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Les puces Neuralink d’Elon Musk pourront être implantées dans les cerveaux bientôt

Dans une interview au Wall Street Journal, l’ingénieur milliardaire controversé Elon Musk a annoncé que Neuralink, sa société de technologie d’interface cérébrale fondée en 2016, espère commencer à implanter des micropuces chez les êtres humains dès l’année prochaine, en 2022.

Au cours de cette entrevue diffusée en direct lors du CEO Council Summit du Wall Street Journal, lundi, on a demandé à Elon Musk ce que Neuralink prévoyait de faire en 2022. Il a répondu : « Neuralink fonctionne bien chez les singes, et nous sommes en train de faire de nombreux tests et de confirmer que c’est très sûr et fiable, et que le dispositif Neuralink peut être retiré en toute sécurité. »

Cette puce est utilisée pour relier les neurones du cerveau à tout type d’appareil informatique, afin d’enregistrer et de stimuler l’activité cérébrale. Destinée aux tétraplégiques et aux personnes souffrant de lésions cérébrales ou vertébrales, la puce permettrait aux gens de communiquer leurs pensées via des ordinateurs et des appareils mobiles, ce qui est une excellente nouvelle pour ces personnes.

« Au fur et à mesure que les utilisateurs pensent à bouger leurs bras ou leurs mains, nous décodions ces intentions, qui seraient envoyées via Bluetooth à l’ordinateur de l’utilisateur ».

Le Link est le point de départ d’un nouveau type d’interface cérébrale. Au fur et à mesure que notre technologie se développera, nous serons en mesure d’augmenter les canaux de communication avec le cerveau, en accédant à davantage de zones cérébrales et à de nouveaux types d’informations neuronales.

Cette technologie a le potentiel de traiter un large éventail de troubles neurologiques, de restaurer les fonctions sensorielles et motrices, et éventuellement d’élargir la façon dont nous interagissons les uns avec les autres, avec le monde et avec nous-mêmes, pouvons-nous lire sur le site de Neuralink.

En août de l’année dernière, Neuralink a présenté un appareil préliminaire de la taille d’une pièce de monnaie qui a été décrit comme le dernier prototype. « C’est comme un Fitbit dans votre crâne avec de minuscules fils », a déclaré Musk à propos de la puce lors d’une démonstration sur un cochon en 2020.

Alors qu’il a déjà suggéré un délai pour Neuralink implantant ses puces chez l’homme, Musk a une histoire de promesses excessives et de livraisons insuffisantes. En 2019, il a déclaré que Neuralink prévoyait de commencer les tests sur l’homme d’ici 2020, puis à nouveau en 2021.

« Nous espérons avoir cela chez nos premiers humains – qui seront des personnes souffrant de lésions médullaires graves comme les tétraplégiques, les tétraplégiques – l’année prochaine, en attendant l’approbation de la FDA », a-t-il déclaré au WSJ.

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Potins

Kim Kardashian rabrouée par les autorités américaines

La vedette de la téléréalité Kim Kardashian s’est fait servir une remontrance par la FDA, l’organisme qui régit la vente de médicaments aux États-Unis.

Hier (11 août), la FDA a pressé par missive la star du feuilleton Keeping Up with the Kardashians de retirer de son compte Instagram un message dans lequel est faisait la promotion d’un médicament appelé Diclegis.

Suivi par plus de 42 millions d’abonnés sur Instagram, Kim Kardashian faisait la promotion du médicament et de ses bienfaits sur les symptômes de début de grossesse qui l’affligeaient. « Mon médecin m’a prescrit #Diclegis. Je me sens beaucoup mieux et encore plus important, des études démontrent qu’il n’y a aucun danger pour le bébé. Je suis très excitée et heureuse avec les résultats », écrivant en substance la célèbre brune.

La FDA reproche à Kim Kardashian de ne pas avoir mentionné tous les risques liés à la prise de ce médicament. 

À la suite de cette remontrance de la FDA, Kim Kardashian a retiré le message de son compte Instagram.

Kim Kardashian fait régulièrement la promotion de produits sur les réseaux sociaux. La vedette de 34 ans, qui attend son deuxième enfant, est souvent rémunérée pour promouvoir ces produits.

Photo : BANG/BIG

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Sport et Santé

Une rencontre au sommet pour la dysfonction sexuelle chez la femme

Hier (27 octobre), la FDA (Food and Drug Administration) a dû répondre de son inaction à propos de la dysfonction sexuelle féminine (DSF), une affection qui touche 1 femme sur 10.

Michelle King Robson, fondatrice de EmpowHER, a souffert de DSF par le passé. Elle était sur place et a ouvertement parlé des symptômes et de l’urgence d’approuver un traitement.

« Cela ruine la vie des femmes », a-t-elle indiqué en introduction. « Les hommes et les familles en sont également victimes lorsque des relations et des mariages sont détruits. »

King Robson a rappelé au conseil qu’elle avait fait les mêmes démarches devant eux en 2010. Désormais, de nombreuses associations féminines ont grossi les rangs pour faire pression afin d’obtenir « l’équité des genres dans le traitement de la santé sexuelle ».

« L’approbation de diverses options de traitement pour la dysfonction sexuelle féminine est déjà en retard depuis longtemps », accuse-t-elle la FDA. « Nous avons le droit au même traitement que les hommes pour améliorer notre santé sexuelle. »

Les chiffres sont là et démontrent à quel point les hommes ont toutes les faveurs. Il existe 26 différents médicaments pour la dysfonction érectile masculine, et aucun pour la femme.

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Sport et Santé

Un médicament contre l’Ebola approuvé par la FDA

Jeudi dernier (16 octobre), Chimerix a reçu l’approbation pour tester les comprimés de brincidofovir (CMX001). Ce médicament a déjà été utilisé pour traiter d’autres virus, mais on ne sait pas encore de quelle façon il réagira en présence de l’Ebola.

« Notre objectif est de nous assurer de l’efficacité et la sécurité de l’antiviral brincidofovir lorsqu’il est utilisé pour traiter le virus Ebola », informe le Dr Garrett Nichols, à la tête du personnel médical de Chimerix.

En entrevue avec le Wall Street Journal, il a ajouté qu’ils souhaitaient regrouper certains groupes de patients atteints en Afrique. « Des patients seront déménagés », afin de mesurer efficacement les effets de l’antiviral.

Jusqu’à présent, le CMX001 a été utile dans les cas de cytomégalovirus (CMV) et de l’adénovirus. Il a été proposé pour la première fois dans le cas de l’Ebola à Thomas Eric Duncan, le patient admis à l’hôpital de Dallas.

Malheureusement, rapporte Science World Report, ce dernier est décédé quelques jours après.

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De plus en plus de consommateurs veulent un étiquetage des OGM

Le New York Times rapporte une montée de la grogne chez les consommateurs avertis en matière d’alimentation, concernant les OGM et l’absence fréquente de toute indication sur les étiquettes des produits qui en contiennent.

Une hausse des demandes et des manifestations contre l’utilisation aveugle des OGM est observable, et il est permis de se demander comment il peut n’y avoir que si peu de règles dans un dossier si important et controversé.

Un sondage du New York Times révélait l’an dernier que 93 % des répondants désiraient un affichage clair des produits génétiquement modifiés, même si seulement la moitié d’entre eux affirment vouloir éviter d’en manger. Comme quoi l’information est la première source d’inquiétude des consommateurs, avant les OGM en soi.

L’État du Vermont, aux États-Unis, est maintenant un chef de file en la matière, devenant ce mois-ci le tout premier État à obliger l’étiquetage clair des produits renfermant des OGM. Le Connecticut et le Maine semblent vouloir aller dans la même direction.

Les producteurs d’OGM et de produits qui en contiennent mènent une guerre juridique à gros prix afin d’éviter de telles lois.

Voilà un débat qui n’est pas près de se terminer, et les consommateurs ont probablement raison de s’inquiéter du laxisme de certains gouvernements en la matière, alors que les effets à long terme des OGM demeurent peu connus et peu étudiés.

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Vaste opération contre la vente de médicaments illégaux en ligne

Une opération internationale visant à frapper les revendeurs de médicaments illégaux sur le web s’est déroulée la semaine dernière (22 mai), rapporte The National Library of Medicine.

Confirmée par la U.S. Food and Drug Administration (FDA), l’opération visait des envois en provenance de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande et de l’Angleterre. Les médicaments étaient tous envoyés en destination des États-Unis.

Des revendeurs chinois, malaisiens, mexicains et indiens seraient également impliqués.

Au total, plus de 19 000 paquets de médicaments illégaux ont été saisis, selon les autorités, explique la FDA dans un rapport.

Les médicaments saisis peuvent varier de l’insuline aux gouttes pour les yeux, en passant par des antidouleurs et des traitements contre la dysfonction érectile.

La FDA estime qu’il s’agit du début d’une vaste campagne. D’autres frappes sont donc à prévoir, alors que les pratiques de vente de médicaments en ligne ne cessent de croître, mettant en péril plusieurs consommateurs.

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La FDA approuve une nouvelle alternative au sucre

La FDA rapporte via son site web l’approbation d’une nouvelle alternative au sucre, soit un édulcorant appelé Advantame.

L’association fédérale américaine de la santé en profite pour rappeler quelques faits concernant ces « faux sucres », utilisés par un grand nombre de consommateurs et craints par plusieurs.

Selon la FDA, il est effectivement bénéfique de troquer les sachets et portions de sucre conventionnel pour quelques édulcorants, faisant ainsi baisser non seulement l’apport quotidien en sucre, mais aussi l’apport calorique chez un individu. De plus, les édulcorants ne font pas grimper les taux de sucre dans le sang, un autre avantage pour la santé.

Il existe cependant bel et bien quelques possibles problèmes découlant de l’utilisation d’édulcorants, comme certaines réactions allergiques. On suggère de consulter un médecin pour connaître son état de santé, et les bienfaits possibles d’ajouter un produit comme l’Advantame ou l’aspartame à son alimentation.

Ces édulcorants, comme la saccarine et le sucralose, doivent être utilisés avec modération, mais ne représenteraient pas nécessairement un risque pour la santé.

Le plus récent édulcorant approuvé par la FDA, l’Advantame, a été testé de façon exhaustive, rassurent les spécialistes. Il peut être utilisé pour les desserts, les confitures et les jus de fruits, notamment.

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Un nouveau test de dépistage du cancer de l’utérus approuvé par la FDA

Une alternative au fameux PAP test vient d’être approuvée par la FDA aux États-Unis, rapporte notamment le New York Times.

Il s’agit d’une manœuvre controversée visant à remplacer un test déjà controversé, comme quoi on ne s’en sort pas dans ce dossier.

Créé par la compagnie Roche, le nouveau test de dépistage serait capable de détecter la présence et l’ADN du VPH, qui mène souvent au cancer de l’utérus, par un simple échantillon prélevé du col de l’utérus d’une patiente.

La FDA croit que les essais et études menés par Roche sont concluants, et approuve donc l’alternative au PAP test, qui utilise pour sa part un bon vieux microscope afin de détecter des anomalies.

Mais comme dans le dossier du PAP test, un regroupement de femmes et de consommateurs s’opposent à l’approbation de la FDA, que l’on juge hâtive et non fondée. Les spécialistes de la FDA semblent toutefois sûrs de leur évaluation, même si les essais sont menés par la même compagnie qui produit le nouveau test.

Une pratique qui serait peut-être à revoir, d’ailleurs, ne serait-ce que pour calmer les doutes d’une population de plus en plus méfiante envers l’industrie pharmaceutique et le système de santé.

Le cancer de l’utérus ferait environ encore 4000 morts annuellement, aux États-Unis seulement, selon l’American Cancer Society.

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Animaux domestiques

Leucémie : Un traitement expérimental pourrait augmenter les chances de survie

The National Library of Medicine rapporte la création d’un nouveau type de traitement contre la leucémie, qui semble faire ses preuves à la suite des premiers essais expérimentaux.

Baptisé l’idelalisib, le traitement sous forme de médicament permettrait d’augmenter considérablement les chances de survie à la maladie, croient des chercheurs de l’Université de Californie.

De plus, le traitement s’effectuerait sans chimiothérapie et causerait donc moins de dommages et de problèmes aux patients qui le subiraient.

« Je crois que si l’idelalisib est approuvé, les patients ont une chance de voir une incroyable extension de leurs chances de survivre en bonne santé », explique par ailleurs David Fruman, professeur à UCLA.

D’autres experts ont déjà qualifié ces résultats de « fantastiques », et on sent un véritable enthousiasme chez des professionnels pourtant largement modérés la plupart du temps.

On attend donc maintenant les conclusions de la FDA, qui doit évaluer le produit et donner son aval au lancement.

Les résultats et analyses concernant l’idelalisib ont été publiés dans le New England Journal of Medicine.

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Levée de boucliers contre les savons antibactériens

C’est une étonnante levée de boucliers que rapportent plusieurs sources, dont Radio-Canada, alors que la FDA américaine s’en prend aux… savons antibactériens.

Selon l’organisation de la santé américaine, il faudra se pencher sur la notion « antibactérienne » mise de l’avant par certaines compagnies sur quelques-uns de leurs produits, car plusieurs questions se posent.

Selon la FDA, rien ne prouve que ces savons préviennent la transmission de bactéries ni qu’ils facilitent un « meilleur nettoyage ». Pire encore, on commence à croire que des éléments contenus dans ces savons, par exemple la triclosane, pourraient être dommageables pour la santé des consommateurs.

On avance la possibilité de voir ces savons antibactériens contribuer à certains troubles de fertilité et du développement, comme la puberté précoce chez les enfants.

L’Union européenne (UE) a par ailleurs déjà interdit les produits comprenant de la triclosane, incluant même les objets comme des ustensiles ou des pots.

La triclosane se trouverait dans les trois quarts des savons retrouvés en magasin, et les compagnies productrices devront maintenant se plier aux demandes de la FDA, et démontrer les capacités et la sécurité de leurs produits et savons antibactériens.