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Céline Dion se confie à propos de ses fausses couches

Céline Dion a toujours voulu que ses fans puissent s’identifier à elle, qu’ils comprennent qu’elle vit des moments heureux, mais aussi de douloureux événements comme chacun de nous.

Comme elle le dit elle-même, elle se confie « à livre ouvert » pour son auditoire. Voici.fr rapporte un extrait d’une entrevue avec Céline : « J’ai décidé d’être moi-même, d’être transparente, de partager toute ma vie et de dire les choses comme elles sont ».

Pour la star, il est primordial que le public comprenne ce qu’elle vit lorsqu’elle chante une chanson. Elle veut qu’il sache ce qu’elle ressent, ce qu’elle explique : « Pour moi, quand les gens savent exactement dans quel état d’âme je suis quand j’interprète une chanson, j’ai l’impression qu’ils m’entendent mieux, et j’ai l’impression de la chanter, sans prétention, mieux ».

Lors de l’entrevue, Céline Dion a immédiatement été troublée en parlant de ses deux fausses couches. Ce fut un choc pour elle et René Angélil.

Le premier bébé qu’elle a perdu, c’était en novembre 2009, après la naissance de René-Charles. Le second, c’était lors de sa grossesse des jumeaux (Eddy et Nelson). En fait, Céline avait des triplés. « Son cœur a arrêté de battre ».

L’entrevue télévisée sera animée par Thierry Demaizière.

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Attention aux saignements durant la grossesse

De façon générale, les femmes n’ont pas leurs règles durant la grossesse. Cependant, cela ne veut pas dire qu’elles ne peuvent pas avoir de saignements.

La plupart des femmes, moins bien informées sur ce genre de saignements, seront portées à paniquer. Toutefois, tous ces saignements ne sont pas dangereux.

D’abord, si les saignements s’apparentent à des taches, c’est que l’oeuf est fertilisé, mais est attaché à la paroi de l’utérus. Cela provoque des saignements brunâtres ou rouges.

Aussi, des saignements peuvent apparaitre après la prise de pilules contraceptives. Si vous avez récemment cessé la pilule et êtes tombée enceinte, vous pourriez voir des taches dans votre culotte. Ces saignements sont dus à des changements hormonaux, mais ne sont pas de vraies menstruations.

Ensuite, les grossesses extra-utérines provoquent aussi des saignements. En fait, elles s’apparentent aux règles, mais sont accompagnées de nausées, d’étourdissements et de douleur.

Les saignements peuvent aussi, dans certains cas, être associés à des fausses couches. Les experts suggèrent donc d’en parler à votre gynécologue immédiatement.

Rappelons que d’autres signes peuvent annoncer une grossesse ectopique. Outre les saignements, on retrouve des crampes ciblées sur un seul côté et des douleurs au bas du ventre.

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La fausse couche plus facile grâce à Facebook

Une jeune femme a raconté au USA Today comment le réseau social l’avait aidé à passer par-dessus sa fausse couche.

Déjà mère de deux enfants, Ashley Webber s’est empressée d’annoncer sa grossesse à tous ses amis sur Facebook. Deux semaines plus tard, elle a dû les prévenir de sa fausse couche. C’est alors que des dizaines de messages de soutien lui sont parvenus.

« C’est justement pour ça que je l’ai fait : je pensais que tout irait bien et je me suis dit que si quelque chose n’allait pas, les gens sauraient et je ne serais pas seule », a-t-elle confié.

Ce phénomène de plus en plus fréquent rassure le Collège américain des obstétriciens et gynécologues. Les spécialistes croient en fait que de cacher sa fausse couche est un signe que l’on éprouve de la culpabilité.

Quinze à vingt pour cent des grossesses se terminent en fausse couche, notamment chez les femmes de plus de 35 ans.

Rappelons que les femmes qui retardent la maternité, souvent par souci professionnel, sont plus à risque de donner naissance à un bébé mort-né ou de faire une fausse couche. Les médecins disent que l’âge optimal pour donner naissance serait de 20 à 35 ans.

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Plus de fausses couches de bébés garçons

Il semblerait que les futures mamans qui vivent une dose de stress importante durant les deuxième et troisième mois de leur grossesse auraient plus de risque de donner naissance prématurément ou de perdre les bébés de sexe masculin.

Les bébés garçons grandiraient et grossiraient plus rapidement que les filles, ayant ainsi besoin davantage de nourriture provenant de la mère. Ils auraient également moins de chance d’être aussi robustes que les petites filles pour s’adapter à un environnement stressant dans l’utérus.

Ces affirmations sont le résultat d’une étude qui a été réalisée entre 2004 et 2006. Des chercheurs de New York ont étudié, sur 600 000 grossesses, l’impact qu’a eu le tremblement de terre Tarapaca en 2005 au Chili.

Normalement, six mamans sur cent donnent naissance avant 37 semaines. Pour les femmes ayant vécu de près le séisme en question, neuf d’entre elles sur 100 ont accouché prématurément.

Depuis toujours, le nombre de naissances masculines serait plus élevé, soit 51 % pour 49 % de naissances féminines. Depuis cette étude, le nombre de naissances masculines remarqué aurait diminué à 45 %.

Ce serait la première fois que l’on réussirait à prouver que le stress peut réellement influencer le ratio de sexe pour les naissances. La pauvreté et la mauvaise alimentation joueraient également un rôle, mais ne seraient pas aussi déterminantes que la nervosité.

Pour éviter ces situations délicates, les médecins et chercheurs recommandent aux femmes enceintes de prendre soin d’elles et d’être à l’écoute de leurs corps pendant et même avant la grossesse.

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Un médicament de grossesse causerait le cancer

De nouveaux résultats parus dans le New England Journal of Medicine sèment encore une fois l’inquiétude quant à un ancien médicament prescrit durant la grossesse. Durant les années 70, le distilbène (DES) a été prescrit à des femmes enceintes pour prévenir les fausses-couches.

Or, à la suite d’une étude menée auprès de 6500 femmes, dont 4600 ont été exposées à ce médicament avant leur naissance, on constate en effet un plus haut risque de cancer chez celles dont la mère en avait pris.

Ces dernières se retrouveraient plus enclines à souffrir de certaines maladies graves (12 ont été identifiées) ainsi que d’autres problèmes de santé. Elles seraient aussi 40 fois plus à risque de souffrir d’adénocarcinome à cellules claires, une forme rare de cancer vaginal, et ce, jusqu’à l’âge de 40 ans.

Par la suite, passé cet âge, les femmes du distilbène auraient 80 % plus de risques de souffrir d’un cancer du sein, en comparaison à celles non exposées durant la vie intra-utérine.

De plus, ces femmes souffriraient deux fois plus souvent de problèmes d’infertilité, et elles accoucheraient prématurément dans une mesure cinq fois plus importante.

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L’ibuprofène, dangereuse pour bébé?

Une recherche québécoise indique que des médicaments antidouleurs aussi courants que l’ibuprofène ou le naproxène peuvent comporter des dangers pour le bébé à naître. S’ils sont pris en tout début de grossesse, le risque de fausse couche serait considérablement augmenté.

Précisément, une femme qui prend des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) après être tombée enceinte verra augmenter de deux fois ses risques de vivre une fausse couche.

On a pu arriver à cette probabilité en comparant 52 000 femmes. Sur ce nombre, 4 705 avaient eu une fausse couche; parmi elles, 7,5 % avaient reçu une prescription d’AINS durant leur grossesse. Quant aux 47 000 femmes qui avaient mené leur grossesse à terme, moins de 3 % avaient pris ce type de médicaments. Cela revient à un rapport de risque de 2,4 quant à la prise d’anti-inflammatoires non stéroïdiens durant la grossesse.

Toutefois, même si de tels médicaments, qu’ils soient sous ordonnance ou en vente libre, sont maintenant reliés à de plus grands risques de fausse couche, la présente recherche du Centre de recherche du CHU Sainte-Justine ne suppose pas qu’ils constituent en eux-mêmes une cause de la fausse couche.

Les résultats complets de cette étude sont parus dans le Canadien Medical Association Journal.

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Les multivitamines contre la fausse couche

Selon une récente étude effectuée auprès de 36 000 femmes enceintes, la prise de multivitamines pourrait éviter certaines complications. Par exemple, cela éviterait d’accoucher prématurément et diminuerait les risques de faible croissance fœtale.

Mentionnons que ces complications sont causées en bonne partie par une alimentation déficiente. Toutefois, les chercheurs soulignent qu’il ne s’agit pas d’une preuve voulant que toute femme enceinte ou qui souhaite le devenir prenne des multivitamines.

Les avis sont partagés sur le sujet. Certaines instances préviennent les femmes enceintes contre ces multivitamines, car elles pourraient porter atteinte au bébé. Cependant, on suggère fortement d’ingérer des suppléments d’acide folique afin de prévenir certaines défectuosités de naissance.

En regard aux derniers résultats, on propose donc de lever la garde quant aux multivitamines durant la grossesse, vu les bienfaits ici reconnus. Toutefois, il manque encore d’études quant à leurs effets sur la santé de bébé.

Les résultats complets de la présente recherche sont parus dans l’American Journal of Clinical Nutrition.

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Une fausse couche influence les autres grossesses

Une récente étude parue dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology va à contre-courant de ce que l’on avait annoncé sur les fausses couches depuis quelques mois.

Si l’on considérait encore qu’une femme ayant vécu un avortement spontané n’était pas plus à risque que les autres quant à une nouvelle grossesse, cette nouvelle recherche donne une toute nouvelle perspective sur le sujet.

Ainsi, en regard des nouveaux résultats, une femme ayant fait une fausse couche courrait plus de risques, durant sa grossesse suivante, de souffrir de prééclampsie, de diabète ou d’hypertension.

De plus, pour tomber enceinte à nouveau, elle aurait plus souvent recours à un traitement de fertilité que les autres. Par la suite, son accouchement serait plus fréquemment prématuré, et la mortalité prénatale serait une plus grande réalité chez les femmes ayant vécu une fausse couche.

On soutient donc que les femmes qui subissent un avortement spontané devraient par la suite être suivies de près, afin que leur nouvelle grossesse se déroule bien.

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Une découverte qui pourra prédire et éviter la fausse couche

C’est parentcentral.ca qui nous rapporte la précieuse information. Des chercheurs britanniques du domaine de la fertilité ont développé une méthode efficace pour prédire quelles femmes seront le plus à risque de vivre une fausse couche.

Par cet intermédiaire, les médecins seront à même de déterminer les femmes qui pourront obtenir un traitement préventif et éviter que la grossesse soit interrompue.
 
C’est lors de la conférence de la Société européenne pour la reproduction et l’embryologie à Stockholm que les résultats de l’étude ont été dévoilés.
 
Parmi les 6 facteurs identifiés comme causes potentielles, les chercheurs ont réalisé que la combinaison de deux d’entre eux créait un bon « indice de viabilité de grossesse » (IVG). Il s’agit des niveaux de saignement et de présence de la gonadotrophine chorionique humaine (hormone de grossesse).
 
Kaltum Adam, de l’Hôpital St. Mary de Grande-Bretagne, responsable du projet, est fière des résultats : « Cette découverte permettra aux femmes à risque d’obtenir le bon traitement en évitant les conseils futiles, notamment, l’abstinence sexuelle, des tests sanguins inutiles, des scans aux ultrasons et les suppléments de progestérone. »
 
Elle ajoute : « D’autre part, les médecins auront des données probantes pour expliquer aux femmes qui ne peuvent éviter la fausse couche la raison pour laquelle il en est ainsi. »
 
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Une fausse couche retarde-t-elle le délai de conception?

Malgré les croyances populaires, on ne doit pas nécessairement attendre avant d’essayer de retomber enceinte quand on a vécu une ou plusieurs fausses couches. De la même façon, le délai de conception n’en sera pas plus long pour autant, selon BMJ.

C’est ce que vient de démontrer une équipe du Centre de médecine de la reproduction d’Amsterdam. Les 251 participantes de l’étude avaient toutes eu un minimum de 2 fausses couches.

De 2004 à 2009, la majeure partie d’entre elles sont retombées enceintes, soit 213. Cent trente-neuf ont mené leur enfant à terme. On a remarqué que le temps moyen pour revivre une grossesse avait été de 21 semaines.

Quant à la capacité d’avoir une grossesse complète, on n’a pu l’associer à l’âge de la femme ni à son indice de masse corporelle ou ses antécédents liés à la maternité.

Une explication des fausses couches à répétition serait toutefois le facteur V de Leiden, une mutation génétique qui favorise la formation de caillots sanguins.