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Augmenter le succès des FIV

Les fécondations in vitro pourraient être plus efficaces si l’on augmentait l’expression de certains gènes. Des chercheurs du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center ont présenté leurs résultats sur ce sujet dans Developmental Cell.

Il semble que certains gènes du développement, dont on accroîtrait l’expression dans l’utérus, feraient en sorte que plus de FIV se concluraient en une grossesse.

À l’heure actuelle, le taux de grossesse à la suite d’une fécondation in vitro par injection d’embryon est plutôt faible, soit environ 30 %.

Précisément, ce serait les gènes Msx1 et Msx2 qui assureraient l’utérus d’être en phase réceptive, une condition nécessaire au succès de la FIV.

Expliquons au passage que ces gènes jouent un rôle essentiel dans la formation des organes au cours du développement fœtal.

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Les femmes célibataires choisissent la FIV

On lit sur Mail Online que la proportion de procédures de fécondation in vitro chez les femmes célibataires ne cesse d’augmenter. Elles semblent de plus en plus enclines à choisir la FIV plutôt que de partager leur vie avec un homme pour avoir un enfant.

Ainsi, en 2009, au Royaume-Uni, on a relevé 1615 procédures de FIV avec don de sperme. De celles-ci sont nés 585 bébés. En 2010, le nombre de FIV est passé à 1963. Cela représente une augmentation de 21 % en un an.

Si l’on regroupe tous les types de procédures FIV, on arrive à 57 652 procédures en 2010. Au total, cela représente une hausse de 5,9 %. Cela englobe les FIV par injection intracytoplasmique, soit l’injection d’un spermatozoïde à la fois dans l’ovule.

Dans 74 % des cas, les femmes utilisaient leurs propres ovules. La plupart des procédures ont été administrées à des femmes de 18 à 34 ans, et un peu moins de 4 % des futures mères étaient âgées de 43 à 44 ans.

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Plus de naissances multiples avec la FIV

En une décennie, le nombre de naissances multiples a grandement augmenté parmi les femmes ayant subi une FIV. De 2000 à 2010, les naissances multiples chez ces femmes ont augmenté de 6,8 %, lit-on sur Mail Online.

De plus, en moyenne, une grossesse par FIV sur quatre en est une de jumeaux ou de triplets. La différence est grande, si l’on compare au taux de 1 sur 80 des grossesses conçues naturellement.

On peut y voir un sujet d’inquiétude, car une grossesse impliquant deux embryons ou plus est reliée à un plus grand risque de complications, dont la fausse couche, le faible poids de naissance, la naissance prématurée, voire la paralysie cérébrale ou la mort.

Du côté des parents, on apprend qu’une grossesse multiple est associée à de plus grands risques de séparation. Près du tiers des parents de jumeaux ou de triplets se séparent, alors qu’il s’agit de la réalité du quart de ceux qui ont connu une grossesse unique.

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Une FIV entraîne de sérieux risques

Il semble, selon plusieurs études, qu’une femme aurait 40 % plus de risques d’avoir des complications de grossesse si elle tombe enceinte par fécondation in vitro. Certaines seraient plus fréquentes que d’autres.

Par exemple, comme l’indique The Telegraph, une femme ayant subi une FIV serait plus encline à faire de la prééclampsie. Cette complication de grossesse consiste en une haute pression sanguine, causant des problèmes de santé, voire la mort.

La croissance de l’embryon en laboratoire pourrait faire en sorte que le développement du placenta ne se ferait pas normalement, ce qui engendrerait des complications par la suite.

Une autre possibilité serait que les femmes qui optent pour une FIV sont plus âgées et ont d’autres problèmes de santé sous-jacents. Il semble que si l’on a de la difficulté à tomber enceinte, on serait aussi susceptible d’avoir plus de difficulté à maintenir sa grossesse.

La prééclampsie est finalement une complication de grossesse assez courante. Elle tend à survenir lors d’une première grossesse; elle cause la mort de femmes et surtout de bébés, chaque année.

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Le groupe sanguin influence la fertilité

Les femmes de 30 ans qui sont du groupe sanguin O auraient plus de problèmes de fertilité que les autres, selon Reproduction. Elles connaîtraient aussi moins de succès lors d’une fécondation in vitro et produiraient moins d’ovules.

Une étude menée par la Yale University School of Medicine abonde effectivement en ce sens. On comprend donc que même au sein des femmes en parfaite santé, la fertilité peut être influencée par le sang.

Après avoir suivi 544 femmes, on a remarqué que si la production d’ovules baissait durant la trentaine, le phénomène tendait à survenir plus tôt chez celles étant du groupe sanguin O, soit dans la vingtaine. Cette baisse était deux fois plus fréquente chez ces dernières que chez celles des groupes A et AB.

Mentionnons que l’âge moyen des participantes était de 35 ans et que toutes suivaient un traitement de fertilité.

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Une FIV très tendance

On apprend sur DailyMark qu’une banque de sperme de Londres propose un catalogue en ligne des plus originaux à ses clientes.

Une femme ayant recours à la fécondation in vitro pourra ainsi choisir son donneur de sperme en fonction de son apparence, de son caractère, de ses goûts et de son style.

Toutefois, en regard à la loi du pays, on ne peut pas donner trop de détails sur le donneur. Il s’agit de la première fois que les femmes accèdent à autant de renseignements, et ce, par un simple clic.

Les descriptions en question font un peu penser à celles qui sont lues sur des sites de rencontres. On parcourt les différents profils, puis on arrête son choix sur un donneur.

Rappelons en terminant que depuis plus de cinq ans, en Angleterre, les enfants nés d’une FIV avec donneur sont en droit de retracer leur père biologique. À la surprise de tous, le nombre de donneurs de sperme n’a pas diminué, mais augmenté.

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Grossesse multiple : l’enjeu d’une FIV

Les grossesses multiples demeurent très courantes lorsqu’une femme a recours à la fécondation in vitro (FIV) pour tomber enceinte. Or, quand plus d’un embryon se développe, de grands risques suivent.

Parmi les plus importants, il y la fausse couche, la naissance prématurée et le faible poids de naissance. Les bébés courent aussi plus de risques d’être atteints de paralysie cérébrale et de mourir.

Or, selon DailyMail, un modèle mathématique préviendrait ces grossesses multiples lors d’une FIV. Prévoyant les chances qu’une femme ait plus d’un enfant à la fois, on pourrait se concentrer à l’implantation d’un embryon à la fois pour celles-ci.

Ledit modèle est basé sur des variables, lesquelles ont été établies selon l’analyse de 3 223 embryons implantés sur une période de 3 ans, de 1999 à 2002. Quatre-vingts facteurs ont été identifiés comme jouant un rôle dans le succès de cette méthode de fécondation.

Par la suite, on a testé ce modèle mathématique durant 3 autres années, soit de 2004 à 2007, sur l’implantation de 3 410 embryons. Grâce à cette méthode, on atteindrait désormais un taux de risque d’une grossesse multiple d’à peine 15 %.

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Moins d’embryons en FIV, de meilleurs résultats

Des chercheurs de l’Université de Montréal ont démontré que l’utilisation d’un seul embryon par tentative de grossesse en fécondation in vitro (FIV) serait préférable pour la vie et la survie des bébés.

On peut en effet lire dans le Journal of Pediatrics que selon Keith Barrington, la directrice de cette étude, on préviendrait des dommages au cerveau et aux yeux, de même que le temps passé à l’hôpital pour l’enfant.
 
De plus, on pourrait de cette façon empêcher plus de 40 morts à la naissance par année au Canada. Les jours passés aux soins intensifs par les poupons seraient quant à eux réduits de 42 000 jours par an.
 
En établissant la règle d’un embryon à la fois pour chaque tentative de FIV, on réduirait aussi le nombre de jumeaux et de triplets prématurés, lesquels sont très à risque de complications cardiaques.

Ainsi, les chercheurs demandent à ce que cette règle soit suivie rigoureusement, même si cela réduit les chances pour la femme de tomber enceinte. La méthode actuelle des embryons multiples serait trop dangereuse pour être encore employée chez toutes les femmes.

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Nouvel outil pour la FIV

Parmi les méthodes d’assistance médicale à la procréation (AMP), la fécondation in vitro (FIV) est la plus populaire. Elle n’est pas pour autant sans failles, car seulement le quart des essais aboutit à une grossesse.

On apprend toutefois sur 20 Minutes qu’un nouvel espoir s’offre aux couples devant vivre avec cette réalité. Des chercheurs ont mis au point un appareil, l’EmbryoScope, qui améliorera sûrement les chances de succès d’une FIV.
 
Ce qui rend cet outil unique est qu’il ne nécessite pas que l’on déplace l’embryon. Il est maintenant en test au CHU de Nantes, en France, et ce, jusqu’à l’été. Il faudra évaluer son impact sur les chances de grossesse.

Par la suite, les résultats obtenus devront être comparés avec ceux provenant d’autres hôpitaux qui possèdent aussi l’équipement. Beaucoup d’espoir se trouve pourtant dans l’EmbryoScope, que l’on décrit comme un outil destiné à augmenter les chances de conception d’un bébé à la suite d’une fécondation in vitro.

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Le stress n’affecterait pas la fertilité

Bien souvent, on a nommé le stress comme un obstacle à la fertilité, mais de récentes études ont prouvé que le stress émotionnel n’aurait aucune influence sur la réussite d’une fécondation in vitro ou autres traitements qui ont pour but de concevoir un enfant.

Le British Medical Journal rapporte que des chercheurs ont analysé 14 études regroupant 3 583 femmes. Leur niveau de stress a été mesuré avant qu’elles commencent des traitements dans l’espoir de tomber enceintes.

Les résultats démontrent clairement que le stress n’a aucun effet sur le succès ou l’échec d’une grossesse. Les femmes stressées auraient autant de chances de connaître les joies de la maternité que les femmes plus détendues.

Toutefois, bien que le stress n’influence pas la fertilité, les experts recommandent de ne pas l’ignorer, lors des traitements. Toutes les femmes qui passent par ce processus devraient recevoir du soutien et de la compassion de la part de leur entourage.