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Méthode de fécondation in vitro controversée en Égypte

Une méthode de fécondation in vitro soulève la controverse en Égypte. En effet, certaines cliniques offrent aux futurs parents le loisir de choisir le sexe de leur futur enfant.
 
Les médecins sélectionnent ainsi les embryons avant la fécondation. Selon Famili, la majorité des familles qui sont prêtes à débourser des milliers de dollars pour cette méthode sont déjà les parents d’une fille et veulent avoir un garçon ou encore, ils veulent s’assurer d’avoir seulement un garçon afin de lui transmettre leur nom et leur patrimoine.
 
90 % des hommes égyptiens préfèreraient ne pas avoir d’enfant plutôt que de n’avoir que des filles, selon une étude.
 
Toutefois, cette pratique est controversée et pourrait se voir interdite sous peu. Les médecins et les religieux disent que c’est aller à l’encontre de la volonté divine et que ce type de sélection est contre l’éthique.
 
Plusieurs députés ont déposé des projets de loi afin de faire interdire cette pratique et de mieux encadrer le processus de fécondation in vitro.
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L’acupuncture ne favorise pas la fécondité

Alors que des milliers de femmes sont prêtes à payer le gros prix pour des traitements d’acupuncture dans l’espoir que cela favorise leurs chances de réaliser leur rêve de devenir mère, une nouvelle étude affirme qu’il n’en est rien.
 
Le Human Fertility rapporte que l’acupuncture et les plantes médicinales chinoises ne renforcent pas les chances d’avoir un enfant par la fécondation in vitro.
 
Les médecins en fertilité vont de plus en plus avertir leurs patientes à cet égard.
 
Depuis des années, on en arrive à des résultats contradictoires et la British Fertility Society a voulu en avoir le cœur net. L’équipe de chercheurs a effectué 14 essais d’acupuncture sur 2 700 femmes et arrive à la conclusion que cela ne favorise en rien la fécondité des femmes.
 
De même, les chercheurs n’ont pu établir de lien avec les plantes médicinales utilisées par certaines dans le but également de concevoir un enfant. Ces méthodes anciennes n’auraient comme seul effet que d’amincir votre portefeuille.
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La fécondation in vitro plus risquée

Selon une étude danoise publiée dans la revue de la Société européenne de reproduction humaine et d’embryologie, les femmes ayant recours à la fécondation in vitro auraient quatre fois plus de risques de donner naissance à un bébé mort-né.
 
L’étude effectuée à l’Université Aarhus au Danemark a analysé 20 166 bébés nés entre 1989 et 2006.
 
82 % avaient été conçus en l’espace d’un an, donc les couples étaient fertiles et 10 % avaient demandé plus d’un an de tentatives, pour des couples dits sous-fertiles. 4 % étaient le résultat de la fécondation in vitro et 4 % de d’autres traitements de fertilité.
 
Après avoir tenu compte des facteurs comme l’âge de la mère, le tabac, l’alcool et le café, on conclut que la fécondation in vitro présente 4 fois plus de risques de bébés mort-nés.
 
Toutefois, une étude suédoise conteste ces résultats, affirmant n’avoir trouvé aucun lien après avoir étudié 31 850 bébés.
 
On veut rassurer les gens en disant que  le risque de bébé mort-né après une fécondation in vitro est toutefois minime.
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Un projet de loi sur la fécondation in vitro

Yves Bolduc, ministre de la Santé et des Services sociaux, a déposé à l’Assemblée nationale du Québec un projet de loi visant à encadrer les activités cliniques et de recherche en matière de procréation assistée.

« Conformément à l’engagement que nous avions formulé, notre gouvernement franchit un pas décisif vers le financement de la fécondation in vitro. En déposant ce projet de loi, nous poursuivons non seulement les travaux concernant l’encadrement du domaine de la procréation assistée, mais démontrons ainsi notre détermination à soutenir les couples qui souhaitent avoir recours à cette pratique pour fonder une famille », a-t-il mentionné.

Pour le moment, le projet de loi intitulé Loi sur les activités cliniques et de recherche en matière de procréation assistée vise à mieux encadrer la pratique en la matière et à protéger la santé des personnes qui ont recours à ces services.

Le volet financement des trois premiers essais de fécondation in vitro et la réglementation limitant le nombre d’embryons pouvant être transférés seront traités incessamment par le gouvernement Charest.

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Un bébé comme vous le voulez

Le New York Daily News nous apprend que le docteur Jeff Steinberg, qui possède des cliniques de fécondation in vitro à New York et à Los Angeles, affirme qu’il pourra offrir aux futurs parents des bébés sur mesure d’ici six mois.

En effet, les gens pourront non seulement choisir le sexe de leur bébé, ce que Steinberg offre depuis longtemps déjà, mais aussi la couleur de ses yeux, de ses cheveux et même de sa peau.

En produisant plusieurs embryons in vitro et en examinant le bagage génétique de chacun d’eux, le Dr Steinberg précise qu’il pourra déterminer celui qui correspond davantage aux demandes des parents et l’implanter dans l’utérus de la future mère.

Toutefois, la méthode n’est pas parfaite. Il semblerait que les résultats soient meilleurs avec les couples ayant un ascendant scandinave, car leur patrimoine génétique est moins dilué.

Plusieurs groupes bioéthiques et religieux, ainsi que des docteurs et des scientifiques, s’opposent déjà à cette future pratique qui utilise des données génétiques à des fins non médicales.

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Une aide supplémentaire aux couples infertiles est exigée

Alors que le taux de natalité au Québec est à son plus bas niveau, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard, est pressé par l’opposition de rembourser en partie les couples infertiles qui font appel à la fécondation in vitro.

Alors qu’il en coûterait 15 millions annuellement pour couvrir dans sa totalité les frais liés à la fécondation in vitro, le critique adéquiste Éric Caire a promis son aide aux couples incapables de concevoir naturellement des enfants :  « On va aider les couples. À quelle hauteur? On verra tout ce qui sera possible de faire, dépendamment des marges de manoeuvre qu’on sera capables de dégager. On va le faire en respectant la capacité de payer des Québécois. »

Le parti de Pauline Marois propose même de défrayer complètement les coûts. Le critique en matière de santé du Parti québécois, Bernard Drainville, a affirmé : « C’est une mesure d’une dizaine de millions. Je pense que le gouvernement devrait être capable de se payer ça pour aider les familles. »

Pour le moment, les couples infertiles n’ont droit qu’à un crédit d’impôt qui leur donne droit à un remboursement de 30 %. Selon Philippe Couillard, ce pourcentage pourrait passer à 50 % lorsqu’un couple en est à sa troisième tentative.