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Un haut taux de cholestérol peut vous rendre fatigué

Selon le Livestrong, un haut niveau de mauvais cholestérol peut vous faire sentir fatigué plus rapidement.
 
Le cholestérol est aussi nommé le « tueur silencieux », car il présente très peu de symptômes. Dans les cas graves, cela peut conduire à un décès.
 
Toutefois, la fatigue peut justement être un symptôme qui indique que votre niveau de cholestérol est trop élevé. En fait, ce n’est pas le cholestérol lui-même qui cause la fatigue, mais cela découle plutôt des conditions qu’il provoque, par exemple, les maladies coronariennes.
 
Vous pouvez également ressentir de la douleur dans le dos, la nuque et des maux de tête. Ces douleurs peuvent se prolonger jusqu’aux épaules également.

Parmi d’autres symptômes qui pourraient vous mettre la puce à l’oreille et vous faire consulter un médecin, il y a les jambes enflées, la fatigue et la somnolence.

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Ayez une plante au bureau pour diminuer le stress

Une récente recherche dévoile que la présence d’une plante en pot sur votre bureau peut réduire la fatigue, le stress, la gorge sèche, les maux de tête, la toux et la peau sèche.
 
En d’autres mots, avoir une plante est bon pour la santé, concluent les chercheurs. Ces derniers ont examiné 385 employés de bureau, selon le nombre de plantes qu’ils avaient et les journées de congé de maladie qu’ils prenaient.
 
Plus il y a de plantes et moins les journées de congé de maladie sont fréquentes.
 
On croit que les plantes et les microbes de leur sol absorbent les composés organiques volatiles qui peuvent nuire à la santé. Certains experts croient simplement que cela ne serait qu’un effet psychologique, car les gens croient qu’avoir une plante est bon pour la santé.
 
Quoi qu’il en soit, on remarque des résultats, surtout dans les bureaux où les employés n’ont pas de fenêtres, indique le Daily Mail.
 
La présence de plantes dans les bureaux rendrait également les personnes plus productives, en plus de réduire leur tension artérielle.
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L’obésité, l’asthme et l’anxiété reliés à la fatigue chronique?

Le syndrome de fatigue chronique (SFC) chez de jeunes enfants serait plus fortement relié à l’obésité et à des troubles de l’humeur qu’il ne l’est chez les adultes, apprend-on dans Sleep.

C’est ce que concluent des chercheurs du Penn State College of Medicine en Pennsylvanie après qu’ils aient suivi 508 enfants.
 
Précisément, ces résultats font un lien entre le SFC et les facteurs médicaux, les médicaments pour l’asthme, le tour de taille et la mention des parents de symptômes dépressifs ou anxieux, entre autres.
 
Rappelons que le SFC est l’incapacité à demeurer éveillé durant le jour. Il peut avoir des effets néfastes sur le fonctionnement d’une journée normale.

Les chercheurs suggèrent donc quelques pistes à suivre pour prévenir ce problème, dont la perte de poids, le traitement de la dépression et de l’anxiété ainsi que des méthodes nocturnes de prévention de l’asthme, le cas échéant.

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Conseils pour un allaitement réussi

Lors de la 8e édition de la Journée internationale de l’allaitement, laquelle s’est tenue en mars, des spécialistes ont présenté des recommandations à suivre pour que tout se passe bien pour la mère et son bébé. En voici quelques-unes.

On suggère par exemple de dormir dans la même chambre que son nourrisson. Ainsi, lorsqu’il se réveillera en pleine nuit, tout sera plus facile, et surtout moins fatigant.
 
Les mères devraient aussi demander de l’aide à leur entourage sans hésiter et prendre le temps de se reposer. La raison en est que l’épuisement et les problèmes de sommeil sont très liés à la dépression.
 
De plus, il a déjà été prouvé que les mères anxieuses et fatiguées avaient un taux de prolactine plus faible que les autres. Rappelons que la prolactine est l’hormone responsable de la lactation.

Finalement, lors de l’allaitement comme tel, il est primordial de s’installer comme il faut. On conseille donc de s’allonger dans un fauteuil incliné vers l’arrière ou dans le lit, et de bien soutenir le dos à l’aide de coussins. De cette façon, on soulagera les douleurs aux mamelons, car le bébé sera suffisamment rapproché de sa mère.

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Ronfler peut présenter un risque accru de syndrome métabolique

Les personnes qui ronflent, qui ont un sommeil agité ou qui se réveillent fatiguées ont plus de chances de développer un syndrome métabolique. Ce dernier est une association de différents problèmes de santé qui augmentent les risques de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de diabète.
 
Selon le journal Sleep, si vous avez un excès de poids, surtout au niveau de l’abdomen, que vous souffrez d’hyperglycémie, d’hypertension, que votre niveau de bon cholestérol est trop bas et que votre niveau de sucre sanguin est trop haut, vous avez de fortes chances de développer un syndrome métabolique.
 
Les adultes qui ronflent sont deux fois plus à risque. Ceux qui ont du mal à s’endormir ont 80 % des chances de souffrir du syndrome métabolique et ceux qui se réveillent fatigués ont 70 % plus de risques.
 
Pour éviter le ronflement, on recommande fortement de perdre du poids, de dormir sur le côté, d’utiliser des bandelettes nasales et de limiter sa consommation d’alcool et de sédatifs.
 
24 % des femmes et 40 % des hommes ronflent régulièrement.
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La méditation pour soulager la sclérose en plaques

Des chercheurs suisses ont évalué les effets de la méditation sur les personnes souffrant de sclérose en plaques.
 
150 patients ont participé à l’étude. Tous recevaient les soins médicaux habituels pour leur maladie, mais 76 d’entre eux ont suivi des séances de méditation pendant huit semaines.
 
Les résultats, publiés dans la revue Neurology, démontrent que les personnes ayant médité souffraient moins de dépression que les autres. De plus, leur perception de leur qualité de vie était plus positive. Même si les effets obtenus se dissipaient au fil des semaines, on a constaté le bénéfice de la méditation jusqu’à six mois après l’étude.
 
Toutefois, la méditation ne soulage pas les symptômes physiques qui sont demeurés les mêmes chez les deux groupes de participants.
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La technologie fatigue le cerveau

Le New York Times rapporte une nouvelle étude qui révèle que les outils technologiques qui nous simplifient la vie, comme les téléphones cellulaires, les ordinateurs et autres, fatiguent notre cerveau.
 
Notre cerveau est sans cesse sollicité et ne trouve pas le repos essentiel pour enregistrer les informations et générer des idées.
 
Après des tests sur des souris, on constate qu’elles vivent de nouvelles expériences en explorant de nouveaux endroits, générant ainsi un nouveau schéma d’activité dans leur cerveau. Toutefois, ce schéma est efficace pour transformer l’information en souvenir seulement si les souris s’arrêtent un moment.
 
Ces observations sont valables pour l’être humain également, mentionne Loren Frank, professeur de physiologie à l’Université de la Californie à San Francisco. « Le temps de repos permet au cerveau de passer en revue les nouvelles expériences, de les consolider et de les transformer en souvenirs permanents. »
 
De plus, il a été prouvé que l’on apprenait mieux après avoir effectué une marche dans la nature plutôt qu’une promenade en ville.
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Pour se muscler, il est inutile de forcer

Voilà une bonne nouvelle pour les personnes plus fragiles, comme les personnes âgées ou celles qui se remettent d’un traumatisme : il est inutile de forcer, pour développer ses muscles.

Depuis longtemps, nous croyons que pour développer sa masse musculaire, il faut lever des poids lourds, mais des kinésiologues ontariens de l’Université McMaster ont découvert que la clé pour avoir de bons muscles réside plutôt dans la fatigue de ceux-ci.

« Plutôt que de grogner et de forcer pour soulever des poids lourds, vous pouvez saisir quelque chose de beaucoup plus léger, mais vous devez faire l’exercice jusqu’à ce que vous ne puissiez plus le soulever », explique le Pr Stuart Phillips.

Les chercheurs ont suivi deux groupes de jeunes hommes, le premier qui s’entraînait avec des poids lourds, qui soulevaient donc 90 % de leur capacité maximale, alors que le deuxième groupe utilisait des poids légers qui représentaient seulement 30 % de ce qu’ils étaient capables de lever.

En soulevant 80 à 90 % de notre capacité, nous serions habituellement capables de faire 5 à 10 répétitions, mais avec 30 %, il est possible d’en faire au moins 24 et d’avoir d’aussi bons résultats, car le muscle va se fatiguer autant, mentionne la revue PLoS ONE.

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Pour se muscler, il est inutile de forcer

Voilà une bonne nouvelle pour les personnes plus fragiles, comme les personnes âgées ou celles qui se remettent d’un traumatisme : il est inutile de forcer, pour développer ses muscles.

Depuis longtemps, nous croyons que pour développer sa masse musculaire, il faut lever des poids lourds, mais des kinésiologues ontariens de l’Université McMaster ont découvert que la clé pour avoir de bons muscles réside plutôt dans la fatigue de ceux-ci.

« Plutôt que de grogner et de forcer pour soulever des poids lourds, vous pouvez saisir quelque chose de beaucoup plus léger, mais vous devez faire l’exercice jusqu’à ce que vous ne puissiez plus le soulever », explique le Pr Stuart Phillips.

Les chercheurs ont suivi deux groupes de jeunes hommes, le premier qui s’entraînait avec des poids lourds, qui soulevaient donc 90 % de leur capacité maximale, alors que le deuxième groupe utilisait des poids légers qui représentaient seulement 30 % de ce qu’ils étaient capables de lever.

En soulevant 80 à 90 % de notre capacité, nous serions habituellement capables de faire 5 à 10 répétitions, mais avec 30 %, il est possible d’en faire au moins 24 et d’avoir d’aussi bons résultats, car le muscle va se fatiguer autant, mentionne la revue PLoS ONE.

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La fatigue est le principal désagrément de la chimiothérapie

Une enquête révélée par Top Santé révèle que la fatigue est le principal effet indésirable lors des traitements pour un cancer.
 
En fait, 80 % des patients traités en chimiothérapie disent souffrir régulièrement de fatigue. Les trois quarts affirment souffrir de fatigue intense ou très intense.
 
Selon le sondage, quatre patients sur 10 (37 %) disent que la fatigue est l’effet le plus indésirable de la chimiothérapie. Pour 18 % des patients, c’est la perte des cheveux qui est le plus désagréable, alors que les nausées et les vomissements déplaisent majoritairement à 9 % des malades. Finalement, la douleur est le principal désagrément des traitements pour 6 % des gens.
 
Pour 87 % des médecins et 94 % des infirmières, traiter la fatigue des malades est une priorité.
 
« De tous les traitements anticancéreux, la chimiothérapie est le plus pourvoyeur d’anémie, avec parfois pour conséquence une sensation de fatigue. Les chimiothérapies utilisées le plus fréquemment pour traiter des cancers du sein ou du poumon, par exemple, sont à base de sels de platine, de taxanes et d’anthracyclines, des composants connus pour entraîner des anémies », explique l’hématologue de la clinique Sainte-Anne de Strasbourg, le Dr Frédéric Maloisel.