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L’utérus en cause pour une FIV réussie

Les femmes qui souhaitent tomber enceintes par fécondation in vitro (FIV) seront heureuses d’apprendre une nouvelle donnée quant au succès de cette procédure.

Des chercheurs américains viennent en effet de statuer qu’un utérus en bonne santé est plus important qu’un ovule en bon état pour qu’un bébé naisse avec un poids normal et à terme.

On a pu tirer cette nouvelle conclusion après avoir passé en revue trois ans de recherches scientifiques sur la fécondation in vitro. Ces dernières regroupaient 300 000 FIV ayant mené à plus de 70 000 naissances.

Les chercheurs ont comparé le poids à la naissance et le temps de gestation chez des bébés nés d’une procédure courante de FIV, d’une fécondation in vitro avec donneur d’ovule et d’une FIV avec mère porteuse.

Ainsi, tandis que la possibilité de réussir une grossesse est liée à la qualité de l’embryon, le poids à la naissance et le temps de gestation seraient dus à l’état de l’utérus.

De plus, l’influence sur le poids et la durée de gestation était plus apparente dans les cas de FIV courante, c’est-à-dire lorsque les patientes portaient un embryon créé avec leur propre ovule. Cette influence baissait quand l’ovule provenait d’un donneur et il baissait encore dans les cas de mère porteuse.

Il semble donc que l’utérus constitue un facteur déterminant. On a aussi pu conclure, dans le cadre de cette étude, que l’infertilité masculine n’influençait pas le poids à la naissance ni le temps de gestation.

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Riez! Vous êtes en FIV!

Selon une surprenante étude venant de l’Israël, une femme aurait plus de chances de mener sa grossesse à terme si elle a été divertie tout de suite après son insémination.

L’auteure de l’étude, Shevach Friedler, a tiré cette conclusion après que son équipe ait suivi 219 femmes.

Celles qui ont été diverties par un clown médical immédiatement après le transfert d’embryon ont eu deux fois plus de chances de tomber enceintes.

Évidemment, d’autres études sont maintenant nécessaires pour soutenir cette nouvelle hypothèse, rappelle madame Friedler.

On attend donc que des recherches similaires soient réalisées pour démontrer clairement le lien entre le rire et le succès de la grossesse à la suite d’une FIV.

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Nouvelle percée dans la FIV

On peut lire dans RelaxNews que des chercheurs australiens ont mis au point au produit facilitant la fécondation in vitro (FIV). 

EmbryGen viendrait en aide aux femmes ayant fait une fausse couche à la suite d’une FIV. Intégré à la culture de fécondation, il augmenterait les chances d’implantation de l’embryon de 40 %.

Avant d’annoncer sa commercialisation, le produit EmbryGen a été testé auprès de 1 319 patientes.

Le secret du succès de ce nouveau produit est qu’il contient une molécule déjà présente dans les tissus de la mère, la GM-CSF. Protégeant l’embryon, elle l’aide à traverser la période d’implantation.

Cette avancée donnera beaucoup d’espoir aux couples ayant déjà fait une tentative de fécondation in vitro s’étant malheureusement soldée par une fausse couche lors du premier trimestre.

L’EmbryGen sera offert sur le marché en mai 2011 en Europe et au Moyen-Orient, puis en 2012 aux États-Unis. On ne mentionne pas de date pour le Canada pour le moment.

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Le lait de soya contre les fausses couches

On peut lire dans MailOnline qu’une grossesse par fécondation in vitro aurait six fois plus de chances de réussite grâce à un nouveau traitement.

Ce dernier, expérimental, est à base de lait de soya. Il réduirait considérablement les risques de fausses couches chez les femmes qui ont recours à la méthode FIV.

De plus, des femmes qui avaient tenté plusieurs fois de tomber enceintes par cette méthode l’ont finalement été en suivant ledit traitement.

En fait, on a relevé 50 % de réussite chez les femmes traitées, contre 9 % chez les autres. Mentionnons au passage que parmi celles qui n’ont eu recours qu’à la FIV, seulement 1 sur 10 est tombée enceinte.

Habituellement administrée aux patients très malades, cette préparation à base de lait de soya riche en gras aurait donc de nouvelles utilités.

Pouvant aussi réduire les risques d’une fausse couche, ce traitement pourrait venir en aide aux couples qui doivent en vivre plusieurs lorsqu’ils se tournent vers la FIV.

Toutefois, ce traitement coûte très cher (des milliers de dollars) et ne convient pas à toutes les patientes.

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De nouvelles données sur la FIV

Des chercheurs de l’Université de Göteborg, en Suède, ont fourni récemment quelques nouveaux chiffres comparant les grossesses in vitro et spontanées, lisons-nous dans Le Figaro.

S’étant étalée de 2002 à 2006, leur étude portait sur 13 544 naissances provenant d’une FIV et 587 009 autres dues à une grossesse spontanée.

On a relevé que les grossesses créées par fécondation in vitro avaient 67 % plus de risques de se solder par une naissance prématurée avant la 28e semaine. Elles étaient aussi plus enclines à se terminer avant la 37e semaine, soit à 15 %.

Le poids des bébés à la naissance semblait aussi affecté par la méthode de FIV. En effet, les nouveau-nés risquaient à 13 % de plus que les autres de peser moins de 2,5 kilogrammes. De plus, ils avaient 25 % plus de risques de peser moins de 1,5 kilogramme.

Or, ces données pourraient basculer durant les prochaines années, puisque la recherche réduit de plus en plus ces risques en établissant des méthodes plus sûres afin de réussir une fécondation in vitro.

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Un embryon à la fois pour la FIV

Une vaste étude portant sur près de 1 400 femmes a été menée par l’Université d’Aberdeen au Royaume-Uni.

Toutes les participantes avaient pris part à l’une des huit expériences de cette recherche. Les résultats détaillés peuvent être lus dans BMJ.

Un seul embryon a été implanté à la moitié des femmes à l’étude, tandis que l’autre groupe a subi une double procédure.

Les chances de mener une grossesse à terme, soit à 37 semaines, étaient plus grandes pour les femmes ayant reçu un seul embryon. En fait, elles seraient de 87 %.

De plus, une implantation simple réduirait le risque d’accoucher d’un bébé de faible poids.

Les chercheurs de l’étude concluent donc que les femmes qui désirent avoir un enfant et qui se tournent vers la FIV devraient être encouragées à ne recevoir qu’un embryon à la fois.

En plus des avantages mentionnés, les problèmes de santé liés aux naissances multiples pourraient aussi être écartés.

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Des complications de grossesse liées à un type de fécondation in vitro

Selon une étude parue dans Obstetrics & Gynecology, les risques de prééclampsie sont de 17 % si les femmes portent un ovule déjà fécondé, contre 5 % si elles utilisent la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

Les complications de grossesse seraient donc plus grandes si l’on implante un ovule déjà fécondé au lieu de féconder un ovule de la patiente. Les risques d’accouchement prématuré seraient aussi plus élevés.

L’apparition de la prééclampsie serait de toute évidence en lien avec la réponse du système immunitaire lors de la reconnaissance de cellules étrangères.

Rappelons que la prééclampsie se reconnaît par une hausse de la pression artérielle et un plus haut taux de protéines dans l’urine.

D’autre part, cette affection de grossesse serait plus fréquente lorsque la future mère porte un embryon ayant été congelé.

Cette étude menée par un hôpital du Rhode Island, aux États-Unis, s’est étalée de 1998 à 2005. Elle a porté sur 77 femmes ayant porté des ovules préalablement fécondés, ensuite comparées à 81 femmes ayant suivi la méthode traditionnelle de fécondation in vitro.

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La dépression causée par la fécondation in vitro

De 20 à 30 % des femmes ayant vécu une fécondation in vitro (FIV) seraient atteintes de dépression.

Des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, en Israël, croient que le stress et les hormones seraient en cause, rapporte le Journal of Fertility and Sterility.

Le Dr Miki Bloch mentionne les tenants et aboutissants de la dépression chez les femmes, suivant un protocole à court et à long terme de fécondité.

Il soutient lui aussi que les hormones de la FIV sont une des causes de la dépression chez ces mères, mais il parle aussi d’autres facteurs possibles.

Selon lui, le stress lié à cette procédure, une dépression déjà existante et l’anxiété auraient plus d’impact sur l’apparition d’une dépression que le traitement d’hormonothérapie.

De plus, la combinaison de tous ces facteurs a une grande influence sur le résultat de la fécondation in vitro. Il faut donc s’en préoccuper.

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Risque de paralysie cérébrale par la méthode in vitro

Ces faits étaient déjà connus des médecins, mais on ne savait toujours pas si la raison était le traitement en lui-même, le plus haut taux de naissances multiples et prématurées ou un mécanisme de l’infertilité sous-jacente.

Une étude publiée dans Human Reproduction nous apprend aujourd’hui que l’infertilité sous-jacente n’est pas en cause.

Menée par le Dr Jin Liang Zhu, épidémiologiste au Centre danois de science épidémiologique à l’Université d’Aarhus, au Danemark, l’étude est la première à associer le temps de réussite d’une grossesse et le risque de paralysie cérébrale.

Ayant pris comme bassin d’observation la cohorte nationale des naissances au Danemark, l’échantillon cible était les enfants nés après zéro à deux mois d’attente.

Les chercheurs ont ensuite comparé ce groupe avec ceux nés après 3 à 5 mois d’attente, 6 à 12, puis 12 mois et plus. Toutes ces grossesses étaient soit par fécondation in vitro, par induction d’ovulation avec ou sans insémination intra-utérine ou des grossesses non planifiées.

Après avoir écarté divers facteurs pouvant influer sur les résultats, les chercheurs ont pu conclure qu’il n’y a pas le lien entre l’infertilité sous-jacente et le risque de paralysie cérébrale.

Ils tiennent également à rappeler que le risque de paralysie cérébrale pour les enfants nés d’une fécondation in vitro est tout de même faible. Des 3 000 bébés de la cohorte nés par cette méthode, seuls 17 (0,57 %) en étaient atteints.

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Un test de FIV triple les chances de tomber enceinte

On peut en effet apprendre sur Mail Online que des chercheurs américains ont mis au point un test fécondation in vitro (FIV) qui aide les femmes à tomber enceintes. Il porte le nom de Chromosome Aneuploidy Screening.

En plus de tripler les chances de grossesse et d’améliorer les traitements de fertilité des femmes de 30 à 40 ans, il réduirait le risque de mettre au monde un enfant trisomique.

Le risque de perdre le bébé, une fois la grossesse entamée, serait aussi réduit. Les femmes étudiées ont donné naissance à un enfant à 88 % après avoir passé le test.

Celui-ci consiste à vérifier les anomalies chromosomiques des embryons; tous ceux en possédant sont alors retirés. Seuls ceux présentant les meilleurs signes sont réimplantés dans l’utérus.

Habituellement, 24 ovules de la femme sont prélevés afin d’être fécondés par le sperme du père. Le médecin choisit ensuite les ovules fécondés les plus viables.

Cette méthode est trop aléatoire, car elle permet encore de réimplanter des embryons non viables ou présentant des anomalies.

Les chercheurs sont si satisfaits des résultats de ce nouveau test qu’ils prévoient l’utiliser de manière courante chez les femmes en procédure de fécondation in vitro d’ici trois ans.