Catégories
Uncategorized

Grossesse multiple : l’enjeu d’une FIV

Les grossesses multiples demeurent très courantes lorsqu’une femme a recours à la fécondation in vitro (FIV) pour tomber enceinte. Or, quand plus d’un embryon se développe, de grands risques suivent.

Parmi les plus importants, il y la fausse couche, la naissance prématurée et le faible poids de naissance. Les bébés courent aussi plus de risques d’être atteints de paralysie cérébrale et de mourir.

Or, selon DailyMail, un modèle mathématique préviendrait ces grossesses multiples lors d’une FIV. Prévoyant les chances qu’une femme ait plus d’un enfant à la fois, on pourrait se concentrer à l’implantation d’un embryon à la fois pour celles-ci.

Ledit modèle est basé sur des variables, lesquelles ont été établies selon l’analyse de 3 223 embryons implantés sur une période de 3 ans, de 1999 à 2002. Quatre-vingts facteurs ont été identifiés comme jouant un rôle dans le succès de cette méthode de fécondation.

Par la suite, on a testé ce modèle mathématique durant 3 autres années, soit de 2004 à 2007, sur l’implantation de 3 410 embryons. Grâce à cette méthode, on atteindrait désormais un taux de risque d’une grossesse multiple d’à peine 15 %.

Catégories
Uncategorized

L’amniocentèse disparaîtra-t-elle?

Les nouvelles méthodes de dépistage de la trisomie 21, entre autres, ont fait baisser considérablement les taux d’amniocentèse. Par exemple, on apprend dans Le Figaro qu’en France seulement, les femmes enceintes y ont eu 30 % moins recours en 2010.

Si l’on pouvait déceler la trisomie 21 uniquement par cette méthode il y a encore quelques années, elle demeurait risquée : 0,5 à 1 % des grossesses se soldaient alors par une fausse couche.

De nos jours, on procède autrement. L’écographie du premier trimestre permet maintenant de mesurer la nuque du fœtus, ce qui constitue un bon indicateur.

Au trimestre suivant – et de plus en plus lors du même premier trimestre –, on fait passer des tests sanguins à la mère. Finalement, si un doute subsiste en regard aux deux tests précédents, on procède à l’amniocentèse.

Bien entendu, on fait le parallèle avec certains autres aspects. L’âge de la femme demeure un facteur influent. Ce type de dépistage combiné permet, en plus d’être moins invasif, de procurer des résultats beaucoup plus tôt que l’ancienne méthode.

Catégories
Uncategorized

L’alcool cause des accouchements prématurés

Une étude parue dans le BMC Pregnancy and Childbirth confirme une fois de plus les risques entraînés par la consommation d’alcool durant la grossesse.

Après avoir suivi 60 000 femmes enceintes, des chercheurs de Dublin, en Irlande, ont conclu que boire de l’alcool en début de grossesse pouvait causer des naissances prématurées, des fausses couches et un faible poids de naissance.
 
Les participantes de l’étude ont été questionnées sur leurs habitudes de vie entre la dixième et la douzième semaine de leur grossesse. Ces données ont par la suite été comparées à celles prises lors de la naissance de leur enfant.
 
Dans le cadre de cette étude, 71 % des femmes enceintes ont dit consommer de l’alcool sur une base occasionnelle.
 
La forte consommation d’alcool était aussi associée à des problèmes de santé, une fois l’enfant ayant atteint l’âge adulte.

Les chercheurs recommandent toutefois que d’autres études soient faites avant qu’une faible consommation d’alcool durant la grossesse soit considérée sans danger pour le fœtus.

Catégories
Uncategorized

Un enfant en santé ne guérit pas automatiquement une fausse couche

Le triste souvenir d’une fausse couche que vivent certaines mamans n’est pas nécessairement effacé par l’arrivée d’un nouveau-né, selon une étude menée par la Avon Longitudinal Study of Parents and Children publiée par le British Journal of Psychiatry en Angleterre.

Sur 13 000 femmes britanniques, l’étude a remarqué que pour 2 800 d’entres elles ayant eu une fausse couche ou un bébé mort à l’accouchement, la naissance subséquente d’un enfant en santé ne les a pas empêchées de traîner avec elles des symptômes de dépression ou d’anxiété, au contraire.

Ces symptômes seraient en effet demeurés jusqu’à trois ans après la naissance de cet enfant en santé.

La professeure Jean Golding de l’Avon Longitudinal Study of Parents and Children a déclaré : « L’étude est importante pour les familles des femmes qui ont perdu un enfant, parce que trop souvent, on assume à tort qu’elles se remettent de cet incident rapidement, alors qu’il est clairement démontré que ce n’est pas du tout le cas. »

Toujours selon l’étude, de 50 à 80 % des femmes qui perdent un enfant tombent de nouveau enceintes.

Catégories
Uncategorized

Le lait de soya contre les fausses couches

On peut lire dans MailOnline qu’une grossesse par fécondation in vitro aurait six fois plus de chances de réussite grâce à un nouveau traitement.

Ce dernier, expérimental, est à base de lait de soya. Il réduirait considérablement les risques de fausses couches chez les femmes qui ont recours à la méthode FIV.

De plus, des femmes qui avaient tenté plusieurs fois de tomber enceintes par cette méthode l’ont finalement été en suivant ledit traitement.

En fait, on a relevé 50 % de réussite chez les femmes traitées, contre 9 % chez les autres. Mentionnons au passage que parmi celles qui n’ont eu recours qu’à la FIV, seulement 1 sur 10 est tombée enceinte.

Habituellement administrée aux patients très malades, cette préparation à base de lait de soya riche en gras aurait donc de nouvelles utilités.

Pouvant aussi réduire les risques d’une fausse couche, ce traitement pourrait venir en aide aux couples qui doivent en vivre plusieurs lorsqu’ils se tournent vers la FIV.

Toutefois, ce traitement coûte très cher (des milliers de dollars) et ne convient pas à toutes les patientes.

Catégories
Uncategorized

Les femmes ne devraient pas attendre avant de tomber enceintes, après une fausse couche

Alors que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande aux femmes qui viennent de faire une fausse couche d’attendre au moins six mois avant de retomber enceintes, une étude écossaise réalisée sur plus de 30 000 femmes démontre que l’idéal serait plutôt le contraire.

Le British Medical Journal affirme que les femmes qui se retrouvent enceintes dans les six mois suivants leur fausse couche ont de meilleures chances d’avoir une grossesse avec moins de complications, comme une nouvelle fausse couche, une grossesse ectopique ou une naissance prématurée.

Le taux des grossesses s’étant soldé par un bébé vivant était plus élevé chez celles ayant eu une nouvelle grossesse dans les six mois, et beaucoup plus bas chez les femmes qui avaient attendu plus de deux ans avant de concevoir à nouveau.

Le fait que les femmes aient leur enfant à un âge plus avancé n’aide pas : les femmes de plus de 35 ans ont plus de difficulté à concevoir. Le taux de fausse couche est de 30 % pour les femmes de 40 ans et de 50 % pour les 45 ans et plus.

Les recommandations de l’OMS devraient donc être revues à la baisse, selon les chercheurs, car il est inutile d’attendre avant d’essayer à nouveau d’avoir un enfant.

Catégories
Uncategorized

Une autre conséquence de la cigarette

Selon le Dr Bijay Vaidya et ses collègues de l’Hôpital Exeter en Angleterre, fumer lors du premier et troisième trimestre de la grossesse peut entraîner des conséquences, tant chez la future mère que chez son bébé.

En effet, les chercheurs ont observé que les taux de thyroxine et de triiodothyronine, les deux hormones sécrétées par la glande thyroïde, variaient.

Ce phénomène a pour conséquence d’augmenter le risque de fausse couche, de naissance prématurée et d’affecter le développement cognitif chez le foetus.

M. Vaidya affirme toutefois que les sécrétions de la thyroïde reviennent à la normale lorsque la femme enceinte cesse de fumer lors de la gestation.

Catégories
Uncategorized

La caféine augmente les risques de fausse couche

Une étude américaine met en garde les femmes enceintes contre les effets de la caféine sur leur futur bébé.

En effet, le risque de subir une fausse couche double lorsque celles-ci consomment plus de 200 mg de caféine quotidiennement. Cette quantité équivaut à deux tasses de café ou cinq canettes de boisson gazeuse.
 
Même son de cloche pour les femmes qui consomment modérément de la caféine, pour lesquelles le risque de fausse couche est de 40 %.
 
Selon le Dr De-Kun Li, auteur principal de la recherche, il est préférable de ne pas consommer du tout de caféine, car le risque d’avortement spontané chute alors à 12,5 %. « Notre message pour les femmes enceintes est le suivant : elles devraient probablement envisager d’arrêter toute consommation de caféine pendant la grossesse », a-t-il mentionné.
 
De son côté, Santé Canada compte se pencher sur cette nouvelle recherche et pourrait revoir ses recommandations voulant qu’une femme enceinte puisse consommer sans danger moins de 300 mg de caféine par jour.

Catégories
Uncategorized

Une fausse couche influence le poids du bébé

Une équipe de chercheurs de l’Université Virginia Commonwealth ont analysé les dossiers médicaux de 45 500 femmes, ainsi que celui de leur enfant, afin de déterminer les facteurs à risques pour justifier leur poids sous la normale à leur naissance.

Ils ont découvert que le taux de naissance prématurée (en dessous de 37 semaines de gestation) et de bébés ayant un petit poids augmentent lorsque les mères sont d’origine africaine, sont jeunes ou âgées, avec un faible niveau d’éducation ou célibataires.

De plus, il semble que celles qui ont connu une fausse couche ou un avortement ont 67 % plus de chances d’accoucher prématurément que les femmes qui n’en ont pas connu.

L’étude est publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

Catégories
Uncategorized

En début de grossesse, ne bougez pas trop!

Selon le magazine britannique New Scientist, la pratique de sept heures et plus de sport par semaine pourrait, avant quatre mois de grossesse, entraîner 3,5 fois plus de risques de fausse-couche.

Selon John Newnham, de l’Université de l’Australie de l’Ouest, un exercice physique léger est cependant recommandé aux femmes enceintes. Entre autres, la natation pourrait être bénéfique pour la future maman.

Les résultats proviendraient d’une étude danoise et, selon eux, le jogging ferait partie des sports à éviter en début de grossesse.

Après quatre mois et demi de grossesse, aucune contre-indication par rapport aux sports n’a été remarquée.