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Le cerveau des hommes modifié par le rôle maternel

Pour la femme, comme l’indique Science World Report, les étapes de la grossesse, de l’accouchement et de la lactation représentent à eux seuls les détonateurs relatifs à la protection pour la survie de leur enfant.

« Les pères ont les mêmes capacités, mais ils ont besoin d’apporter des soins quotidiens au bébé pour déclencher ce réseau maternel interne », explique Ruth Feldman, chercheuse principale d’une recherche sur le sujet à l’Université Gonda Brain Sciences Center à Bar-Ilan en Israël.

Feldman rapporte que le cerveau envoie des signaux neurologiques différents en réponse aux émotions selon le sexe. L’étude a été menée auprès de 89 parents d’un premier enfant.

Chez la femme, les signaux tendaient vers l’amygdale, alors que chez l’homme, ils se situaient au niveau du sillon temporaire supérieur, région du cerveau responsable des tâches logiques et des interactions sociales.

« Plus les pères participent activement aux soins de leur enfant, plus le réseau neurologique du père activera la partie maternelle de son cerveau. »

Les informations ont été publiées dans la revue PNAS.

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Le cancer de la peau gagne encore du terrain au Canada

Il semble que le cancer de la peau gagne toujours du terrain au Canada, rapporte Le Devoir, et se place maintenant à égalité au palmarès peu enviable des cancers les plus fréquents diagnostiqués sur notre territoire.

Au Québec seulement, on estime à 30 000 nouveaux cas à prévoir au cours de l’année 2014. Le plus inquiétant, et peut-être étonnant, est qu’il existe des méthodes de prévention et des causes connues pour ce type de cancer, à commencer par les rayons UV.

« Malheureusement, la mode du bronzage est encore présente, et les gens ont un peu perdu les consignes de sécurité. Ils s’exposent plus qu’avant et se protègent moins qu’il y a 20 ans. On voit qu’il y a encore de l’éducation à faire. Les jeunes bébés, les enfants, ça, les parents ont compris. C’est bien intégré dans les moeurs. Mais dès que l’adolescence arrive, les consignes de sécurité sont complètement mises de côté », explique le porte-parole de la Société canadienne du cancer (SCC), André Beaulieu.

Un retour en arrière qui expliquerait en partie cette hausse statistique des cas de cancer de la peau, selon la SCC, qui y va d’une vaste campagne de sensibilisation à l’aube de la saison estivale.

Les données et informations concernant le cancer de peau sont disponibles sur le site officiel de la SCC

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Demi Lovato estime que le sex-appeal passe par la confiance personnelle

Demi Lovato en a fait du chemin malgré son jeune âge, elle qui s’est retrouvée face à ses démons à la suite du tourbillon médiatique devenu son quotidien.

Après quelques passages en thérapie pour des troubles alimentaires, notamment, la jeune star devient progressivement un modèle pour les autres jeunes femmes en proie au doute et aux dépendances.

Déjà de retour en force, Lovato lance un message fort, estimant que le sex-appeal passe par la confiance personnelle, rapporte ELLE Canada.

« Pour moi, le sex-appeal est provoqué par le fait d’être confiant et confortable dans sa propre peau », lance une Demi Lovato convaincue.

Ensuite questionnée sur son type masculin, l’interprète de Heart Attack y va d’un autre bon message. « Pour avoir mon attention, un gars doit être franc, honnête, vrai, être capable de me supporter et de me faire rire », admettant constamment travailler sur elle-même pour tenter de s’améliorer.

De bien belles paroles pour une jeune femme d’à peine 21 ans, pop star de surcroît, alors qu’un grand nombre de ses homologues n’envoient pas nécessairement à la jeunesse un message très sain.

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Quand le lieu de travail devient moins stressant que la maison

Est-ce que votre lieu de travail est devenu votre endroit de prédilection et votre sanctuaire, au détriment de la maison devenue trop stressante? Voilà la question posée par le New York Times, qui rapporte une nouvelle étude intéressante en la matière.

Le quotidien propose les résultats d’une étude, effectuée par des chercheurs de l’Université Penn State, qui analysait les taux de cortisol de 122 travailleurs durant leurs heures de travail, puis durant le week-end.

Les chercheurs ont été étonnés de constater que les niveaux de stress des sujets, évalués à l’aide des taux de cortisol, étaient souvent moins élevés au travail qu’à la maison.

Ces résultats intéressants tendent à démontrer que le travail demeure un exutoire de choix contre les tracas et le stress de la vie familiale et quotidienne.

« Le fait que les niveaux de stress des gens descendent lorsqu’ils sont au travail ne signifie pas pour autant qu’ils n’aiment pas leur maison ou leurs enfants. Je crois que ça suggère plutôt qu’il y a quelque chose de bon pour vous dans le travail », croit la professeure Sarah Damaske, auteure de l’étude.

De plus, les femmes semblent particulièrement moins stressées au travail qu’au domicile que les hommes, un autre indicateur des difficultés à conjuguer la vie familiale, amoureuse et professionnelle.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science & Medicine.

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Maxim couronne Candice Swanepoel au sommet de son Top 100

La mannequin Candice Swanepoel est la plus sexy d’entre toutes, selon le magazine Maxim, qui dévoile son nouveau Top 100 des femmes les plus enviables et désirables, un palmarès devenu un classique du genre depuis plusieurs années.

Candice Swanepoel coiffe au poteau plusieurs autres stars, souvent plus connues et certainement non moins jolies, mais la mannequin semble cadrer parfaitement dans les plans du magazine masculin, rapporte E!.

« Candice Swanepoel est la personnification idéale de la nouvelle marque Maxim : frappante, sophistiquée, élégante. Ce n’est pas que sa beauté sans faille et sa grâce sans effort qui lui ont valu la première place, mais aussi ses capacités de femme d’affaires. Elle s’est hissée au sommet des super-modèles et a transcendé la chose pour devenir une marque internationale. C’est dur d’imaginer une femme plus parfaite », explique et encense le directeur artistique et créatif de Maxim, Paul Martinez.

Suivent respectivement dans ce Top 100 2014 de Maxim, Scarlett Johansson, Katy Perry, Irina Shayk, Jennifer Lawrence, Zooey Deschanel, Alessandra Ambrosio, Jessica Alba, Mila Kunis et Cara Delevingne, qui complètent les dix premières positions.

Voyez le Top 100 complet proposé par Maxim.

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Des doubles mastectomies souvent inutiles

Il y a déjà un an, l’actrice Angelina Jolie annonçait sa décision de subir une double mastectomie pour contrer de sombres statistiques en matière de cancer du sein. Voilà qu’une nouvelle étude vient jeter une douche froide aux partisans de la manœuvre.

Angelina Jolie avait non seulement stupéfait l’industrie et ses fans avec une telle annonce (ses médecins estimaient ses chances de développer un cancer du sein à près de 90 %), mais avait aussi par le fait même lancé un profond débat sur le sujet.

Beaucoup de femmes ont suivi son exemple, et l’opération a gagné en visibilité.

Or, selon une étude de l’Université du Michigan, plusieurs doubles mastectomies seraient pratiquées inutilement. Le problème, c’est que 70 % des femmes qui prennent cette décision n’auraient pas besoin de le faire, même après un diagnostic de cancer du sein qui n’en touche qu’un seul, rapporte Radio-Canada.

« Chez les femmes, c’est apparemment la crainte d’une résurgence de leur cancer qui les conduites à décider d’une mastectomie prophylactique, ce qui est absurde, car le fait d’enlever le sein non malade ne réduit en rien le risque de réapparition de la tumeur dans le sein touché », explique la Dre Sarah Hawley, qui dirige l’étude.

Cette dernière a analysé les dossiers de près de 1500 femmes.

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La dépression frappe chez les personnes âgées

Depuis quelques années, les statistiques de cas de dépression chez les personnes âgées surprennent. Le Devoir rapporte une fois de plus quelques chiffres qui démontrent que le phénomène n’a probablement pas ralenti depuis l’an dernier.

Selon le quotidien, qui prend ses chiffres de l’Enquête québécoise sur les limitations, les maladies chroniques et le vieillissement (EQLAV) et des analyses de l’Institut de la statistique du Québec, une personne âgée sur cinq souffrirait de troubles de l’humeur et/ou de dépression. 20 %, en somme, de nos aînés perdent le goût de vivre, alors qu’ils ont traversé tant d’épreuves.

La statistique grimpe à 60 % chez les personnes âgées déclarées invalides ou en incapacité grave. Passé l’âge de 85 ans, une personne âgée sur quatre serait touchée par la dépression.

Les femmes seraient davantage touchées, ainsi que les personnes seules ou sous le seuil de pauvreté.

« En identifiant ces personnes vulnérables, cela permet de faire de la prévention et d’éviter d’éventuels recours aux services de santé. Ces indicateurs peuvent aussi permettre de suivre l’évolution de la clientèle des personnes âgées, de voir comment le système de santé doit s’adapter à cette réalité et appliquer les interventions les plus utiles », explique Maxime Murphy, qui dirige l’étude.

Des conclusions bien tristes, surtout à une époque où le système de santé québécois démontre tant de signes de fatigue qu’il est devenu de plus en plus difficile d’aider les plus démunis et les personnes aux prises avec des troubles mentaux ou dépressifs.

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Aucun lien démontré entre la prise de calcium et le risque cardiaque chez la femme

Les femmes qui consomment des suppléments de calcium pour prévenir ou traiter l’ostéoporose ou la détérioration des os ne seraient peut-être pas aussi à risque de troubles cardiovasculaires que le croyaient les spécialistes.

Une nouvelle étude, rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il n’est pas possible actuellement d’établir un lien entre la consommation de calcium et ce type de risque, à la suite des analyses qui s’avèrent inconsistantes.

Ce sont des chercheurs du Brigham and Women’s Hospital (BWH) qui tirent ces conclusions, après avoir analysé le dossier de près de 75 000 femmes sur une période de 24 ans, rien de moins.

« Notre étude possède plusieurs forces comparativement aux études précédentes, notamment le nombre vaste de participantes et la durée du suivi », croit l’auteure de l’étude, Julie Paik.

Cette dernière admet toutefois que d’autres recherches exhaustives du genre seront nécessaires afin d’invalider définitivement le risque associé à la prise de suppléments de calcium chez la femme.

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Quelques bières pour contrer l’arthrite chez la femme

Quelques bières consommées hebdomadairement pourraient s’avérer bénéfiques pour les femmes qui souhaitent ralentir ou réduire le risque de développement de l’arthrite rhumatoïde, rapporte The National Library of Medicine.

C’est une nouvelle étude en provenance de Harvard qui suggère les bienfaits de la bière chez la femme et qui en arrive à des conclusions étonnantes.

« La consommation modérée d’alcool à long terme pourrait aider à réduire le développement de l’arthrite rhumatoïde chez la femme », lance le Dr Bing Lu, auteur principal de l’étude.

Selon les chercheurs de l’équipe du Dr Lu, la consommation générale d’alcool, de façon modérée, permettrait une réduction d’environ 21 % des risques d’arthrite chez la femme, alors que la bière porterait la statistique à 30 %.

Attention cependant, on estime une consommation de bière modérée à trois ou quatre consommations par semaine.

L’étude s’étire depuis plusieurs années et se base sur l’analyse des dossiers médicaux de plus de 100 000 infirmières qui se prêtées au jeu et qui devaient répondre à des questions concernant leur santé et leurs habitudes de consommation chaque deux ans.

Les résultats de l’étude du Dr Lu ont été publiés dans l’édition printanière du magazine Arthritis & Rheumatism.

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Les femmes plus rapides à récupérer d’une commotion cérébrale

Alors que le dossier des commotions cérébrales dans le sport professionnel fait beaucoup parler depuis un moment, une nouvelle étude sur le sujet surprend.

L’étude américaine en question, rapportée par TVA Nouvelles, estime que les hommes prennent plus de temps à soigner une commotion cérébrale que les femmes, et que le sexe d’un patient influence vraiment la durée de rétablissement à la suite d’un traumatisme crânien.

Les chercheurs de l’Université de Pittsburgh évaluent en moyenne à 67 jours le temps requis pour un homme afin de se rétablir d’une commotion cérébrale, et à seulement 26 jours pour les femmes. La moyenne générale de rétablissement est donc évaluée à 54 jours.

L’étude analysait les dossiers de 69 patients ayant subi un traumatisme crânien entre 2006 et 2013. Les tests effectués ont révélé que le cerveau des hommes subit des dommages plus importants que celui des femmes, ce qui est une mauvaise nouvelle pour les athlètes de sports professionnels, largement composés d’hommes.

Les résultats de l’étude américaine ont été publiés dans le magazine Radiology.