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Sarah Brightman chantera Andrew Lloyd Webber dans l’espace

Sarah Brightman n’abandonne pas l’idée d’être la première star internationale à chanter dans l’espace, et confirme le projet en acceptant une chanson composée par le célèbre Andrew Lloyd Webber.

Ce dernier, qui s’avère également être l’ex-mari de la chanteuse, aurait composé une chanson spécialement en l’honneur de cette performance spatiale, rapporte BANG Media International.

C’est au cours d’une conférence de presse qui se tenait à Londres mardi dernier (10 mars) que Sarah Brightman a dévoilé les détails de son expédition musicale.

« J’ai travaillé sur quelque chose avec mon ex-mari, Andrew Lloyd Webber, et il a pensé à cette magnifique ligne pour le projet que nous prenons tranquillement en ce moment. Je ne veux pas en promettre trop, car tout ça est très réel en ce moment. J’ai aussi travaillé sur plusieurs aspects, et afin de trouver une chanson qui se marie à l’idée de l’espace et aussi très simple, car chanter sous microgravité est une chose bien différente que de chanter ici sur Terre », explique Sarah Brightman.

La chanteuse s’entraîne depuis le mois de janvier dernier comme astronaute après avoir accepté l’offre de la Fédération spatiale russe qui fera d’elle la première interprète internationale à chanter dans l’espace.

L’expédition de dix jours est prévue pour 2015.

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Sarah Brightman chantera Andrew Lloyd Webber dans l’espace

Sarah Brightman n’abandonne pas l’idée d’être la première star internationale à chanter dans l’espace, et confirme le projet en acceptant une chanson composée par le célèbre Andrew Lloyd Webber.

Ce dernier, qui s’avère également être l’ex-mari de la chanteuse, aurait composé une chanson spécialement en l’honneur de cette performance spatiale, rapporte BANG Media International.

C’est au cours d’une conférence de presse qui se tenait à Londres mardi dernier (10 mars) que Sarah Brightman a dévoilé les détails de son expédition musicale.

« J’ai travaillé sur quelque chose avec mon ex-mari, Andrew Lloyd Webber, et il a pensé à cette magnifique ligne pour le projet que nous prenons tranquillement en ce moment. Je ne veux pas en promettre trop, car tout ça est très réel en ce moment. J’ai aussi travaillé sur plusieurs aspects, et afin de trouver une chanson qui se marie à l’idée de l’espace et aussi très simple, car chanter sous microgravité est une chose bien différente que de chanter ici sur Terre », explique Sarah Brightman.

La chanteuse s’entraîne depuis le mois de janvier dernier comme astronaute après avoir accepté l’offre de la Fédération spatiale russe qui fera d’elle la première interprète internationale à chanter dans l’espace.

L’expédition de dix jours est prévue pour 2015.

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De plus en plus de médecins choisissent le privé

Ce n’est pas qu’une impression, semble-t-il, et il ne s’agit pas d’un phénomène réservé aux patients et aux usagers du système de santé québécois : les médecins aussi choisissent de plus en plus le privé au Québec.

Voilà le constat rapporté par Radio-Canada, qui propose des statistiques en la matière. Le spécialiste Louis Demers et le nouveau président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, le Dr Louis Godin, étaient d’ailleurs de passage à la première chaîne pour discuter du dossier.

On apprend que la tendance des médecins vers le privé est en constante progression depuis quelques années, soit depuis 2007, et que rien ne semble indiquer une baisse à venir.

Alors qu’en 2007, le nombre de médecins qui effectuaient leur pratique au privé était de 65, ils sont maintenant 201 en 2014.

L’environnement de travail des médecins et les conditions parallèles, ainsi que la lourdeur du système, seraient au nombre des raisons qui expliquent le phénomène, selon les invités de Bruno Savard.

Un constat qui peut en alarmer certains, mais qui démontre une véritable tendance que l’on ne pourra plus continuer d’ignorer longtemps au Québec.

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Une clinique infirmière pour désengorger le système de santé

Un nouveau projet soumis par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ) semble être une bonne idée, mais n’obtient pas tout l’enthousiasme escompté, selon le 24H Montréal.

La FIQ propose un nouveau concept de clinique composée d’infirmières certifiées, qui pourraient recevoir des patients qui désirent une consultation ou un suivi pour des problèmes de santé mineurs.

Aucun médecin sur place donc, mais la possibilité de parler avec un ou une professionnel(lle) de la santé sans pour autant attendre des heures ou engorger davantage les urgences et cabinets de médecins du Québec.

Plusieurs trouvent l’idée excellente, comme on pourrait le présumer. C’est le cas du directeur général du Regroupement provincial des comités des usagers, Pierre Blain : « C’est une excellente idée, ça va dans le sens de la simplification de l’accès aux soins pour la population, mais il faut voir comment on pourrait répartir les tâches des professionnels. On n’a pas nécessairement besoin de voir un médecin lorsqu’on a des problèmes de santé mineurs ».

Paul G. Brunet, président du Conseil pour la protection des malades, abonde dans le même sens en déclarant : « Je trouve le projet très intéressant. Si ça peut permettre d’améliorer le flux du réseau de la santé dans le contexte actuel, qu’on le fasse. Ça se fait en Ontario, pourquoi est-ce que ça ne pourra pas se faire ici ? »

Mais la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) ne voit pas la chose du même œil et croit plutôt qu’il faut maximiser les efforts de collaboration entre les professionnels de la santé, pourtant déjà pour la plupart surutilisés.

L’idée risque d’être débattue encore un bon moment, mais on peut se demander ce que la FMOQ peut reprocher à de telles idées proactives, alors que le Québec vit des heures graves en matière de santé et d’accès aux soins.

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La solitude favoriserait les troubles cardiovasculaires

Le fait d’être seul dans la vie n’est pas uniquement une triste réalité pour bien des gens, mais s’avèrerait également un important facteur de risque pour le cœur, selon les informations rapportées par Top Santé.

C’est la Fédération française de cardiologie qui s’est penchée sur le phénomène, et affirme que la solitude provoque une hausse des risques de maladie cardiovasculaire par deux fois.

Deux fois plus de chances, donc, pour une personne qui vit dans la solitude d’être victime d’un AVC ou d’un trouble cardiaque, mais il y a plus. Selon les chercheurs de la Fédération, la solitude gonfle aussi les statistiques d’obésité, de tabagisme, de stress, et d’hypertension. Ces deux derniers facteurs sont également des causes possibles de troubles cardiovasculaires.

Les gens seuls auraient aussi tendance à se nourrir moins sainement, ce qui ajoute à ce cocktail de risques pour le cœur.

« La prévention cardiaque est très centrée sur la lutte contre l’obésité, le tabac, le cholestérol. En revanche, peu de médecins interrogent leurs patients sur la qualité de leurs interactions sociales, et même s’ils le faisaient, ils ne pourraient pas les prescrire sur ordonnance. Faire du bien à un proche en l’appelant, échanger un simple sourire, exprimer sa reconnaissance à son entourage sont des moyens simples de rompre avec l’isolement. Donner également de son temps peut avoir un impact certain sur la santé mentale, sur l’humeur, et donc préserver le coeur en bonne santé », explique avec justesse le président de la Fédération, M. Claude Le Feuvre.

Une « prescription » fort importante, si l’on considère d’autant plus que les statistiques de solitude grimpent en flèche chez les aînés.

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Des médecins bientôt pharmaciens ?

Les médecins québécois veulent que le gouvernement leur permette de vendre eux-mêmes les médicaments qu’ils prescrivent, rapporte notamment Huffington Post.

C’est via la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) que la demande sera officiellement déposée.

Le président de la section Nord-Ouest du Québec de l’association, M. Jean-Yves Boutet, indique qu’il s’agit d’une réponse concrète au dépôt de la loi 41, qui permet aux pharmaciens de prescrire eux-mêmes certains types de médicaments.

« Il faut être prudent, et la Fédération a voulu faire du chemin là-dessus en disant : “Écoutez, si on modifie la loi médicale, on va modifier la loi des pharmaciens” », lance M. Boutet.

« Selon moi, il y a assez de pharmacies pour répondre à la demande des patients », ajoute Sébastien Côté, pharmacien.

D’un autre côté, certains spécialistes soulignent qu’il s’agit d’une belle mesure proactive (la loi 41) qui pourrait venir en aide à plusieurs personnes sans médecin de famille, une réalité de plus en plus frappante au Québec.

La FMOQ réplique que le droit de l’un devrait alors s’appliquer à l’autre.

Un dossier chaud à suivre.