de F. Toutefois, Québec, Sherbrooke et Trois-Rivières obtiennent un F pour le plus faible pourcentage où vivent des enfants avec leurs deux parents.
 
L’étude conclut que globalement, les villes canadiennes sont d’excellents endroits pour élever une famille.