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Quelques conseils pour les familles monoparentales

En tant que parent qui vit seul avec vos enfants, il est normal que certaines choses changent au niveau de votre calendrier social. Par exemple, vos amis qui n’ont pas d’enfants ou qui en ont, mais sont avec leur conjoint ne comprendront pas bien comment cela peut être si long pour quitter la maison et se rendre quelque part.

Le site rappelle que vos amis ne vous en veulent pas pour autant, c’est seulement qu’ils ne connaissent pas ou connaissent mal votre situation.

De plus, votre vie amoureuse pourrait être un peu chamboulée. En fait, même s’il y a plusieurs célibataires en ville, peu vont être prêts à s’embarquer dans l’aventure que représente une famille.

Le site énumère également quelques gestes à faire afin de simplifier votre quotidien.

Par exemple, il encourage à apprécier et encourager les différences de vos enfants, les serrer souvent dans vos bras, se permettre de se reposer aussi lorsqu’ils font la sieste et jouer souvent avec eux.

Rappelons que le fait de jouer avec leurs enfants permettrait aux mamans monoparentales de se détendre, selon une étude de la Kansas State University.

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Plus de familles monoparentales

En fait, une famille sur cinq ne compte qu’un seul parent, et 85 % de ces parents sont des mères.

Cette situation est difficile pour plusieurs, puisque le tiers des familles monoparentales vit sous le seuil de la pauvreté. Le revenu de parents monoparentaux est souvent inférieur à 60 % du revenu moyen des familles avec deux parents.

Bien que les parents monoparentaux bénéficient d’aide financière gouvernementale, plusieurs d’entre eux restent pauvres.

Aussi, il est difficile de trouver un emploi pour ces parents s’occupant seuls de leurs enfants puisque très peu de solutions de garde leur sont accessibles.

En France, la Fédération nationale des familles monoparentales souhaite que « les plus démunis bénéficient d’un minimum garanti pour survivre », soit 75 % du salaire minimum.

La monoparentalité comporte aussi d’autres désavantages, notamment pour la santé du bébé.

Rappelons que les femmes monoparentales ou démunies financièrement ont tendance à suralimenter leur bébé. Par exemple, certaines ajoutent des céréales dans le biberon de leur enfant. Toutefois, cette méthode peut conduire à l’obésité infantile.

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Soins de santé: de nombreuses familles éprouvent des difficultés à payer

Un tiers des Américains sont au sein de familles qui ont du mal à payer leurs soins de santé, explique un rapport du gouvernement publié cette semaine. 

Les données, pour les six premiers mois de 2011, ont notamment révélé qu’une famille sur cinq a des difficultés à payer les factures médicales et une sur dix ne peut tout simplement pas les payer, rapporte le U.S. Centers for Disease Control and Prevention.
 
« Il y a des familles dans ce pays qui éprouve un fardeau financier au niveau des soins médicaux » a notamment déclaré l’auteur du rapport Robin Cohen, statisticien au CDC’s National Center for Health Statistics.
 
L’assurance détermine souvent si les familles peuvent payer leurs frais de soins de santé. « Même les personnes ayant une assurance privée, soit environ 16 %, ont des difficultés à payer les factures médicales et 6 % ne pouvaient pas les payer du tout, » a déclaré Robin Cohen.
 
Par ailleurs, la nationalité est un autre facteur lié à la charge financière. Environ 10 % des Noirs et 7 % des Hispaniques avaient des factures qu’ils ne pouvaient pas payer comparativement à moins de 3 % pour les Blancs.
 
Autres faits du rapport, près de 24 % des enfants de moins de 18 ans vivaient dans des familles ayant des difficultés à payer les soins médicaux.
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Adoption : la plupart des familles sont satisfaites

Pour analyser le niveau de satisfaction des adoptions en Andalousie, deux enquêtes à six ans d’intervalle ont été réalisées auprès des familles.

Les résultats montrent que la majorité des familles sont contentes de leur choix. En effet, 77,7 % d’entre elles ont déclaré que leur vie était plus épanouie, et 91,9 % considèrent que l’adoption a eu des répercussions positives. Seulement 37 % considèrent que la vie de famille est davantage compliquée.

Les deux enquêtes montrent également que l’opinion des enfants est liée à celle de leurs parents. « Lorsque les parents sont satisfaits de l’adoption, nous avons constaté que les enfants sont également contents de leur vie », a déclaré l’un des auteurs.

Par ailleurs, les chercheurs ont trouvé certaines variables qui sont liées à des difficultés dans l’adoption. Par exemple, la satisfaction est plus faible dans les cas où les parents ont un niveau plus élevé d’éducation, car ils ont des attentes plus élevées. Les mères sont moins affectueuses et attentionnées, et les enfants peuvent rencontrer des problèmes de comportement.

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Les familles québécoises ne savent pas quoi manger

Une vaste enquête québécoise intitulée Tout le monde à table, menée par des nutritionnistes, mentionne que les familles québécoises n’ont pas tendance à planifier la préparation de leurs repas.
 
Cette étude visait les familles avec des enfants de moins de douze ans afin de connaître les habitudes alimentaires au quotidien.
 
On constate que 44 % des parents ignorent ce qu’ils mangeront au souper au moins trois fois par semaine. Cela peut engendrer un stress totalement inutile.
 
35 % des répondants ont dit qu’il est difficile de conserver de saines habitudes alimentaires par manque de temps, et 34 % des familles soupent en regardant la télévision.
 
À en croire les résultats de cette étude, les enfants ne demandent qu’à suivre les parents dans la cuisine. 56 % des enfants disent ne pas cuisiner ou cuisiner peu avec leurs parents. Pourtant, 8 enfants sur 10 aimeraient le faire plus souvent et s’intéressent vraiment à la cuisine.
 
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Les tensions familiales à l’origine de plusieurs problèmes de santé

Le Journal of Epidemiology and Community Health mentionne que les tensions familiales augmentent les risques d’angine de poitrine.
 
Selon une étude d’une équipe de chercheurs de l’Université de Copenhague, les tensions et exigences familiales peuvent être à l’origine de nombreux problèmes de santé.
 
Les conflits avec d’autres membres de la famille, surtout ceux avec le conjoint, seraient les plus néfastes, car on les gère difficilement. Une tension entre conjoints peut provoquer de l’angine de poitrine, causant alors des douleurs cardiaques et une sensation d’oppression thoracique.
 
Les effets peuvent être très dangereux à long terme. Aussi, une personne qui a fait de l’angine de poitrine lorsqu’elle était jeune est plus susceptible d’avoir des problèmes dans le futur, comme des infarctus ou des accidents vasculaires cérébraux, ou encore d’avoir un taux élevé de cholestérol.
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Les familles avec des jumeaux ont plus de risques de se séparer

Le site Canada.com mentionne que les familles avec des jumeaux ou des triplés ont plus de chances de vivre une séparation pour des raisons financières.
 
Selon une recherche britannique de la Twins and Multiple Birth Association (TAMBA), 62 % des personnes interrogées étaient moins bien nanties financièrement depuis qu’elles avaient vécu une naissance multiple, comparativement à 40 % des autres parents ayant seulement un enfant à la fois.
 
La recherche de l’association démontre qu’avec des jumeaux ou des triplés, il y aurait beaucoup plus de privations matérielles et une incapacité de payer certaines choses pour plusieurs personnes. Cela peut causer des frictions et mener à une séparation.
 
« Nous aimons nos jumeaux, mais j’ai passé une grande partie des deux dernières années malade d’inquiétude en essayant seulement de leur donner l’essentiel », affirme une mère, Suzanne Pammen.
 
Neuf mois après un accouchement de jumeaux ou triplés, près de 20 % des femmes ne retournent pas sur le marché du travail.
 
Toutefois, pour différents spécialistes, ces données sont tout de même relatives et propres à chacun.
 
L’étude a été réalisée en analysant les données de 18 500 enfants nés en 2000 et 2001 tenant compte des statistiques de pauvreté et des revenus familiaux.