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Une femme en travail durant un concert d’Elton John

Le chanteur a révélé qu’une femme en travail a dû quitter prématurément son spectacle, car elle allait accoucher.

La vedette de 72 ans, actuellement en tournée en Australie, a expliqué que lors d’un spectacle présenté plus tôt cette semaine à Coffs Harbour, les ambulanciers ont dû intervenir pour amener d’urgence une femme à l’hôpital où elle a donné naissance à un bébé.

Ironiquement, Elton John interprétait à ce moment la chanson «Tiny Dancer» (minuscule danseur).

« Ils ont été transportés d’urgence à l’hôpital et ils ont eu un beau garçon. C’est ce que nous faisons aux gens », a blagué le chanteur. « Si vous êtes enceinte ce soir, attention », a ajouté l’Anglais.

Selon le Daily Mercury, le bébé est né au Coffs Harbour Hospital, situé à quelques minutes du C.ex Coffs International Stadium où Elton John présentait son concert.

Elton John présente encore quatre concerts en Australie d’ici le 7 mars. 

On ne sait pas si la nouvelle maman aura l’occasion de revoir le concert qu’elle a dû quitter prématurément. Elton John présente en ce moment la tournée Farewell Tour, sa tournée d’adieu.

Photo : Cover Images

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Découverte d’un interrupteur capable de déclencher l’accouchement

La découverte d’importance a été possible grâce à la collaboration entre les universités de Melbourne et de Monash, ainsi que le Royal Women’s Hospital et le Hunter Medical Research Institute.

Après l’analyse de 70 biopsies utérines provenant de femmes enceintes, les chercheurs ont découvert la présence d’un canal ionique dans le muscle de l’utérus. Celui-ci envoie des signaux électriques qui commandent les contractions de l’utérus.

Or, cette « chaîne électrique » ne fonctionne pas adéquatement chez les femmes en surpoids, ce qui entraîne des taux de césarienne plus élevés.

Helena Parkington explique qu’il s’agit d’une percée significative. « C’est qu’en comprenant quel est le responsable du problème de dysfonctionnement de l’accouchement chez la femme en surpoids, nous sommes désormais en mesure de développer un traitement sécuritaire, efficace et spécifique pour corriger le problème. »

Le fameux « interrupteur » se désactive lorsque le corps nécessite des contractions, mentionne medicalxpress. Chez la femme en surpoids, les éléments chimiques ne sont pas présents en quantité suffisante.

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Les femmes enceintes plus sensibles aux effets bienfaisants de la musique

Des chercheurs du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences à Leipzig, en Allemagne, affirment que la musique peut réduire la pression sanguine, le rythme cardiaque, la respiration et même la température du corps.

En faisant écouter de la musique à 30 participantes, le Dr Tom Fritz et son équipe ont fait jouer des séquences musicales de 30 secondes à chaque femme. Par la suite, ils faisaient jouer les mêmes passages avec des notes discordantes ou en modifiant la mélodie pour qu’elle soit moins plaisante à écouter.

Les femmes du groupe qui étaient enceintes réagissaient plus vivement physiquement aux altérations musicales (surtout au niveau de la pression sanguine). Ceci suggère, selon Medical News Today, que le fœtus est aussi plus sensible aux variations musicales.

« Les résultats de notre étude suggèrent que la musique représente un stimulus spécial pour la femme enceinte », a déclaré Dr Fritz.

Ainsi, pendant leur grossesse, les femmes auraient tout avantage à écouter régulièrement de la musique qu’elles adorent.

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Comment réduire efficacement les risques de fausse couche

Top Santé rapporte les résultats d’une recherche danoise ayant analysé un échantillon de plus de 91 000 femmes enceintes. La récolte des données s’est faite sur une période de 6 ans, jusqu’en 2002.

À la lumière de la compilation des informations, ils ont déterminé les mesures à prendre pour réduire les risques de perdre son enfant pendant la grossesse.

Sachez avant toute chose que le poids représente un facteur d’importance. Un surplus, comme un poids insuffisant, peut déclencher une fausse couche.

D’autre part, l’alcool serait à proscrire, même si d’autres études affirment qu’il est sans danger si pris avec modération.

Mais surtout, mesdames, évitez de soulever de grosses charges. Ne dépassez pas 20 kg (44 livres).

Pour celles qui ont plus de 30 ans, soyez d’autant plus prudentes, puisque les risques de fausse couche augmentent considérablement après la trentaine, rapporte la principale responsable de la recherche, Anne-Marie Nybo Andersen.

Les résultats ont été publiés dans la revue The International Journal of Obstetrics and Gynaecology.

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Répercussions sur l’enfant lorsque la femme enceinte est dépressive

Rebecca Pearson, responsable de l’étude, explique que ce n’est pas uniquement la dépression post-partum qui revêt une importance au niveau des répercussions chez l’enfant. Les femmes devraient plutôt être traitées pendant la grossesse, et non après.

« Il est important que des services thérapeutiques soient à la disposition des femmes enceintes » Pearson soulève également le débat en regard de la prise d’antidépresseurs pendant la grossesse.

La recherche s’est concentrée sur des femmes ayant donné naissance en 1991 et 1992 au Royaume-Uni. Un groupe de 4500 enfants a été suivi. Pendant les 16 à 17 années subséquentes, les familles ont répondu à plusieurs questionnaires sur les comportements des enfants.

Les résultats démontrent que les adolescents de mères dépressives pendant la grossesse étaient 47 % plus enclins à la dépression.

Selon Laura Scaramella, spécialiste en dépression maternelle, « la dépression post-partum semble avoir une répercussion négative sur le développement de l’enfant, puisqu’elle inhibe la réponse de la mère envers les besoins de son bébé ».

Science World Report indique que la recherche a été publiée dans le JAMA Psychiatry.

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Pas de lien entre le mercure et l’autisme

Une étude réalisée par le Centre médical de l’Université de Rochester (URMC) et publiée dans l’Epidemiology Journal élimine les faibles expositions au mercure comme cause potentielle à l’autisme.

La recherche, s’étendant sur une période de 30 ans sur des résidentes des îles Seychelles, démontre qu’il n’y a pas d’association possible. De futures mamans ont consommé 12 repas de poisson par semaine durant leur grossesse pour les besoins de cette étude.

Depuis de nombreuses années, le débat entre les futures mamans et les chercheurs sur la consommation de poisson font rage. Les poissons peuvent fournir des nutriments, vitamines, protéines et oméga-3 au bébé. Cependant, plusieurs croient que ces mêmes poissons peuvent engendrer des problèmes neurologiques sérieux au bébé. C’est d’ailleurs pourquoi plusieurs organismes recommandent une consommation limitée.

Le mercure, un puissant neurotoxique, est plus ou moins présent dans la nature. On en retrouve parfois dans la chair des poissons. Cette nouvelle étude démontre cependant que la faible consommation de mercure par les femmes enceintes durant leur grossesse ne serait donc pas l’une des causes de l’autisme.

Malgré ces résultats encourageants, les chercheurs croient que la modération dans la consommation des poissons reste sage malgré tout, rapporte Science Daily.

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L’insomnie de maman affecte bébé

Une étude réalisée par le département de médecine de l’Université de Pittsburgh aux États-Unis et publiée dans le Psychosomatic Medecine Journal démontre l’importance pour les femmes enceintes de bien dormir durant leur grossesse.

Parmi les répercussions les plus couramment observées à la naissance chez les bébés ayant une maman insomniaque, les chercheurs ont observé un plus faible poids à la naissance, mais aussi diverses complications au système immunitaire.

Selon Science Daily, l’étude démontre aussi que ces problèmes sont amplifiés lorsque la mère souffre en plus de symptômes de dépression.

Le manque de sommeil accélèrerait la production de cytokines, des molécules qui interagissent avec les cellules. Même si ces molécules sont présentes habituellement, une trop grande production entraînerait des attaques par les cytokines de cellules saines. Il en résulterait chez les femmes enceintes une mauvaise circulation sanguine du placenta, ce qui perturberait le développement du bébé.

L’étude réalisée auprès de 170 futures mamans démontre que les troubles du sommeil ont plus d’importance lors des premières semaines de la grossesse. En effet, après 30 semaines, les différences de production de cytokines sont négligeables, puisque naturellement à cette période de la grossesse, le niveau de cytokines augmente chez les femmes enceintes.

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Faire de l’exercice pendant sa grossesse limiterait le surpoids du foetus

Une étude espagnole souligne les bienfaits de l’exercice physique régulier pendant la grossesse. Il permettrait de réduire de moitié le syndrome de macrosomie fœtale, c’est-à-dire lorsque le bébé pèse plus de 4 kg à la naissance.

Les chercheurs ont noté que faire de l’exercice trois fois par semaine pendant le deuxième et le troisième trimestres de grossesse réduisait les risques de surpoids du nouveau-né ainsi que le recours à la naissance par césarienne.

Ces résultats proviennent d’une étude menée par Rubén Barakat de l’Université polytechnique de Madrid, Alejandro Lucía, de l’Université européenne de Madrid, et Jonatan Ruiz, de l’Université de Grenade. Ils ont mis en place des programmes d’entraînement physique avec 510 femmes enceintes sédentaires, donc qui faisaient moins de 20 minutes de sport par semaine.

Les participantes ont suivi un programme d’entraînement de 55 minutes comprenant de l’aérobie, de la musculation et des étirements, trois fois par semaine, entre les semaines 10, 12, 38 et 39 de grossesse.

Les résultats ont montré que même si le sport ne réduisait pas le risque de diabète gestationnel, il limitait le risque de macrosomie (-58 %) et de naissance par césarienne (-34 %).

Les résultats de cette étude sont parus cette semaine dans le British Journal of Sports Medicine.

À noter que les femmes enceintes désireuses de se lancer dans un programme sportif doivent absolument consulter leur médecin au préalable. La Mayo Clinic américaine recommande à la plupart des futures mamans au moins 30 minutes d’exercice modéré par jour, la marche étant une très bonne manière de débuter. Autres sports recommandés : la natation, la gymnastique douce, et le vélo stationnaire.

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Découvrez la vraie façon de prédire le sexe du bébé

Dès l’annonce d’une grossesse, c’est une pluie de prédictions qui tombe sur la future maman. La croyance populaire veut qu’un ventre haut et rond annonce un garçon. Pour une fille, c’est plutôt un ventre bas et qui s’étend sur les côtés.

Mais dans le Mail Online, on peut lire les résultats surprenants d’une nouvelle recherche. Dans son nouveau livre, la journaliste scientifique Jena Pincott se sert des plus récentes observations médicales pour répondre à ce mystère entourant la grossesse.

Selon Pincott, ce serait la poitrine de la future maman qui en dirait plus long sur le sexe du bébé à naître.

Comment différencier? La croissance d’un foetus mâle produit plus de testostérone et exige plus d’énergie, surtout qu’il sera plus gros. Le résultat; la croissance mammaire serait limitée. Tandis qu’avec le fœtus femelle, moins d’énergie est requise, ce qui n’affecte pas la croissance mammaire.

D’ailleurs, il a été rapporté que les femmes portant une fille observent une croissance de leurs seins d’une moyenne de 8 cm, contre 6.3 cm pour celles qui attendent un garçon.

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Obésité et surpoids ne font pas bon ménage avec la maternité

(AFP) – L’obésité et le surpoids qui touchent un nombre croissant de femmes en âge de procréer ne font pas bon ménage avec le désir d’avoir un enfant et font courir des risques aux futures mères comme à leurs bébés, soulignent des spécialistes.

Plus de complications pendant la grossesse (notamment hypertension et diabète) et au moment de l’accouchement (davantage de césariennes et d’hémorragies postpartum) pour les femmes, risque accru de fausses couches, de morts in utero, de prématurité, de malformations congénitales (neurologiques et cardiaques) chez les enfants, la liste des conséquences négatives de l’obésité n’a cessé de s’allonger ces dernières années.

« Il y a de vrais risques pour la femme et l’enfant qui ne sont pas suffisamment connus des futures mères et des médecins », souligne la Dre Joëlle Belaïsch Allart, spécialiste de l’infertilité et vice-présidente du Collège national des gynécologues et obstétriciens français, qui tient ses 36es Journées à Paris.

Elle ajoute que les risques débutent dès le surpoids et augmentent ensuite parallèlement au poids, faisant de toute femme obèse une candidate à une « grossesse à risque ».

L’obésité de la mère multiplie également par deux ou trois les risques d’obésité chez son enfant entre 2 et 4 ans.

Peu fréquente autrefois, l’obésité de la femme enceinte est en passe de devenir un problème de santé publique, avec un taux d’obésité et de surpoids atteignant désormais 32 % chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (dont 11 % d’obèses) et 37 % chez les femmes de 35 à 44 ans (dont 16 % d’obèses), selon la dernière enquête nationale sur l’obésité ObEpi 2012.

Perdre du poids avant la grossesse

Au-delà des risques encourus, les femmes obèses sont plus fréquemment confrontées à l’infertilité, un phénomène également lié à l’augmentation de l’âge maternel.

Les troubles de l’ovulation sont ainsi nettement plus fréquents tandis que les traitements de stimulation ovarienne sont plus longs et moins efficaces que chez les autres femmes.

« La seule solution pour toutes ces femmes est de perdre du poids avant la grossesse », souligne le Pr Pierre Mares, professeur de gynécologie obstétrique au CHU de Nîmes, qui préconise une prise en charge systématique avant la grossesse, avec l’aide d’équipes pluridisciplinaires.

Mais l’obésité masculine a également sa part de responsabilité dans l’infertilité, en raison d’un risque accru d’anomalie dans leur sperme et d’une baisse de la qualité de celui-ci.