Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, les femmes optimistes ont moins de risque de développer des maladies cardiovasculaires que celles qui sont déprimées. Elles sont également moins nombreuses à mourir prématurément que celles au tempérament hostile et cynique.
Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs américains ont suivi 97 252 femmes postménopausées, âgées de 50 à 79 ans, sur une période de huit ans.
Au début de l’étude, les participantes ont répondu à un questionnaire afin de mesurer leur niveau d’optimisme. Aucune n’avait de maladies cardiovasculaires.
Après des suivis annuels au cours des huit années, les femmes optimistes étaient 9 % moins nombreuses à avoir développé des maladies cardiovasculaires et 14 % moins nombreuses à avoir connu une mort prématurée.