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Ton petit look

Tendance: Regard sur la «quiet fashion»!

Il n’y a pas si longtemps, logo après logo, pas besoin d’avoir du style, tant que la marque était écrite en gros sur une pièce de vêtement! Pas besoin de réfléchir plus longtemps pour ceux qui avaient l’argent.

Gucci, Versace, Chanel, ces grands noms permettaient à eux seuls de vous démarquer du reste.

Or, regard sur une nouvelle tendance, la quiet fashion.

La quiet fashion, c’est quoi?

C’est une élégance qui parle pour elle-même!

En gros, pas de gros logos et une certaine volonté d’aller à contresens des trends trop évidents.

Pour obtenir ce genre de look, il y a trois catégories à ne pas contourner; les marques connues pour la quiet fashion, des couleurs simples et des pièces de vêtements indispensables.

Getty Images

Quiet fashion est aussi synonyme de quiet luxury

Parmi les marques les plus connues pour ce genre de look: Loro Piana, The Row et Brunello Cucinelli.

Attention, inutile de nier que la quiet fashion est aussi synonyme de quiet luxury. Quoi qu’il est possible de recréer n’importe quel look pour pas cher, il est vrai que ce genre de mode est d’abord pour les mieux nantis de ce monde.

Kendall Jenner, Sofia Richie et Jennifer Lawrence sont d’ailleurs connues pour arborer ce type de look avec brio.

Les couleurs (ou l’absence)

Ensuite, la palette de couleur, si on peut appeler ça des couleurs.

Beige, crème, noir et… blanc sont les principales couleurs utilisées dans ces looks!

Bien sûr, le ton sur ton est de mise mais le mélange de couleurs neutres aussi.

Finalement, quelques pièces de vêtements que vous devez avoir dans votre garde-robe pour vous mettre au style:

Les mocassins, le trench-coat, les pantalons droits et taillés et le gilet en cachemire!

L’essentiel, c’est de miser dans le minimalisme plutôt que le maximalisme; des coutures serrées, des bijoux très fins et des détails minutieux, c’est ce qui fera la différence.

Bref, la quiet fashion, ce n’est pas pour tout le monde!

Certains diront que c’est trop ordinaire et générique, tandis que d’autres appelleront à la classe et l’élégance.

Qui sait, peut-être que le prochain trend sera un entre-deux?

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Hollywood PQ Potins

Claudia Bouvette: Projet Innocence, sa passion pour le jeu, la musique et la mode!

HollywoodPQ a eu la chance de s’entretenir avec la sympathique et adorable Claudia Bouvette en marge du lancement de la nouvelle série Projet Innocence (diffusée tous les mardis à 20h sur les ondes de Noovo) dans laquelle elle interprète le personnage de Vicky.

Lors de ce moment très agréable avec la chanteuse et comédienne, celle-ci s’est ouverte sur plusieurs sujets, dont son rôle dans la série, sa carrière et sa passion pour la mode!

HollywoodPQ: «Quelle est la facette de ton personnage qui t’a le plus intéressée?»

Claudia Bouvette: «Moi, ce que j’ai vraiment aimé de Vicky, c’est sa fougue. C’est une femme qui ne se laisse pas piler sur les pieds, qui a son intensité (…) Moi, en fait, ce qui m’intéressait c’est… au-delà de ce qu’on voit d’elle. C’est-à-dire qu’elle est dans le réseau de prostitution, qu’elle vit de la violence, que finalement son destin est fatal et qu’elle finit par en mourir. Je trouvais ça intéressant d’aller exploiter toute l’humanité derrière le personnage et que c’est une femme qui avait de l’ambition et qui avait un mot à dire… qui essayait de sortir de ça et qui avait une tête sur les épaules. Je te dirais que c’est la facette de mon personnage que je trouvais la plus intéressante à pousser. Et c’est important pour moi de défendre mon personnage et de défendre le fait qu’elle était bien plus que seulement une femme qui était victime (…)»

HPQ: «Est-ce qu’on la retrouvera dans les futurs épisodes?»

CB: «Oui. Vicky elle est… c’est sporadique, elle est dans des flashbacks tout au long de l’enquête. Quand on revient sur le cas et qu’on fait des associations, elle est un peu partout, mais c’est comme here and there, des petits sparks

HPQ: «Tu me parles de comment est ton personnage, avez-vous des similarités au niveau de la personnalité et du caractère?»

CB: «(…) Je pense que je suis quelqu’un qui a du torque et je sais relativement où je m’en vais dans la vie mais des fois non, c’est pour ça que je dis relativement (rires)! Mais, clairement, Vicky elle a un crunch, peut-être un petit crunch, un petit edge de crunch de plus!»

HPQ: «C’est quelque chose que tu aimes jouer?»

CB: «Je pense que c’est quelque chose que j’ai en moi et c’est pour ça que je suis capable, mais je suis plus nuancée. Je pense que je suis moins d’attaque que Vicky, mais c’est le fun. Moi, j’aime pouvoir faire des rôles qui me sortent de qui je suis et j’aime d’autant plus (…) quand il y a de la force dans le personnage!»

HPQ: «Tu es chanteuse et actrice, est-ce que tu as une préférence entre les deux?»

CB: Je te dirais que la chanson, c’est ma passion de cœur, c’est ce que j’ai toujours voulu faire. Ça a toujours été clair depuis que je suis toute jeune! (…) C’est très chargé pour moi la musique, parce que c’est extrêmement important et c’est un long processus de faire de la musique (…) Autant (que c’est) ardu et pénible des fois de plonger, d’arriver à se faire confiance et de faire fi du syndrome de l’imposteur des fois qui revient (…) c’est mon projet de cœur et c’est la passion première. Mais, le jeu, c’est quelque chose qui est arrivé dans ma vie et qui venait aussi avec le syndrome de l’imposteur, puisque je n’ai pas la formation. Mais, on dirait que Projet Innocence ça m’a fait… ça m’a permis de reconnecter avec cette passion-là (…) ça me permet d’être un petit peu plus pragmatique et calculée, parce que tu apprends tes textes, tu livres quelque chose et après tu passes à un autre appel. La musique, ça obsède, c’est toujours présent. Donc, je ne pourrais pas choisir, c’est juste vraiment différent, les deux m’amènent beaucoup!»

HPQ: «Tu as aussi une passion pour la mode!»

CB: «Oui, ben oui! En plus que là, depuis deux ans je travaille avec une styliste et ça… ça part en couille (…) On est devenus super proches, Laurence Morissette de son nom. Puis, les deux, on est passionnées de la mode, mais elle c’est à un autre niveau. L’avantage d’avoir une styliste c’est que tu peux élargir tes horizons et essayer des trucs que je n’aurais pas pensé! Elle me sort beaucoup de ma zone de confort et j’aime me faire sortir de ma zone de confort et elle, elle aime jouer avec ça. Donc, on est un bon mariage (…) j’adore expérimenter et oser.»

HPQ: «Comment tu définirais l’évolution de ton look dans les dernières années?»

CB: «Oh mon Dieu! Je pense que… ce qui est le fun, c’est de ne pas se limiter et moi je n’ai pas envie de me limiter! (…) En fait, ça part d’assumer (…) c’est par rapport à assumer ce que je porte!»

HPQ: «De ne pas avoir peur de ce que les gens vont dire?»

CB: «Non, exact, exact. Et j’aime pouvoir explorer dans le côté un petit peu plus féminin, sexy (…) On dirait qu’il y a une petite partie de moi qui est un peu… des fois c’est peut-être ma petite révolte personnelle de faire: Je peux être sexy et crédible! Longtemps, je me suis sentie pas crédible en étant femme et sexy, donc là, pour moi, c’est important de le faire et de ne pas être affectée par personne!»

HPQ: «2024 vient de commencer. As-tu pris des résolutions?»

CB: «Oui! Une de mes premières résolutions, cette année… j’ai envie de concrétiser et d’accomplir les choses que j’ai envie de faire. Exemple, ça fait des années que je dis que je veux faire de la poterie et je ne le fais pas. Donc, cette année, je prends un cours de poterie! (…) Cette année, j’ai envie de pouvoir découvrir de nouvelles affaires et essayer de nouvelles affaires, de le faire, de ne pas juste le dire! (…)»

Un grand merci à Claudia Bouvette pour sa générosité et ce bel entretien fort intéressant!

Ne manquez pas Projet Innocence, diffusée chaque mardi à 20h sur les ondes de Noovo.