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90% des ovules des femmes ont disparu avant leurs 30 ans

Pas étonnant maintenant de savoir qu’il est plus difficile de devenir mère en vieillissant. Des chercheurs britanniques de l’Université d’Édimbourg affirment que 90 % des ovules d’une femme disparaissent avant que cette dernière atteigne ses 30 ans.

Ils se sont penchés sur les « réserves d’ovules » que chaque femme possède, de sa naissance jusqu’à sa ménopause. On a constaté que lesdites réserves diminuent à un rythme beaucoup plus rapide qu’on ne le croyait.

Ainsi, à 30 ans, une femme ne possède plus que 12 % de ses ovules. À 40 ans, ce taux baisse jusqu’à 3 %.

Plusieurs femmes croient qu’elles deviennent fertiles lorsqu’elles ont un cycle régulier tous les mois. Pourtant, le taux de fertilité est fragile et précaire, surtout lorsqu’on constate à quel point les chances de devenir mère diminuent avec les années.

Il faut aussi noter que toutes les femmes n’ont pas la même égalité à la naissance. Certaines femmes auront une réserve de plus de deux millions d’ovules en venant au monde, alors que d’autres, moins chanceuses, n’auront que 35 000 ovules, réduisant ainsi leurs chances de connaître les joies de la maternité.

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Lien entre la fécondité et le Parkinson

Selon la Dre Rachel Saunders-Pullman, de la faculté de médecine Albert Einstein à New York, plus la ménopause tarde à se pointer, plus l’incidence de la maladie de Parkinson chute.

« Cette recherche laisse penser que plus longtemps une femme est exposée à ses propres hormones sexuelles, plus les cellules cérébrales paraissent être protégées de la maladie de Parkinson », a observé l’auteure principale de cette recherche.

Les femmes ayant été fertiles pendant 39 ans ont 25 % moins de chances d’être touchées par la maladie neurodégénérative que celles dont la fertilité a duré 33 ans.

Il semble que le nombre de grossesses joue aussi dans la balance puisque celles qui ont été enceintes 4 fois et plus voient leur risque de Parkinson augmenter de 20 %.

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Les Québécoises, de plus en plus fécondes

La démographe Chantal Girard, de l’Institut statistique du Québec, nous annonce que les femmes du Québec sont plus fécondes que les autres Canadiennes. En effet, en 2006, le taux de fécondité au Québec a été de 1,62 enfant par femme, comparativement à 1,59 au Canada, ce qui représente une première depuis 50 ans.

« C’est la première fois depuis 1959 que le taux de fécondité au Québec est plus élevé que celui du Canada. Nous sommes encore loin du seuil de renouvellement des générations (qui est de 2,1), mais c’est une bonne nouvelle », a souligné Mme Girard.

Même si les statistiques de 2007 ne sont pas encore publiées, tout porte à croire que le taux de fécondité des Québécoises poursuivra cette lancée en atteignant 1,65 enfant par femme.

Malgré cette bonne nouvelle, on ne sait pas encore si le Québec vit un véritable baby-boom. « Il est encore trop tôt pour affirmer que les Québécoises font plus d’enfants. Il se pourrait que les femmes retardent l’arrivée de leurs enfants », conclut Mme Girard.