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La proximité des fast-foods n’influencerait pas le poids des jeunes

On a souvent mentionné que la présence d’établissements de restauration rapide près des écoles secondaires favorisait la prise de poids chez les jeunes, qui étaient alors plus tentés de s’y rendre pour manger.
 
Une étude rapportée par le Journal of Nutrition Education and Behavior affirme plutôt qu’il n’y a pas de lien entre le poids des élèves et la présence de fast-foods près de l’école.
 
Certes, chez les adolescents, ces établissements sont extrêmement populaires, mais n’auraient pas d’impact direct sur leur poids.
 
552 étudiants de 11 écoles ont été interrogés pour connaître leurs habitudes de consommation des produits de restauration rapide. La moitié des jeunes les fréquentaient une fois par semaine et un peu plus de 10 % y allaient tous les jours.
 
12,7 % de ces jeunes étaient en surpoids, 12,5 % étaient obèses, 73 % étaient de poids normal, alors que 1,8 % avaient un poids insuffisant.

On recommande donc plutôt de viser les comportements des jeunes et de leur enseigner les bonnes habitudes alimentaires dès leur enfance.

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Le père est le principal modèle alimentaire

La fréquentation des restaurants-minute par les enfants dépendrait beaucoup de leurs parents. Selon le Journal of Nutrition Education and Behavior, le style parental influence les jeunes dans leur fréquence de manger au restaurant.
 
312 familles de Houston au Texas ont été interrogées. Les enfants avaient de 9 à 11 ans et de 13 à 15 ans. On les a interrogés sur les horaires de travail de leurs parents, le style parental, l’interaction qu’ils avaient avec eux, les rituels des repas en famille et le temps passé en voiture ensemble.
 
Les familles dont les enfants fréquentaient le plus les restaurants-minute avaient des parents qui travaillaient de 9 h à 17 h. Souvent, le père mangeait régulièrement dans ce type d’établissement.
 
L’étude démontre d’ailleurs que c’est surtout le père qui sert de modèle quant à l’alimentation. Il devrait donc donner l’exemple et privilégier les repas en famille à la maison.
 
De plus, les enfants qui passaient beaucoup de temps avec leurs parents en voiture avaient aussi tendance à manger plus souvent au restaurant.
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La proximité des fast-foods incite-t-elle à en consommer plus?

Des chercheurs québécois ont étudié l’influence de la présence des chaînes de restauration rapide dans un rayon de 500 mètres sur la consommation des gens.
 
Ils ont découvert que 33 % des gens vivant dans un tel secteur étaient plus sensibles aux stimuli présents dans l’environnement. Ainsi, ces personnes consommaient plus de malbouffe que les autres, chez qui les fast-foods n’avaient aucun effet.
 
L’étude a été faite avec 400 Montréalais de sept secteurs de l’île. « On a regardé si la densité de restaurants de fast-food dans un rayon de 500 mètres de leur domicile influençait la probabilité que ces personnes rapportent avoir consommé du fast-food dans la semaine précédant l’enquête », explique la coauteure de l’étude, Laurette Dubé.
 
Selon The American Journal of Clinical Nutrition, le tiers des gens était plus sensible aux récompenses. Ces personnes, qui font des choses simplement parce qu’elles sont amusantes et n’attendent pas avant de faire une chose qui leur plaît, consomment 49 % plus de malbouffe que les autres.
 
Les gens les plus influençables étaient des jeunes, ceux étant moins éduqués et moins fortunés et des femmes.
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L’affichage des calories ne décourage pas les jeunes

Depuis peu, les chaînes de restauration rapide affichent le nombre de calories des aliments proposés. Ceci faisait partie d’une série de mesures pour tenter de vaincre l’obésité.
 
Pourtant, l’affichage n’aurait aucun effet sur les choix alimentaires des adolescents et des enfants, pour qui le goût l’emporte quand vient le moment de passer la commande.
 
Selon une étude américaine parue dans le Journal of Obesity, on a étudié les habitudes de 379 jeunes avant et après l’affichage des calories dans des chaînes comme McDonald’s, Burger King et PFK. Pour 91 % des jeunes, cela n’a aucunement changé leurs habitudes alimentaires. Seulement 9 % avouent regarder le nombre de calories des aliments avant de passer leur commande.
 
Cette mesure est donc inefficace et n’atteint pas le but recherché. Le tout devra alors être révisé pour mieux informer les jeunes de l’impact de ce genre de régime alimentaire sur la santé à long terme.
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Le lien entre les restos rapides et l’AVC

Une récente étude tend à démonter qu’il existe un lien entre la quantité de chaînes de fast food et les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Des chercheurs américains ont constaté que plus il y a ce type de restaurants dans le quartier d’un individu, plus l’incidence d’AVC augmente.

C’est dans l’État du Texas, où les restaurants rapides pullulent, que le risque d’AVC est 13 % plus élevé que dans les autres États.

L’auteur de cette étude, le Dr Lewis Morgenstern de l’Université du Michigan, suggère que d’autres recherches devront être menées afin d’analyser les conséquences de la présence de fast food dans des quartiers défavorisés où les gens manquent d’options saines.

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Les restaurants s’adaptent

La Fondation des maladies du coeur accueille favorablement un rapport sur les gras trans publié par Santé Canada. Ce document fait état des progrès des chaînes de restauration rapide, qui retirent progressivement de leurs menus ces gras nocifs pour le coeur et les artères.

Pour Sally Brown, de la Fondation, la prochaine étape consiste à cibler les producteurs de margarine et de pâtisseries afin qu’ils trouvent des alternatives aux huiles hydrogénées utilisées fréquemment dans la fabrication de leurs produits.

Mme Brown va même jusqu’à accuser ces fabricants de manquer de volonté pour bannir les gras trans et cite le fameux beigne en exemple, car il contient une quantité astronomique de gras hydrogénés.

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La malbouffe diminue dans les écoles

­Malgré le fait que la malbouffe ait été bannie des écoles depuis le 1er janvier, il est toujours possible de se procurer de la friture et des boissons gazeuses dans les cafétérias, puisque les contrats ne sont pas encore renégociés avec les fournisseurs et les équipements n’ont pas tous été installés afin de rendre les cafétérias plus santé, rapporte Cyberpresse.ca.

C’est en septembre dernier que le premier ministre, Jean Charest, annonçait un virage santé et qu’il promettait la disparition de la malbouffe dans les écoles dès le mois de janvier.

Le quotidien Le Soleil a fait une tournée des commissions scolaires pour constater que la majorité des écoles n’arrivera pas à offrir un menu entièrement santé avant la prochaine rentrée scolaire.

Dans la plupart d’entre elles, on tente de diminuer l’offre de friture, et d’en augmenter les prix afin de décourager les étudiants d’en consommer, mais on ne la bannit pas totalement du menu. Il en est de même pour les boissons gazeuses ou sucrées, qui coûteront plus cher, mais qui ne disparaîtront pas avant la prochaine rentrée.

En attendant, les cafétérias tenteront d’offrir aux étudiants des produits santé qui sont tout de même attrayants.

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Les Canadiens craquent pour les repas-minutes

Une étude réalisée par le groupe Synovate et commandée par la BBC dévoile la consommation de restauration rapide à l’échelle mondiale. Environ 9 000 sujets de 13 pays ont accepté de préciser ce qu’ils mangent quotidiennement ainsi que leurs perceptions sur les habitudes alimentaires.

Après le Royaume-Uni (45,2 %) et les États-Unis (44 %), le Canada est l’endroit où la population craque pour le hamburger et les frites. Près de 37 % de la population canadienne a avoué que les repas-minutes figurent à leur menu.

Ce sont les Français qui boudent le plus le fast-food avec un 18,7 % de la population qui en consomme.

Bien que la majorité des sujets observés soient conscients qu’une mauvaise alimentation peut avoir des conséquences sur la santé ou l’obésité, bien peu se disent prêts à renoncer à la malbouffe.

La nutritionniste Isabelle Huot mentionne : « Il y a une différence entre être conscient et passer à l’action. Les Canadiens ne sont pas prêts à délaisser les formules de restauration rapide. »

Voici le pourcentage des personnes qui affirment manger des repas rapides dans divers pays :

Royaume-Uni : 45,2 %
États-Unis : 44 %
Canada : 36,9 %
Australie : 31,5 %
France : 18,7 %