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L’huile de poisson pour une saine grossesse

Selon une étude menée à l’University of Western Australia, l’huile de poisson pourrait aider à limiter les effets de plusieurs difficultés rencontrées lors des grossesses.

Les résultats ont été publiés dans l’édition du mois d’août du Journal of Lipid Research.

Parmi ces complications, on retrouve le diabète gestationnel, la prééclampsie ou hypertension artérielle gravidique (HTA) et les fausses couches. De plus, elle aiderait la croissance du fœtus.

Alors qu’il était déjà su que cette huile jouait un rôle positif sur le développement cérébral des fœtus, il est maintenant suggéré qu’il en ferait autant en améliorant les fonctions du placenta.

« Plusieurs personnes ont déjà entendu que l’huile de poisson est bonne pour elles, mais nous ne connaissons toujours pas son mécanisme », dit l’auteure principale de la recherche, Megan Jones.

« Les acides gras retrouvés dans les oméga-3 du poisson limitent les inflammations. Et il est depuis tout récemment su qu’ils le font en étant convertis en résolvines, qui réduisent l’inflammation après qu’elle ait eu lieu », continue-t-elle.

Comme les seules études ayant été faites jusqu’à maintenant avaient pour sujets des rats, Jones mentionne qu’il est encore nécessaire d’attendre que d’autres soient pratiquées sur des humains afin de confirmer les données et d’en explorer les effets plus en profondeur.

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Fausses couches : les problèmes d’hypothyroïdie en cause?

Le test de dépistage des problèmes thyroïdiens n’est pas systématique et offert à toutes les femmes enceintes. Toutefois, devrait-il l’être afin de prévenir des troubles de santé chez la mère et chez l’enfant?

Selon une récente étude parue dans le New England Journal of Medicine, le dépistage et le traitement ou non d’une glande thyroïdienne lente chez la femme n’aide pas nécessairement à prévenir des problèmes de développement neurologique ou moteur chez l’enfant. 

Pour l’endocrinologue Martin D’Amour, le test de dépistage devrait être hautement conseillé pour les femmes de plus de 30 ans, celles qui ont des antécédents familiaux et celles qui souffrent d’une maladie auto-immune.

Le spécialiste a d’ailleurs affirmé dans un article du quotidien Le Soleil que les problèmes d’hypothyroïdie peuvent générer des fausses couches et nuire au fœtus.

Quant à la Dre Andrée Boucher, endocrinologue au CHMUM et vice-doyenne de la faculté de médecine de Montréal, ce test de dépistage serait d’une grande utilité publique s’il était exercé universellement et surtout pratiqué dès qu’il y a le moindre symptôme de fatigue pendant la grossesse.

Jean Palardy, président de l’Association des médecins endocrinologues du Québec, approuve également en rappelant que la maladie est difficile à détecter durant la grossesse, les symptômes n’étant pas clairs.

En revanche, la Dre Isabelle Girard, vice-présidente de l’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec, et d’autres spécialistes croient que le supplément de médication durant la grossesse pourrait être néfaste et n’est pas conseillé. Seules les femmes à haut risque devraient subir ce genre de test.

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Nouvelle piste pour prévenir les fausses couches

Des recherches effectuées auprès de 500 femmes enceintes à la suite d’une fécondation in vitro ont permis de révéler une nouvelle piste dans la recherche pour prévenir les fausses couches.

Des scientifiques de l’Université de Nottingham, en Angleterre, ont découvert que dans près de 80 % des cas de fausses couches étudiés, le développement du foetus lors des premières semaines de grossesse accusait du retard.

Ce retard, constaté dans le premier trimestre de la grossesse, a pu être validé après que les chercheurs aient mesuré le développement physique des foetus.

Les tests ont été faits uniquement sur des foetus conçus in vitro, car ils permettaient ainsi de connaître la date exacte de la gestation.

Les chercheurs ont ainsi trouvé que 78 % des foetus accusant un retard dans les 12 premières semaines de croissance subissent une interruption de grossesse, alors que 98 % des foetus n’ayant pas de problèmes de croissance naissent à terme.

Cette découverte ouvre la voie à plus de recherche dans cette direction, afin que le phénomène des fausses couches soit mieux contrôlé un jour.

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De multiples fausses couches multiplient de risques de troubles cardiaques

Le journal Heart nous apprend que les fausses couches à répétition sont un facteur de risques cardiaques.

Les fausses couches spontanées sont une des plus fréquentes complications et touchent une grossesse sur cinq.

11 500 femmes ont participé à une étude. Une sur quatre avait fait une fausse couche détectable, alors qu’une sur cinq avait vécu un avortement spontané. De plus, on a noté que 2 % des femmes avaient eu un bébé mort-né.

Sur les participantes, 2 876 femmes avaient fait une fausse couche. De ce nombre, 69 en avaient vécu plus de 3 et ces dernières avaient tendance à avoir un surpoids. Les femmes ayant eu un bébé mort-né étaient aussi moins actives et avaient des taux de diabète et d’hypertension élevés.

L’étude démontre qu’avec plus de trois fausses couches, une femme a cinq fois plus de risques de faire une crise cardiaque. Pour les femmes qui en ont eu 2 ou plus, on parle d’un risque multiplié par 4. Si une femme a eu au moins un bébé mort-né, le risque de problèmes cardiaques est de 3,5 fois plus élevé.

Les chercheurs recommandent donc de surveiller de près la santé cardiaque des femmes qui doivent surmonter cette épreuve, surtout celles qui le vivent plusieurs fois.

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L’alimentation durant la grossesse influence les risques de fausses couches

Il semble que l’on vient d’ajouter un facteur de risque pour les fausses couches. Nous savions déjà que l’âge des futurs parents pouvait jouer un rôle, de même qu’une insuffisance ou une surcharge pondérale, mais voilà que la nutrition aurait une incidence également.
 
Une mère qui ne s’alimente pas correctement a plus de risques d’avoir une fausse couche que celle qui a une alimentation équilibrée. Les femmes enceintes devraient donc prioriser les légumes verts, les fruits, le lait, les fromages, les œufs et consommer un peu de poissons, de beurre et d’huile.
 
Les futurs pères doivent également faire attention à leur alimentation avant la conception du bébé, rappelle Famili. Ainsi, ils devraient privilégier les vitamines et oligoaliments, ne négligeant pas de consommer des aliments comme le melon, la tomate, le brocoli, la laitue, les amandes, les carottes, les épinards, les œufs et le poisson par exemple.