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Toujours aucun traitement spécifique contre le syndrome du côlon irritable

Le syndrome du côlon irritable est défini par de multiples symptômes possibles et touche de plus en de gens. Si aucun traitement spécifique et efficace pour l’ensemble des patients n’est encore sur le marché, il existe cependant des pistes de solution, et il subsiste de l’espoir.

Le syndrome du côlon irritable peut prendre la forme de douleurs abdominales (ventre), de constipation et de sentiments de gonflement ou de ballonnement. Il est associé par plusieurs au stress grandissant ressenti par une grande partie de la population.

Éviter le stress s’avère donc la première piste pour calmer le jeu, et les symptômes sont souvent variables et réversibles, rappelle la FDA. Plusieurs pistes de solution sont envisagées pour l’avenir d’un traitement, mais de nombreuses questions demeurent.

« Il y a pas mal de recherches à propos du rôle des féculents dans le déclenchement du syndrome du côlon irritable, plus spécialement celui d’un nutriment appelé polyol. De plus, les médecins et chercheurs examinent de plus près le rôle du régime alimentaire. Bien que plusieurs conditions médicales ont une prédominance masculine ou féminine, on ne comprend pas encore pourquoi les femmes sont plus touchées par le syndrome », explique Andrew Mulberg, de la FDA.

Ce dernier suggère aux patients de consulter fréquemment leur médecin et de tenter de multiples expériences, notamment en réduction du stress et en alimentation, afin d’observer les variations des symptômes.

Les spécialistes ont bon espoir d’en arriver à un consensus et à un traitement du syndrome du côlon irritable dans le futur.

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Les féculents, pas aussi dangereux pour la santé qu’on pourrait le croire

Santé Log rapporte les conclusions issues d’une nouvelle étude commandée et publiée par NutriNet Santé, qui laissent croire que les féculents subissent une mauvaise presse pas toujours raisonnable.

Depuis quelques années, plusieurs célébrités et nutritionnistes sont partis en guerre contre les féculents, que l’on accuse d’être des acteurs principaux dans la prise de poids.

Face à un problème d’obésité grandissant un peu partout dans les pays industrialisés, il est facile de pointer du doigt certains apports alimentaires, alors que la solution réside souvent dans le simple manque d’activité physique.

Les féculents, qui contiennent notamment des glucides et des fibres, peuvent effectivement encourager une certaine prise de poids, mais favorisent également (et surtout) un apport énergétique de qualité.

L’étude constate que la campagne de peur a porté des fruits, et que les citoyens ont fait passer leurs apports en féculents sous la barre recommandée.

On suggère donc de retrouver le plaisir du pain, des pommes de terre, des pâtes et du riz, avec modération et sans culpabilité!

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Oui ou non aux féculents, telle est la question

E-Santé s’attaque au dossier des féculents, qui ne fait pas l’unanimité au sein des experts en nutrition.

Pour certains, il s’agit d’un apport nutritionnel important dans le cadre d’un régime alimentaire équilibré, mais pour d’autres, ils sont carrément à éviter.

Les féculents sont formés d’aliments forts en glucides, comme les produits céréaliers, les légumineuses et les pommes de terre, notamment.

Réputés pour être caloriques, on les déconseille donc souvent aux gens qui souhaitent perdre du poids. Par contre, ils apportent une énergie essentielle au bon fonctionnement du corps, en plus d’un apport en fibres, vitamines et minéraux, très souvent.

Selon le site, donc, on peut et on doit manger des féculents sans trop de culpabilité, mais il faut par contre se méfier de ce qui accompagne ces aliments. Les pâtes, le riz et les pommes de terre sont malheureusement trop souvent accompagnés de sauce et de beurre, par exemple.

Les féculents devraient par ailleurs ne former qu’un quart de votre assiette, pas plus.

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Le secret de la minceur dans les légumes et féculents

e-sante.fr rapporte que les légumes et féculents pourraient détenir les secrets de la minceur, en plus d’un corps en santé.

Les recherches rappellent d’abord la forte teneur en eau des légumes, qui n’apporte non seulement que très peu (pas) de calories, mais crée aussi un phénomène de « coupe-faim ».

Vous aurez donc moins envie de vous gaver de sucreries ou de prendre des collations si vous augmentez vos portions de légumes.

Pour ce qui est des féculents, que l’on retrouve notamment dans le pain, le riz, les pâtes, le maïs, les pommes de terre et certains légumes, ils apportent une belle combinaison de fibres et de glucides à l’organisme. Ce taux permet aussi de bien rassasier, sans un grand apport calorique.

Ceci contrecarre les théories concernant les effets négatifs du pain sur la minceur. On suggère d’en consommer surtout le matin, au lieu des céréales remplies de sucre.

Non seulement ces aliments sont excellents pour la santé, mais ils seraient deux piliers dans la guerre aux kilos, semble-t-il. Les légumes et féculents permettent aussi d’abaisser les risques de plusieurs maladies.

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Le pain blanc augmente les risques de troubles cardiovasculaires

Selon une étude italienne rapportée par les Archives of Internal Medicine, les femmes qui mangent beaucoup de glucides riches en sucre, comme des féculents et du pain blanc, sont plus à risque de développer des troubles cardiovasculaires.
 
La Fondazione IRCCS Instituo Nazionale dei Tumori à Milan a observé les habitudes alimentaires de 15 171 hommes et 32 578 femmes.
 
Selon les réponses obtenues à des questionnaires précis, les chercheurs ont déterminé la quantité de glucides et l’indice glycérique de ces aliments. On conclut que plus l’indice est élevé, plus ces aliments augmentent le niveau de sucre sanguin rapidement.
 
« La consommation de glucides avec un indice glycérique élevé comme les féculents ou le pain blanc, plutôt que la quantité de glucides consommés, paraît agir sur le risque de développer une maladie cardiovasculaire chez les femmes », mentionnent les chercheurs.
 
Le quart des femmes qui mangeaient le plus de glucides avaient deux fois plus de risques de développer une maladie cardiovasculaire, alors que chez les hommes, ce risque n’était pas présent.
 
Ainsi, on note non seulement une augmentation du sucre dans le sang, mais également des graisses néfastes qui abaissent le taux de bon cholestérol, exposant donc les personnes à des risques plus grands de maladies cardiovasculaires.