D’abord, vos seins seront sensibles et vos aréoles bruniront dès les premières semaines après la conception.
Aussi, vous pourriez avoir des saignements durant les cinq à dix jours suivant la conception. C’est un signe que l’embryon s’implante sur la paroi utérine.
Puis, vous pourriez vous sentir fatiguée durant le premier trimestre et avoir souvent besoin d’uriner pendant les deux ou trois semaines après la conception.
Il est possible que vous n’ayez pas vos règles. Dans ce cas, vous devriez investir dans un test de grossesse.
Comme la majorité des femmes enceintes, vous pourriez être victime des nausées matinales. Renseignez-vous alors sur les solutions pour minimiser cet inconvénient.
Ensuite, il se pourrait que votre odorat soit faussé et que soudainement, votre repas favori se mette à vous répugner.
De plus, vous allez peut-être avoir des rages de nourriture. Trouvez donc quelques aliments sains et faciles à transporter avec vous.
Finalement, vous risquez d’avoir des ballonnements reliés à l’augmentation de la progestérone et de l’estrogène dans votre corps. Consultez un expert pour savoir comment les réduire.
Rappelons qu’une fois la nouvelle confirmée, il existe plusieurs manières originales de l’annoncer à vos proches.
Par exemple, envoyez une carte avec couverture personnalisée, comme une image de vos chaussures, de celles de votre conjoint ainsi qu’une paire de souliers de bébés. Vous écrirez que votre famille grandira de deux pieds.
C’est ce que révèle une étude publiée sur Psychcentral.com. En fait, les enfants ayant des troubles de l’apprentissage, de comportement ou d’attention seraient les plus susceptibles de développer de la fatigue excessive durant le jour (EDS).
Aussi, les chercheurs ont déterminé qu’une série de facteurs pouvaient contribuer à l’EDS. Ils ont souligné que l’obésité, les symptômes d’inattention, la dépression et l’anxiété ainsi que la difficulté des parents à s’endormir étaient des aspects qui pouvaient contribuer à l’EDS, et ce, même parmi les enfants n’ayant pas de temps de sommeil réduit ou d’apnée du sommeil.
« Les faiblesses dues au EDS dans le fonctionnement cognitif et comportemental peuvent avoir de sérieux impacts sur le développement d’un enfant. Reconnaître et traiter l’EDS peut offrir de nouvelles stratégies pour s’attaquer à certains des problèmes neurocomportementaux les plus communs chez les jeunes enfants qui vont à l’école », explique l’auteure principale de la recherche, la Dre Susan Calhoun.
De plus, 15 % des enfants ont normalement une EDS. Ce pourcentage est cependant plus élevé parmi les enfants ayant des troubles d’apprentissage, de comportement ou d’attention, selon les experts.
Il semble que les attentes irréalistes de la parentalité et la sensation de fatigue sont de loin les plus grands prédicateurs de la dépression postadoption, a déclaré Karen J. Foli de l’Université de Perdue, dont l’étude paraîtra ce mois-ci dans Advances in Nursing Science.
Pour la spécialiste, il est encore embêtant de savoir si la cause de la dépression postadoption repose réellement sur le symptôme de la fatigue en soi ou plutôt sur l’expérience parentale qui engendrerait la fatigue.
Selon le sondage réalisé auprès de 300 femmes qui avaient adopté un enfant âgé en moyenne de 4,6 ans, ce genre de dépression pourrait également être causé par le manque de soutien social, familial et d’appui du système.
Il a également été démontré que tisser des liens avec l’enfant n’est pas toujours évident pour la mère. « En investissant tant d’espoir dans cette nouvelle relation, les mères adoptives qui ne réussissent pas à se lier à leur enfant aussi rapidement qu’elles s’y attendaient peuvent développer des sentiments de honte et de culpabilité », a affirmé Mme Foli.
L’experte ajoute que l’adoption peut rimer avec problèmes de comportement ou besoins spéciaux pour l’enfant. En effet, il a été prouvé que les symptômes dépressifs étaient plus élevés chez les mères qui ont peu ou aucune information sur le passé biologique et affectif de l’enfant adopté.
Finalement, l’étude a démontré que la race ou l’ethnie du nouveau venu à la maison n’avait pas d’impact sur le taux de dépression des mères adoptives. Toutefois, ces dernières ont confirmé que cela semblait affecter la société. Les participantes ont rapporté « percevoir que la société était moins encline à accepter leur famille adoptive ».
Mme Foli prévoit se pencher prochainement sur la dépression postadoption dans une étude à long terme, afin de mieux comprendre les enjeux liés à la liaison maternelle avec l’enfant et la satisfaction conjugale.
Céphalées, fatigue, troubles cognitifs et plaintes cognitives, comme l’oubli et l’inattention, sont des symptômes qui peuvent suivre une commotion cérébrale.
Les enfants ayant subi une lésion cérébrale traumatique légère (TCC) sont plus à risque de devoir vivre avec ces problèmes de santé que les enfants en bonne santé ou ceux qui éprouvent une blessure orthopédique.
Une étude publiée dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine confirme que la gravité des blessures peut jouer un rôle important à court terme sur la santé de l’enfant.
Keith O. Yeates, directeur des services de santé du comportement à l’Hôpital pour enfants de Nationwide et coauteur de l’étude, déclare qu’il est important de cibler efficacement les enfants atteints d’une TCC pour leur offrir les soins appropriés.
C’est en comparant les tests neurocomportementaux, les symptômes, les commentaires des parents au sujet du comportement de leur enfant avant l’accident et les estimations du changement des jeunes de 8 à 15 ans qui ont été admis à l’hôpital de Nationwide et de Cleveland que les experts ont pu déterminer que ceux qui sont atteints d’une TCC légère sont plus susceptibles d’afficher des augmentations des symptômes cognitifs et somatiques.
Des recherches supplémentaires devront être faites à ce sujet, mais il a été prouvé que le fonctionnement quotidien des enfants atteints d’une TCC peut être brimé.
Selon une nouvelle étude de l’Université de Wisconsin-Madison, le fait d’avoir eu un bébé prématuré rendrait les mamans en moins bonne santé, beaucoup plus stressées et fatiguées que les femmes qui ont connu un accouchement à terme.
Les chercheurs ont découvert que prendre soin d’un bébé prématuré, avec le lot d’inquiétudes que cela comporte, affecterait la santé morale et physique de la mère, et ce, jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge de 5 ans.
On conseille d’ailleurs à ces mères de s’entourer dès la naissance du bébé de gens aptes à leur fournir un bon soutien (famille, amis et médecins).
Les problèmes durant la grossesse, le poids du bébé à la naissance et la durée du séjour du bébé dans une unité de soins intensifs néonatals sont également des éléments qui ont été pris en considération, lors de cette étude réalisée auprès de 587 mamans. La moitié d’entre elles avait accouché avant terme, et l’autre non.