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Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.

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Les adolescents prennent plus de risques lorsqu’ils sont fatigués

Selon une nouvelle étude, rapportée par MedicalXpress, les adolescents qui ne dorment pas suffisamment et qui présentent des signes de fatigue sont plus enclins à prendre des risques ou à faire des bêtises.

On note à cet effet : avoir des relations sexuelles non protégées, consommer alcool et drogues, et conduire malgré la fatigue ou avec les facultés affaiblies.

C’est Kalina Rossa, chercheuse spécialisée au niveau du sommeil au Centre de recherche sur les accidents et la sécurité routière du Queensland (CARRS-Q), qui a mesuré les effets de la privation de sommeil.

Selon elle, c’est la partie décisionnelle du cerveau qui est la plus affectée, surtout chez les jeunes, puisqu’avant l’âge de 25 ans, elle n’est pas pleinement mature.

« Ce que cela signifie, c’est que la partie du cerveau qui est responsable de la résolution de problème et du contrôle des impulsions change avec le manque de sommeil. Comme cette partie est encore en développement, les jeunes qui sont fatigués prennent de mauvaises décisions. »

Attention, cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut mettre toute la faute sur la fatigue!

 
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Bien dormir pour mieux manger

Une étude menée par l’Université Temple confirme que, comme chez l’adulte, les enfants manquant de sommeil sont plus enclins à souffrir d’obésité. Voici un survol des résultats publiés sur le site santelog.com.

Ce serait près de 150 calories en moins que les enfants ayant un sommeil adéquat consommeraient chaque jour. À la suite à ses recherches, le Pr. Chantelle Hart du Center for Obesity Research and Education démontre que, bien que la malbouffe et le manque d’exercice soient aussi à blâmer, le manque de sommeil est tout aussi coupable.

Ce sont 37 enfants qui ont participé à l’étude, dont 27 % étaient en surpoids ou obèses. Durant 3 semaines, leur temps de sommeil variait volontairement, afin d’en voir les effets.

Les résultats ont été clairs; au moment où les enfants dormaient plus, leur apport calorique diminuait de 134 calories quotidiennement, en plus de présenter une quantité inférieure de leptine, l’hormone de la faim.

En moyenne, les enfants ont aussi perdu 220 grammes par semaine, améliorant ainsi leur état de santé.

Le tout revient à ce qui est conseillé par les professionnels de la santé; maintenir une routine de sommeil suffisante et adéquate pour les enfants est primordial pour leur bon développement, leur santé et leur comportement.

Crédit Photo : Freedigitalphotos.net

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Loin du travail, loin du coeur?

Loin des yeux, loin du cœur, dit-on, mais cette maxime s’appliquerait également en ce qui concerne les longs et fastidieux voyages pour se rendre et revenir du boulot, selon une nouvelle étude.

Top Santé rapporte en effet que selon une équipe de chercheurs suédois, la distance entre le domicile et le lieu de travail peut avoir un impact majeur sur le succès ou l’échec d’une relation.

C’est la conclusion apportée par Erika Sandow, en tête de cette recherche, après avoir sondé un million de personnes dans son pays d’origine et avoir analysé les impacts de ces déplacements sur la santé de leurs couples.

Il semble que 45 minutes soit le maximum de temps à accorder aux transports pour se rendre au travail, car passé cette barre les relations commenceraient à en souffrir. On parle d’un risque de rupture de plus de 40 %!

On imagine que la fatigue, la distance et le manque de temps sont tous des facteurs qui peuvent expliquer ces séparations massives dans ledit contexte.

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La mélatonine pour aider au sommeil

Tel qu’expliqué sur TopSanté, la mélatonine est une hormone que sécrète notre cerveau quand la nuit tombe. Elle nous fait signe qu’il est temps de prendre du sommeil et nous fait ressentir un effet d’endormissement.

Malheureusement, ce n’est pas le type de substance que l’on retrouve dans la nature, en fait, à peine. On en retrouve de toutes petites quantités dans le riz, les pommes de terre et les tomates. En cas de troubles de sommeil, il est donc impossible de simplement ajuster notre régime alimentaire.

Reconnue depuis longtemps pour ses bienfaits sur le sommeil, la mélatonine est maintenant offerte en complément alimentaire et aussi sous forme de médicament.

L’effet calmant que nous procure cette hormone peut parfois être déséquilibré; voilà pourquoi certaines personnes peuvent souffrir d’insomnie. Le décalage horaire est une source bien connue. Il s’agit de l’effet qu’on ressent souvent après un voyage vers un autre fuseau horaire.

L’exposition à la lumière artificielle et l’âge sont les deux autres facteurs communs. En effet, plus on vieillit, plus l’hormone diminue en efficacité.

La mélatonine à libération progressive, comme le Circadin®, ne se contente pas de faciliter l’endormissement, elle permet aussi à celui qui la prend de jouir de nuits plus réparatrices.

Informez-vous!
 
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Percée importante dans la compréhension et le traitement de la fatigue chronique

Beaucoup de gens sont affectés par le syndrome de la fatigue chronique, sans toutefois obtenir la compréhension ou les soins requis.

Et pour cause, car le phénomène demeure somme toute mystérieux, malgré sa reconnaissance par le milieu médical.

Ce dernier, par l’entremise d’une équipe de chercheurs basée à l’Université de Floride du Sud, vient de découvrir un virus qui pourrait expliquer certains cas de fatigue chronique.

Il s’agit du HHV-6, herpèsvirus humain, qui, contrairement à son nom, ne semble pas que relatif à la fameuse infection transmissible sexuellement.

En fait, selon Santé Log, le HHV-6 est si commun que près de la totalité des humains le porterait dans son organisme. La différence étant que lorsqu’un individu présente un système immunitaire en santé, le HHV-6 demeure « invisible ».

Cependant, chez les personnes présentant un système immunitaire déficient, le virus peut se présenter sous forme de symptômes associés à la fatigue chronique.

Un traitement antiviral pourrait donc être étudié et mis à l’essai afin de cibler précisément les cas de SFC, toujours selon l’équipe de chercheurs américains.

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S’endormir au volant : une cause de mortalité plus féroce que l’alcool

Une nouvelle étude ou plutôt un nouveau bilan de la part de l’ASFA démontre que la principale cause d’accidents mortels sur les routes serait la fatigue, et non l’alcool comme il serait permis de le croire.

C’est Santé Log qui rapporte ces conclusions, basées sur des statistiques recueillies au cours de l’année 2012. On note d’abord une certaine amélioration en termes de nombres de décès sur les routes, globalement.

Malheureusement, il semble que la fatigue soit la cause d’un accident mortel sur trois, s’appropriant ainsi le triste titre de cause principale des décès routiers.

Les vacances sont encore une fois une période faste pour les accidents, le mois de juillet s’avérant le pire de tous à ce chapitre.

Même si les accidents mortels reliés à la drogue et à l’alcool arrivent plus loin dans ce bilan, il n’en demeure pas moins que, toujours selon l’ASFA, ils continuent d’être en hausse progressive depuis 15 ans.

Encore une fois, on appelle à la vigilance et à l’intelligence des conducteurs.

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Le sommeil des tout-petits et leur comportement

Les résultats d’une récente recherche sur le sommeil des jeunes enfants ont été publiés dans l’édition de juillet du Journal of Developmental & Behavioral Pediatrics.

Il s’agit là d’une étude basée sur l’analyse du comportement de plus de 9 000 enfants, de leur naissance à l’âge de 4 ans. Selon la Dr Rebecca J Scharf de l’Université de la Virginie, « Les enfants d’âge préscolaire ayant un sommeil insuffisant ont plus de chance de développer de l’agressivité, de la frustration, d’avoir recours à des agressions, des impulsions, des crises et d’avoir un comportement dérangeant. »

En moyenne, un enfant de cet âge aurait besoin d’une période de sommeil d’au moins 9 h 45. En deçà de ce seuil, c’est considéré comme un manque de sommeil. D’ailleurs, les enfants du groupe dormant moins de 9 h 45 ont démontré de plus importants troubles du comportement.

Toujours selon Dr Scharft, « Il y a de très bonnes raisons de croire que la carence de sommeil mène à une extériorisation du comportement[.] Il serait tout à fait avisé de prôner de bonnes habitudes de sommeil, une routine appropriée pour aider les jeunes enfants. »

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Le manque de sommeil serait-il devenu un fléau de société?

Si vous vous sentez souvent fatigué et semblez manquer de sommeil constamment, vous n’êtes vraisemblablement pas seul!

En fait, selon Top Santé, qui rapporte une étude des CDC américains sur le sujet, le manque et les troubles de sommeil seraient en voie de devenir une « épidémie », c’est-à-dire un problème collectif et récurrent.

Un terme que n’hésite pas à utiliser l’association américaine pour alerter la population contre le fléau qui n’a rien de bénin.

Manque de productivité généralisée, accidents et manque d’attention, maladies et troubles de la santé divers, voilà quelques-uns des dommages collatéraux découlant d’un manque de sommeil collectif.

Bien que l’on rappelle les heures de sommeil nécessaires au bon fonctionnement de l’être humain (9-10 heures pour les adolescents, 7-9 heures pour les adultes), on ne mentionne pas les raisons de cette soudaine épidémie en santé publique.

Trop de travail? Trop de stress? Manque de sensibilisation sur l’importance du sommeil? Pour l’instant, tout ce qu’on sait, c’est que les Nord-Américains ne font pas passer le sommeil en tête de liste de leurs priorités… et qu’ils ne dorment pas assez.

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15 h : l’heure fatidique au travail

Si vous devenez inopérant, obsolète dans vos fonctions professionnelles lorsque sonne 15 h, vous n’êtes probablement pas seul, rapporte Top Santé

Selon une étude britannique, 14 h 55 serait le dernier moment de productivité ressenti par les 400 travailleurs interrogés par les chercheurs anglais, ce qui démontre une tendance.

Il s’agit bien sûr d’une moyenne établie par l’équipe de recherche, qui a constaté qu’il serait certainement plus utile de prendre une pause pour se dégourdir ou pour se faire un café que de tenter de pousser la machine en milieu d’après-midi.

De plus, les chercheurs découvrent certains cycles de travail qui leur permettent de conclure deux choses : « La plupart du temps, si les personnes ont un élan d’énergie et abattent beaucoup de travail en une heure, ils ont tendance à être en sous-régime les deux heures suivantes. On recommande de prendre plusieurs petites pauses de cinq minutes pendant la journée ».

Michael Davies, qui dirige l’étude, croit donc qu’il ne faut pas lutter contre ce que l’on ressent, notamment lors des baisses de régime, qu’elles soient à 15 h ou ailleurs dans la journée.

Il termine en expliquant : « Nous connaissons tous des pics et de creux de productivité, mais l’astuce est de maintenir un niveau de travail constant plutôt que d’osciller d’un extrême à l’autre ».