Catégories
Uncategorized

Les aliments favorisant la fertilité

Quand une femme planifie une grossesse, plusieurs éléments doivent être modifiés; tabagisme, consommation d’alcool, certaines activités physiques, etc.…

Selon un billet sur le site français famili.fr, favoriser certains aliments pourrait amplifier vos chances de conception.

Entre autres, les baies, qui sont généralement d’excellentes sources d’antioxydants, sont à ajouter à votre alimentation. En effet, les antioxydants aident à réduire les mauvaises toxines.

Les produits laitiers tels que le fromage blanc et le lait entier sont à prioriser ainsi que le yogourt avec matière grasse. Il serait en effet suggéré que les produits allégés en gras pourraient affecter les ovaires. D’ailleurs, les poissons gras, comme le saumon, aideraient à régulariser l’ovulation.

Grâce à leurs glucides à basse glycémie, les céréales et farines entières sont à privilégier pendant les périodes d’essais. Pour ce qui est des fibres, minéraux et oméga-3, on les retrouve en quantité importante dans les noix et amandes.

On fait aussi le plein en acide folique (vitamine B9). Retrouvé notamment dans les légumes verts à feuilles tels les brocolis et artichauts, ainsi que les pommes, oranges, bananes, melons et kiwis, ce supplément aide à réduire les risques de naissances prématurées et certaines malformations congénitales.

Finalement, les fruits de mer sont considérés comme un super-aliment pour la fertilité, grâce à leur combinaison d’antioxydants, d’oméga-3 et de vitamine B12.

Bon appétit et bonne chance!

Crédit photo : Freedigitalphotos.net 

Catégories
Uncategorized

L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

i une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

Catégories
Uncategorized

Vivre à proximité de sa mère rendrait plus féconde

(Relaxnews) — Une étude britannique, annoncée le 4 février, montre que les femmes qui vivent près de leur mère sont plus susceptibles d’avoir des enfants.

Des chercheurs de l’Université de l’Essex attribuent ce résultat en partie au fait que la proximité géographique de ses proches aide en termes de garde d’enfant, entraînant un effet psychologique sur la mère, qui verrait ainsi sa fécondité progresser, selon The Telegraph.

Autre raison avancée, l’influence de sa propre mère — et la pression qu’elle peut mettre sur sa fille pour qu’elle ait des enfants — est aussi un autre vecteur de motivation.

Les chercheurs ont passé en revue différentes études menées sur près de 2000 femmes britanniques, avec des données sur leur fécondité, leur style de vie, leur santé et leur statut social.

« Nous avons été étonnés de trouver un effet significatif », a noté le chercheur Paul Mathews. « Nous pensions qu’il pouvait peut-être y avoir un lien, mais nous avons été étonnés de voir que ce lien perdurait en contrôlant plusieurs facteurs économiques et sociaux. »

Catégories
Uncategorized

Le pain de blé entier pour augmenter la fécondité

Les jeunes couples qui désirent avoir un enfant devraient adopter un mode de vie plus sain et favoriser certains aliments qui augmentent la fécondité.
 
C’est le cas du pain de blé entier ainsi que des œufs, deux aliments que les hommes en particulier devraient ajouter à leur alimentation.
 
Aussi, MedicMagic mentionne qu’il faudrait prendre en considération les graines de citrouille qui sont riches en zinc, essentiel pour la formation de la couche extérieure du sperme.
 
Sachez que le petit déjeuner demeure le repas le plus important de la journée si vous souhaitez favoriser votre taux de fécondité.
 
La grenade aide également à équilibrer les hormones des femmes. Le fenouil et le céleri sont aussi des aliments de choix.
 
Rappelez-vous que pour maximiser vos chances de concevoir un enfant, une saine alimentation doit aussi être accompagnée d’exercices réguliers.
 
Catégories
Uncategorized

Les oméga-3 favorisent la qualité des spermatozoïdes

Les hommes qui consomment régulièrement du poisson ont plus de chances d’avoir des spermatozoïdes de meilleure qualité.
C’est après avoir constaté que les souris qui manquaient de DHA (oméga-3) étaient stériles que les chercheurs de l’Université de l’Illinois se sont penchés sur ce sujet.
 
En leur donnant des oméga-3, on a observé que les souris retrouvaient leur fécondité.
 
Les spermatozoïdes ont, à leur tête, une membrane appelée acrosome qui est riche en enzymes et qui joue un rôle important dans la fécondité. Pour bien se former, les spermatozoïdes ont en effet besoin de DHA.
 
« Sans DHA, la structure vitale ne se crée pas et les cellules du spermatozoïde ne fonctionnent pas », explique un des auteurs de l’étude, Timothy Abbott.
 
Les poissons comme le saumon et le thon sont riches en oméga-3.
 
En 2011, une étude affirmait également qu’une mauvaise alimentation affectait la qualité du sperme chez l’homme.

Catégories
Uncategorized

La « baguette de fécondité » double les chances d’être enceinte

Cette nouvelle technique, qui fonctionne sur la muqueuse de l’utérus, est prometteuse.

Le taux de grossesse chez les femmes subissant une fécondation in vitro atteint 32,7 % avec ce nouveau traitement, comparativement à 13,7 % sans thérapie.
 
Le taux de naissance est également plus élevé dans le groupe de traitement, 22,4 % comparativement à 9,8 % sans cette technique.
 
Des chercheurs israéliens ont récemment découvert que de légers dommages sur la muqueuse utérine augmentaient la fertilité. Ils ont constaté que 45 femmes ayant subi une biopsie de l’utérus ont presque doublé leur taux de grossesse et de naissance.
 
Une étude américaine a révélé que ce dommage déclenche une réaction de réparation des tissus.
 
Ce nouveau traitement consiste à insérer un long tube de plastique dans l’utérus. Cette baguette fait ensuite une rotation de 360 degrés afin de gratter la muqueuse.
 
Les résultats publiés dans le Journal of Human Reproduction Sciences démontrent que le taux de grossesse est à la hausse avec ce traitement. D’autres essais cliniques utilisant cette technique sont d’ailleurs en cours.
Catégories
Uncategorized

Un test de fécondité à domicile

Les hommes auront maintenant une nouvelle alternative concernant les tests de fécondité.
 
Des chercheurs hollandais ont créé une puce de fécondité permettant aux hommes de faire un spermogramme à domicile sans subir les tests médicaux embarrassants.
 
Ce test va plus loin et est plus précis que ceux qui existent déjà. Il compte avec précision le nombre de spermatozoïdes, en plus de mesurer leur mobilité. Il donne plus de détails à moindre coût.
 
Toutefois, certains médecins s’interrogent sur le fait que de recevoir un diagnostic de stérilité seul à la maison pourrait s’avérer être plus négatif que positif.
 
« Même s’ils sont indéniablement utiles, de tels ensembles soulèvent aussi des questions éthiques : sans le diagnostic professionnel qui les accompagne habituellement, ils peuvent s’avérer plus négatifs que positifs », expliquent les experts dans le magazine New Scientist.
 
Catégories
Uncategorized

Des mangues et des abricots pour des spermatozoïdes en santé

Des chercheurs des universités Western Australia et Monash mentionnent que les hommes qui mangent des mangues et des abricots auront des spermatozoïdes forts et un taux de fécondité plus élevé.
 
Ces deux fruits contiennent de nombreux antioxydants et le sperme contenant des antioxydants a plus de chances de féconder les ovules.
 
De plus, cela garantit l’existence de substances nécessaires au nourrisson.
 
Pour des spermatozoïdes forts, il ne suffit pas de manger des mangues ou des abricots. Les hommes peuvent boire une tasse de thé quotidiennement et manger des fruits ou autres aliments contenants de la vitamine E et des bêta-carotènes. Parmi ces aliments, on retrouve la citrouille, les carottes, les épinards, le persil, les huiles végétales, les avocats et les noix, rappelle l’Ecology Letters.
 
Catégories
Uncategorized

Moins de bébés que prévu en Angleterre

Selon une étude qui s’est déroulée sur plusieurs années, les bébés se font moins nombreux en Angleterre.
 
Entre 1991 et 2007, on a interrogé un échantillon de femmes sur le nombre d’enfants qu’elles désiraient. Selon le Daily Mail, elles ont toutes répondu un plus grand nombre que ce qu’elles ont eu.
 
En moyenne, elles souhaitaient avoir entre 2 et 2,16 enfants, mais dans la réalité, elles ont donné naissance à 0,3 à 04, enfant plutôt.
 
En plus, elles sont devenues mères pour la première fois plus tardivement que prévu. Entre 1991 et 1994, on a demandé aux femmes à quel âge elles croyaient avoir leur premier enfant. Dix ans plus tard, on a vérifié les données.
 
Celles âgées de 22 à 25 ans qui avaient dit qu’elles auraient un enfant dans un délai de 3,9 ans ont plutôt eu leur premier bébé 4,5 années plus tard. Celles de 30 à 33 ans pensaient attendre seulement deux ans, mais elles ont plutôt attendu 3,5 ans avant d’être mères.
Catégories
Uncategorized

Les femmes pourraient enfanter jusqu’à 60 ans

Des chercheurs égyptiens auraient mis au point une technique qui pourrait révolutionner le monde de la maternité
 
Le site spécialisé 7sur7.be rapporte que le professeur Azmy Oussama a présenté les résultats de ses travaux au dernier Congrès mondial sur la fécondité et la stérilité qui s’est tenu à Munich.
 
Cette nouvelle méthode permettrait aux femmes d’avoir un enfant jusqu’à l’âge de 50 et même 60 ans.
 
Jusqu’ici, la technique n’a été testée que sur des animaux. Elle consiste à injecter des cellules souches dans les ovaires, ce qui relancerait la production d’ovules.
 
Par contre, la méthode soulève un débat en ce moment dans le milieu scientifique et médical. Les cellules souches nécessaires aux injections doivent être prélevées sur des embryons qui ont été avortés ou encore sur ceux cultivés en laboratoire. Ceci est loin de faire l’unanimité.