Étiquette : Fatigue chronique
On peut lire dans le Journal of Aggression, Maltreatment & Trauma les résultats d’une recherche menée par l’Université de Toronto.
Selon Joanne Sulman, du Département de travail social de Mount Sinai, l’aspect le plus intéressant de la recherche demeure ce lien entre les sévices et l’apparition des syndromes mentionnés.
Des chercheurs de l’Institut Whittemore Peterson aux États-Unis ont découvert qu’un rétrovirus pourrait bien être à l’origine de la fatigue chronique.
Le XMRV a été identifié dans le sang de 68 % des patients souffrant de fatigue chronique, contrairement à seulement 3,7 % chez les personnes en bonne santé.
Selon le magazine Science qui publie les résultats de cette étude, cela ne prouve toutefois pas que le XMRV soit la cause principale de la fatigue chronique, mais c’est une percée.
Le rétrovirus avait d’abord été identifié chez des hommes qui avaient un défaut dans leur système immunitaire. Ces patients n’arrivaient donc pas à combattre les maladies virales.
Dans les années suivantes, on a aussi constaté que le XMRV était présent chez des hommes qui avaient le cancer de la prostate.
Selon le Dr Ben Z. Katz et ses collègues, de la faculté de médecine de l’Université Northwestern à Chicago, les adolescents qui ont souffert d’une mononucléose sont plus à risque d’être candidats au syndrome de fatigue chronique.
Les chercheurs ont observé 301 jeunes aux prises avec l’infection, dont 24 % n’étaient pas totalement remis six mois après le diagnostic de mononucléose.
Un an plus tard, encore 7 % des patients éprouvaient encore des symptômes de fatigue chronique. Le taux baissait à 4 % deux ans après le premier diagnostic, ce qui représente 20 fois plus de cas que dans la population adolescente en général.
Selon le Dr Katz, il faut maintenant se pencher sur les différences de pronostic entre les adolescents.
D’après l’étude, manger du chocolat noir au pourcentage élevé de cacao aurait aidé les patients à se sentir moins fatigués.
Les chercheurs du Hull York Medical School pensent que le chocolat noir pourrait avoir un effet sur la sérotonine présente dans le cerveau.
Selon le meneur de l’étude et expert en endocrinologie (étude des glandes et des hormones), le professeur Steve Atkin, les résultats sont surprenants, et des recherches supplémentaires devront être effectuées afin de clarifier cette découverte.
D’après l’étude, manger du chocolat noir au pourcentage élevé de cacao aurait aidé les patients à se sentir moins fatigués.
Les chercheurs du Hull York Medical School pensent que le chocolat noir pourrait avoir un effet sur la sérotonine présente dans le cerveau.
Selon le meneur de l’étude et expert en endocrinologie (étude des glandes et des hormones), le professeur Steve Atkin, les résultats sont surprenants, et des recherches supplémentaires devront être effectuées afin de clarifier cette découverte.