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Les parents en mauvaise santé ont plus d’enfants malades

Il n’est plus seulement question de bien se conduire durant la grossesse pour éviter les risques qu’un enfant naisse malade ou développe une pathologie, rapporte les résultats d’une recherche menée par les experts de l’Université d’Adélaïde.

Les adultes qui désirent avoir des enfants doivent changer, l’un comme l’autre, leurs habitudes de vie au moins quelques mois avant de concevoir un enfant. Autrement, ils peuvent favoriser chez l’enfant le risque de maladies comme le diabète et la maladie cardiovasculaire, des troubles psychologiques, anxieux ou comportementaux, entre autres.

 « L’âge des parents, leur alimentation, leur surpoids, le tabagisme et d’autres facteurs environnementaux » ont une influence, explique Santé Log.

Durant la fécondation, l’ovule et le spermatozoïde donnent à l’embryon un profil génomique qui est influencé par l’âge et les facteurs environnementaux des deux parents. Ainsi, le futur père a aussi son rôle à jouer pour être garant d’une meilleure santé pour sa progéniture.

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Avoir recours à une mère porteuse, est-ce votre prochaine étape?

Au début, cette pratique était peu courante, et le corps médical était réticent à soutenir cette option. Aujourd’hui, avec la quantité de gens qui souffrent de l’infertilité, le rôle de la mère porteuse est l’option ultime pour avoir un enfant biologique. Surtout lorsque la femme n’arrive pas à porter ses grossesses à terme.

Comme l’indique She Knows, il y a 2 types de mère porteuse.

La mère porteuse traditionnelle : Elle est reliée biologiquement à la famille qui souhaite avoir un enfant. Elle est inséminée du sperme du futur père ou d’un donneur. Les hôpitaux et tribunaux ont encore de la difficulté avec cette méthode, à cause de la complexité des droits parentaux.

La mère porteuse de gestation : Elle n’a aucun lien familial et elle se fait inséminer un embryon déjà conçu à partir des ovules et du sperme des futurs parents ou d’autres donneurs.

Le mot d’ordre, dans tous les cas, est de procéder avec des spécialistes. Il existe des agences qui peuvent vous guider, tant vers la bonne mère porteuse que vers toutes les obligations s’y rattachant. Le niveau légal peut devenir très difficile à gérer seul.

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Changement de politique pour éviter les grossesses multiples in vitro

Les frais associés aux traitements de fertilité sont souvent la cause première qui porte les couples à tenter plus d’un embryon à la fois. Cependant, les risques associés à une grossesse multiple incluent la prématurité et d’autres complications qui peuvent être graves.

Ainsi, le Dr Pasquale Patrizio et ses collègues du Département de l’obstétrique, de gynécologie et des sciences de la reproduction de l’École de médecine de Yale ont rencontré les principaux intervenants du processus.

Patrizio a rassemblé les experts en fertilité, les représentants de l’industrie des assurances, les associations professionnelles ainsi que les bioéthiciens. Ensemble, ils ont examiné les causes et conséquences d’une grossesse multiple à la suite d’un traitement de fertilité.

Habituellement, un « cycle complet » coûte en moyenne 10 000 $ pour un traitement in vitro aux États-Unis. Or, ceci comprend une seule insémination.

Patricio a réussi à faire changer les politiques afin qu’un cycle complet comprenne deux inséminations individuelles, et les compagnies d’assurances suivront la cadence pour la couverture des frais.

Détails de l’étude : Fertility & Sterility.

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Les framboises et la fertilité

Une nouvelle recherche rapportée par le Daily Mail (UK) fait état des propriétés bienfaitrices de la framboise en matière de fertilité, notamment chez les hommes.

On avance, du côté des auteurs de l’étude, que la consommation élevée de framboises permet de constater une hausse des capacités reproductrices chez l’homme, et une baisse des risques de fausse couche chez la femme.

Selon les chercheurs du département de l’énergie américain, le phénomène s’expliquerait en partie par les fortes teneurs du petit fruit en antioxydants ainsi qu’en vitamine C.

Juliet Wilson, une nutritionniste spécialisée en fertilité, abonde dans le même sens. « Les framboises procurent des nutriments essentiels qui sont reconnus pour améliorer la fertilité chez l’homme et chez la femme », lance-t-elle.

Une autre étude dévoilait récemment que les hommes âgés de plus de 44 ans possédant les plus hauts taux de vitamine C dans le corps voyaient les dommages causés à leurs capacités de reproduction diminuer de 20 %.

« En plus de leurs vertus santé, les framboises sont donc la collation parfaite pour les couples qui essaient de concevoir! », conclut Juliet Wilson. 

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Trop de produits laitiers pourrait endommager le sperme

Le régime alimentaire d’un homme peut sensiblement faire varier ses capacités reproductives, selon plusieurs études et experts.
 
Mais de façon plus précise, une nouvelle étude annoncée par le site nlm.nih.gov déclare que les produits laitiers et les glucides seraient spécialement mauvais pour le sperme, et donc pour la reproduction en général.
 
Donc, plus un homme absorbe de lait et ses dérivés, plus ses chances de procréer diminuent, conclut l’étude effectuée à San Diego, Californie.
 
Du côté des femmes, on note des phénomènes similaires, alors que deux études sur la fertilité (in vitro) ont démontré que de hausser sa consommation de protéines tout en baissant celle de glucides leur permettrait d’augmenter leurs chances mathématiques de féconder.
 
Même si les liens sont plus qu’évidents aux yeux des chercheurs, l’effet de causalité n’a pas encore été prouvé hors de tout doute.
 
Ces plus récentes recherches ont été présentées à la réunion annuelle de l’American Society for Reproductive Medicine, par J.B. Russell.
 
Les chercheurs affirment par ailleurs que le taux de spermatozoïdes global est en déclin partout sur la planète, un phénomène appelé à grandir au courant du prochain siècle.
 
Il s’agit là d’une déclaration controversée et inquiétante.
 
Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net
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Pourquoi un seul spermatozoïde se rend-il à l’utérus?

« Il s’agit d’une course périlleuse où les corridors sont étroits et où les risques de collision sont nombreux », expliquent des spécialistes en fertilité qui ont tenté de démystifier la raison pour laquelle seul 1 % des 300 millions de spermatozoïdes évacués par l’homme lors d’un rapport sexuel réussissent à atteindre l’utérus, et uniquement quelques dizaines arrivent à l’ovule.

En analysant la trajectoire des divers spermatozoïdes « gagnants », des chercheurs des universités de Warwick et de Birmingham pensent avoir trouvé un moyen d’améliorer les chances de succès lors de traitements de procréation médicale assistée.

Les spermatozoïdes nagent à travers le col, dans l’utérus et le long des trompes de Fallope. L’étude a démontré qu’ils évitent la « voie du milieu » de l’appareil reproducteur féminin et ont plutôt tendance à ramper dans les parois du canal.

Les spermatozoïdes ont de la difficulté à tourner les coins pointus et foncent souvent les uns dans les autres ou s’écrasent dans une paroi.

De plus, il semblerait que la forme du spermatozoïde peut jouer en faveur ou en défaveur d’une course réussie.

En résumé, le spermatozoïde qui survivra dans le petit labyrinthe féminin et arrivera à temps à l’ovule est celui qui est le plus en mesure de négocier avec les voies visqueuses étroites et complexes, selon les résultats parus dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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La médecine chinoise aide à la fertilité

Une équipe de l’Université de Tel-Aviv, en Israël, a comparé des couples ayant recours à l’insémination intra-utérine (IIU) et le taux de réussite de fécondation entre ceux qui reçoivent des soins tels que la phytothérapie chinoise et l’acupuncture et ceux qui n’en reçoivent pas.

En combinant la IIU aux traitements traditionnels asiatiques, 65,5 % du groupe d’essai a été capable de concevoir, par rapport à 39,4 % du groupe témoin qui n’a pas reçu la phytothérapie ou l’acupuncture.

Des séances hebdomadaires d’acupuncture et un régime de plantes médicinales chinoises étaient au programme. Un succès légèrement plus élevé a même été remarqué auprès des femmes plus âgées.

Les possibilités que les plantes médicinales et l’acupuncture puissent affecter l’ovulation et le cycle menstruel, améliorer le flux sanguin vers l’utérus, améliorer la production d’endorphine et induire le calme sont toutes des théories expliquant la raison pour laquelle la médecine chinoise peut être bénéfique pour le taux de fécondité.

Les scientifiques ont dit que ces méthodes naturelles peuvent être utilisées par les femmes qui ont recours à des donneurs de sperme, ou encore si le sperme d’un partenaire a été centrifugé pour que sa motricité s’améliore dans l’utérus.

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Refus d’une fécondation in vitro à des femmes obèses

On apprend dans The Globe and Mail que les femmes obèses pourraient se voir refuser un traitement de fécondation in vitro. Il semble que cette décision serait basée sur plusieurs études ayant fait état de complications médicales pour ces femmes.

Au Centre de fertilité d’Ottawa, par exemple, il s’agirait déjà d’une réalité. Une femme ayant un indice de masse corporelle supérieur à 35 (l’état d’obésité commence à 30) ne peut recevoir ce traitement.

Les discussions vont bon train sur le sujet, et il semble que cela ne deviendrait pas une mesure prise au Québec. Rappelons que depuis un an, les frais des traitements de fécondation in vitro sont remboursés par la province.

Des médecins soutiennent toutefois leur point quant à une telle initiative. Le sujet a par ailleurs été abordé à la rencontre de la Société canadienne de fertilité et d’andrologie à Toronto.

Quant aux détracteurs, ils affirment qu’il s’agit de discrimination. On a donné en exemple le cas de fumeuses, à qui l’on ne refuse pourtant pas le traitement même si leur grossesse est considérée à risque.

Mentionnons finalement que l’Organisation mondiale de la santé a reconnu l’infertilité comme une maladie. Selon l’Association des couples infertiles du Québec, un médecin qui refuserait une fécondation in vitro à une femme obèse en viendrait donc à refuser de la soigner.

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Découverte majeure en fertilité

À la suite de 30 ans de recherche, des chercheurs viennent de présenter une grande découverte dans le domaine de la procréation. Ils ont démontré comment l’ovule et le spermatozoïde pouvaient s’attirer et se joindre.

Cette attraction n’avait pas encore été expliquée, ce qui constituait un blocage pour les couples infertiles. Or, ce lien entre l’ovule et le spermatozoïde serait possible grâce à une simple molécule.

L’ovule deviendrait collant à cause de cette molécule de sucre, d’où sa jonction avec un gamète. Les résultats complets de cette découverte sont présentés dans la revue Science.

Les possibilités qui suivront cette nouvelle explication scientifique sont évidemment nombreuses. Bien sûr, beaucoup d’espoir naît quant aux traitements de l’infertilité et de la fécondité limitée. On pense aussi à d’autres avenues en ce qui a trait à la contraception.

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Données encourageantes sur l’infertilité

On peut lire dans Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire que l’infertilité est un obstacle de moins en moins important pour avoir un enfant. Sur 10 couples infertiles, 7 réussissent à avoir un enfant.

Pour arriver à ce nombre, on a suivi 6 507 couples ayant eu recours à la fécondation in vitro pour la première fois entre 2000 et 2002. Quelques années plus tard, entre 2008 et 2010, les mêmes couples ont répondu à un questionnaire par voie postale.
 
Cette enquête a par ailleurs fait la lumière sur les différentes méthodes vers lesquelles peuvent se tourner les gens qui veulent devenir parents. Parmi les 70 % participants y étant arrivés, on a donc pu remarquer que seuls 41 % l’avaient fait par fécondation in vitro.

D’autre part, chez les autres, 19 % se sont tournés vers l’adoption et 18 % ont finalement eu un enfant par conception naturelle. 11 % ont connu le succès en employant un traitement de procréation.