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Dolce & Gabbana tentent de calmer le jeu

Les designers italiens Stefano Gabbana et Domenico Dolce sont dans la tourmente depuis que le chanteur Elton John a demandé à ses fans de boycotter les produits de cette marque de luxe.

Dans une entrevue accordée à CNN, Stefano Gabbana a tenté de calmer le jeu, mentionnant que les mots choisis n’étaient pas les bons. Le designer essaie donc de passer maintenant un message de tolérance :  « Nous aimons les couples homosexuels. Nous aimons l’adoption homosexuelle. Nous aimons tout le monde. »

Ces mots rassembleurs surviennent quelques jours après que Dolce & Gabbana aient mentionné dans le magazine italien Panorama que selon eux, les bébés nés de la fécondité in vitro étaient des bébés « synthétiques ».

Ces commentaires ont soulevé l’ire du chanteur Elton John, lui-même père de deux enfants né de cette technique de fécondité. La vedette a aussitôt demandé de boycotter les produits Dolce & Gabbana, un mouvement qui prend de l’ampleur.

Photo : BANG/BIG

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Comment soutenir une copine qui entame la fécondation in vitro

En tant que copine, si vous souhaitez être à l’écoute pour celle qui entre dans ce cycle exténuant, vous devez savoir de quoi il s’agit. SheKnows propose de vous renseigner le plus possible.

Sachez d’abord qu’un couple qui procède à la fertilité in vitro a souvent traversé de nombreuses démarches et rencontré plusieurs fois l’échec pour tenter de fonder, sans succès, une famille. Il se peut qu’ils soient tous les deux un peu à fleur de peau.

Il ne faut pas confondre la fécondation in vitro avec l’insémination artificielle. Cette dernière représente l’insertion par le médecin du sperme d’un donneur dans l’utérus. Or, la FIV est plus complexe et onéreuse (environ 15 000 $ par essai).

Les embryons sont fécondés à l’extérieur en combinant du sperme et des ovules, les deux pouvant provenir de donneurs. Seulement 5 % des couples infertiles poursuivent vers cette procédure. Ce n’est que lorsqu’on obtient une fécondation réussie qu’elle est insérée dans l’utérus.

Vous devez donc comprendre que votre amie aura de fréquents rendez-vous, dont certains avec un psychothérapeute et un conseiller financier, fort probablement. Soyez simplement présente et à l’écoute, consciente des difficultés qu’elle traverse.

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Choisir le sexe de son enfant grâce au Dr Daniel Potter

Depuis 1997, le Dr Daniel Potter pratique une méthode qui peut sembler controversée, peu éthique pour certains et même défendue et illégale dans plusieurs pays.

L’homme réputé pour être en mesure de choisir le sexe des bébés tente de faire la promotion de ses services à travers le monde. Il a d’ailleurs expliqué sa façon de faire au Daily Mail.

Top Santé résume : « La sélection du sexe se fait à partir de l’analyse des différents échantillons d’embryons. Si les marqueurs génétiques indiquent qu’il s’agit d’un garçon ou d’une fille, l’embryon qui correspond au souhait du couple est alors implanté dans l’utérus de la future maman. Les embryons restants sont ensuite gelés pour de futures grossesses, jetés ou donnés à d’autres parents, selon les volontés des couples ».

Plusieurs souhaitent acheter des vêtements roses, semblerait-il. En effet, 80 % des patients en moyenne demandent d’avoir une petite fille au Dr Potter, et 20 % espèrent donner le jour à un garçon.

Pour exaucer leur vœu, les futurs parents devront passer deux semaines à la populaire et réputée clinique de fertilité du célèbre médecin à Newport Beach, en Californie, et signer un chèque de près de 15 000 $.

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Choisir une mère porteuse, une pratique qui gagne en popularité

Les experts, selon SheKnows, s’entendent pour dire qu’il y a une croissance de la demande de maternité de substitution. Ils en ont d’ailleurs discuté avec Brandon J. Bankowski, partenaire de l’Oregon Reproductive Medicine.

Selon lui, l’une des causes de l’augmentation des demandes de mères porteuses est due aux couples de même sexe. Cependant, il est loin de se limiter à cette seule raison. Il y a également le taux de réussite qui, au fil des ans, continue à augmenter. Dans leur cas, celui-ci a atteint 80 %.

Il y a deux types de maternité de substitution. Le premier consiste à utiliser les ovules de la femme qui portera l’enfant, et donc, celle-ci aura un « lien maternel » avec votre enfant. Dans la seconde option, elle porte des ovules déjà fécondés, sans apporter son bagage génétique.

Cependant, comme le taux de succès augmente, les grossesses multiples sont aussi au rendez-vous dans le cas d’ovules fécondés, qui sont inséminés en paires. Vous devez en être conscients.

À retenir, selon Santé Canada, aucune mère porteuse ne doit être rémunérée pour entreprendre cette démarche. Évitez donc de vous mettre dans le pétrin en suggérant de rétribuer la personne pour la « convaincre ».

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Grossesse et sida : une possibilité

Concevoir alors qu’on est séropositive? Oui, c’est possible. De nos jours, avec les avancées médicales, les traitements et la procréation médicalement assistée, les chances d’infecter le futur bébé sont infimes.

Une étude de l’INSERM en 2012 a démontré que le taux de transmission maman-bébé était très bas et diminuait encore plus lorsque la mère était prise en charge avant de devenir enceinte.

Si c’est l’homme qui est atteint, il faut que les docteurs isolent une fraction de son sperme qui ne présente pas le virus. Ensuite, ils feront une fécondation in vitro (FIV) ou une insémination intra-utérine.

Si c’est la femme qui est atteinte, une auto-insémination dans l’intimité est tout à fait possible. En début de grossesse, un test pour confirmer la présence du virus sera proposé. Ensuite, la prise en charge sera entreprise. Le but sera de trouver une charge virale indétectable quand le moment sera venu d’accoucher.

Si la femme est traitée à temps et qu’elle a bien suivi les procédures, les risques de transmission passent de 20 % à environ 1 à 2 % seulement. L’accouchement naturel devient aussi possible plutôt que d’opter pour une césarienne.

À l’âge de 2 mois, un test de dépistage sanguin sera mené sur le bébé afin de déterminer la quantité du virus retrouvée dans son sang. Les chances sont donc très bonnes que bébé soit en pleine santé!

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L’asthme est plus répandu chez les bébés conçus artificiellement

L’étude a analysé les données sur près de 19 000 enfants faisant partie de la « cohorte du millénaire », un groupe de bébés nés en Grande-Bretagne entre 2000 et 2002.

Pour l’étude présente, les chercheurs ont spécifiquement ciblé les enfants qui n’avaient pas de jumeau, à l’âge de 5 et de 7 ans. Parmi ce sous-groupe, seulement 100 enfants avaient été conçus par fécondation in vitro (FIV).

Selon les chercheurs, 15 % des enfants participant à l’étude faisaient de l’asthme à l’âge de 5 ans, comparativement à 24 % des enfants nés de la FIV.

La moyenne nationale, a rassuré l’auteure Claire Carson, est toutefois de 20 %, ce qui ne montre pas une variation considérable, selon Medical News Today.

Les raisons pour lesquelles les enfants issus de la FIV risquaient plus d’être asthmatiques n’étaient pas connues des chercheurs. L’étude a toutefois noté plusieurs facteurs externes qui pourraient contribuer à la maladie, allant de l’historique familial à la naissance avant terme, du tabagisme à la présence d’animaux à la maison.

L’étude se poursuit afin d’établir si la proportion d’enfants asthmatiques restera la même lorsque les enfants auront 11 ans. Les résultats ont été publiés dans la revue Human Reproduction.

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La fécondation in vitro cause plus de malformations congénitales

L’étude a été réalisée en Californie, l’endroit aux États-Unis où la FIV est la plus courante. Les chercheurs ont ciblé 4795 enfants nés par FIV en 2006 et 2007 et les ont comparés à un groupe témoin d’enfants conçus naturellement.

Ils ont noté que 3463 enfants nés après FIV étaient atteints de malformations congénitales.

Même en ajustant les statistiques pour mieux refléter différents facteurs externes (par exemple l’âge de la mère, le groupe ethnique et le sexe de l’enfant), les chercheurs ont révélé que 9 % des enfants nés après FIV avaient des malformations, comparativement à 6,6 % des bébés conçus naturellement.

Cette statistique suggère que les bébés conçus par la fécondation in vitro sont 25 % plus susceptibles d’avoir une malformation congénitale, particulièrement aux yeux, au cœur et aux organes génitaux et urinaires.

« Les parents qui envisagent la fécondation in vitro ou d’autres formes de procréation médicalement assistée doivent discuter avec leur médecin des risques associés avant de prendre une décision », a noté la chirurgienne et auteure de l’étude, Lorraine Kelley-Quon, selon Santéblog.

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Qu’est-ce qui pousse les mères qui ont eu recours à la FIV à avorter?

Tous les 15 jours, un bébé qui a été conçu par fécondation in vitro voit sa vie cesser dans le ventre de sa mère, parce qu’on lui diagnostique une possible forme de handicap. Ce sont en fait 123 fœtus qui meurent, selon une étude anglaise.

Il est ressorti que la trisomie 21 est la principale cause des avortements des bébés éprouvette.

Ce sont 31 mères parmi les dénombrées qui choisissent de mettre un terme à leur grossesse pour cette raison.

En raison d’une anomalie fœtale, 19 ont recours à l’avortement, 15 parce qu’elles ont appris que leur petit souffrirait du syndrome d’Edward, et 22 ont préféré ne pas révéler les raisons qui les ont poussées à se faire avorter, même si elles ont investi temps, argent et énergie dans la fécondation in vitro.

C’est d’ailleurs ce que rapprochent les militants pro-vie à ces femmes. Un article du site 7sur7.be relate que ces derniers disent « que certaines mères traitent leur bébé comme des biens de concepteur : elles paient une fortune pour le concevoir, mais ensuite, elles avortent quand elles apprennent qu’il ne sera pas parfait ».

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Des aliments trop gras réduisent les chances de fécondation in vitro

Si vous avez recours à la fécondation in vitro (FIV), réduisez non seulement votre consommation de café et de tabac, mais aussi votre consommation de graisses.
 
Selon les résultats présentés lors du congrès de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, la consommation de graisses est inversement proportionnelle au nombre d’ovocytes matures qui sont prélevés lors d’une FIV.
 
Avoir moins d’ovocytes veut également dire moins d’embryons à choisir pour le transfert.
De plus, la consommation de graisse polyinsaturée est, elle, inversement proportionnelle à la qualité des jeunes embryons. Donc, il faut éviter le plus possible ces deux types de gras.
 
Déjà, les gras trans étaient liés à une infertilité ovulaire et à des risques de fausses couches, alors que les graisses saturées réduisaient la concentration du sperme chez les hommes.
 
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La fécondation in vitro sans danger pour les yeux des enfants

Toutefois, l’âge maternel élevé et l’hypofertilité sont manifestement des facteurs dangereux dans le développement du rétinoblastome, une forme de tumeur de l’oeil courante chez les petits nés par FIV.

En fait, pour les mamans âgées de 33 à 39 ans, le risque de rétinoblastome est multiplié par deux par rapport aux femmes âgées de moins de 25 ans.

Pour les femmes souffrant d’hypofertilité, le risque de rétinoblastome est nettement augmenté lorsque sans traitement de l’infertilité, le délai de conception dépasse les deux ans.

Les deux symptômes les plus fréquents du rétinoblastome sont le strabisme et la leucocorie. De plus, « 60 % des rétinoblastomes sont unilatéraux, et la plupart de ces formes ne sont pas héréditaires. L’âge moyen du diagnostic est 2 ans », peut-on lire dans le rapport de l’étude.

Rappelons cependant que l’âge maternel avancé ne comporte pas que des risques pour le poupon. Les enfants nés de mères âgées de 40 ans et plus sont plus intelligents et en meilleure santé que les petits nés de mères plus jeunes.