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Le cerveau des femmes modifié après une grossesse

Il semble que l’expérience d’une grossesse ne change pas que la vie d’une femme, mais aussi la dynamique de son cerveau, rapporte Radio-Canada.

C’est une étude proposée par une équipe de chercheurs menée par la neuroscientifique Liisa Galea, basée à l’Université de la Colombie-Britannique (UBC), qui dévoile cette conclusion.

Le cerveau subirait certains changements et perdrait même de la masse au cours d’une certaine période, ce qui pourrait créer des avantages pour les mères, comparativement à celles qui n’ont jamais vécu de grossesse.

Selon Mme Galea, les recherches effectuées par son équipe sur des rongeurs tendent à démontrer que les spécimens qui donnent la vie développeraient une meilleure mémoire à long terme, en plus d’une plus grande capacité à effectuer plusieurs tâches en même temps.

Le fait le plus étonnant s’avère sans aucun doute celui qui propose une réduction de la taille du cerveau pouvant aller jusqu’à 8 % au cours d’une grossesse, mais celui-ci reprendrait sa taille « normale » au cours des mois suivants.

Toutefois, on mentionne et confirme que les femmes qui mettent un enfant au monde ont aussi certains risques accrus de problèmes de santé, qui peuvent se matérialiser de multiples façons et selon le cas de chacune.

Les conclusions de Mme Galea et de son équipe ont été proposées dans le cadre de l’arrivée de la fête des Mères, explique en terminant la société d’État.

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Un nouveau test de dépistage du cancer de l’utérus approuvé par la FDA

Une alternative au fameux PAP test vient d’être approuvée par la FDA aux États-Unis, rapporte notamment le New York Times.

Il s’agit d’une manœuvre controversée visant à remplacer un test déjà controversé, comme quoi on ne s’en sort pas dans ce dossier.

Créé par la compagnie Roche, le nouveau test de dépistage serait capable de détecter la présence et l’ADN du VPH, qui mène souvent au cancer de l’utérus, par un simple échantillon prélevé du col de l’utérus d’une patiente.

La FDA croit que les essais et études menés par Roche sont concluants, et approuve donc l’alternative au PAP test, qui utilise pour sa part un bon vieux microscope afin de détecter des anomalies.

Mais comme dans le dossier du PAP test, un regroupement de femmes et de consommateurs s’opposent à l’approbation de la FDA, que l’on juge hâtive et non fondée. Les spécialistes de la FDA semblent toutefois sûrs de leur évaluation, même si les essais sont menés par la même compagnie qui produit le nouveau test.

Une pratique qui serait peut-être à revoir, d’ailleurs, ne serait-ce que pour calmer les doutes d’une population de plus en plus méfiante envers l’industrie pharmaceutique et le système de santé.

Le cancer de l’utérus ferait environ encore 4000 morts annuellement, aux États-Unis seulement, selon l’American Cancer Society.

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Nouvelle théorie sur la vitamine D pendant la grossesse

De l’obésité de l’enfant au risque de prééclampsie chez la femme enceinte, en passant par une diminution de la densité osseuse, le manque de vitamine D est au cœur de bien des recherches scientifiques.

Cette fois-ci, c’est la carie dentaire qui est en cause dans une nouvelle recherche publiée sur le site Pediatrics.

Les experts ont relevé les données de 134 futures mères âgées en moyenne de 19 ans. Chacune fournissait des informations concernant sa santé, son statut socioéconomique et donnait un échantillon de sang pour le niveau de vitamine D.

Par la suite, autour de l’âge d’un an, la santé dentaire des enfants était examinée. Un second questionnaire validait les habitudes de vie de l’enfant (alimentation, allaitement).

À la lumière des résultats, le nombre de caries chez les enfants était inversement proportionnel au niveau de carence en vitamine D de la mère lorsqu’elle était enceinte. Ainsi, plus le nombre de caries était élevé, plus cela correspondait à un faible niveau de vitamine D pendant la grossesse.

L’auteur principal de la recherche, Robert J. Schroth de l’Université du Manitoba, affirme qu’il s’agit d’un premier pas vers la prévention intra-utérine de la santé dentaire.

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Rachel Weisz rejoint Toni Collette pour Miss You Already

Après plusieurs changements de personnel et plusieurs rumeurs, EmpireOnline annonce l’embauche de Rachel Weisz pour l’un des rôles principaux du film Miss You Already, aux côtés de Toni Collette.

Cette dernière, déjà confirmée depuis un moment par la production, devait initialement donner la réplique à Jennifer Aniston, qui n’est maintenant plus dans les plans.

Rachel Weisz reprend donc le flambeau, et les deux actrices évolueront sous les ordres et la lentille de la réalisatrice Catherine Hardwicke, qui remplace quant à elle Paul Andrew Williams.

Quelques changements qui semblent maintenant confirmés et qui permettront au projet d’aller de l’avant. Miss You Already est un drame qui raconte l’histoire de deux amies qui feront face à des destins bien différents, alors que l’une apprend qu’elle est enceinte, et l’autre qu’elle souffre d’un cancer du sein.

« Rachel et Toni sont des incroyables forces de la nature. Elles puisent profondément pour insuffler de l’humanité et de l’humour à leurs personnages. J’ai très hâte de travailler avec elles pour apporter cette intense amitié à l’écran », déclare Catherine Hardwicke, enthousiaste.

Le tournage de Miss You Already doit s’entamer en septembre prochain du côté de l’Angleterre.

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Grossesse : attention aux antinauséeux

Le Devoir rapporte quelques statistiques et la publication d’une lettre ouverte concernant les antinauséeux, dont un en particulier, et les problèmes qui peuvent s’y rattacher.

On rapporte d’abord que 80 % des femmes enceintes québécoises se font prescrire des antinauséeux au cours de leur grossesse. De ce nombre, une grande majorité se verra offrir du Diclectin, l’antinauséeux justement visé par les avertissements rapportés.

Plusieurs médecins estiment que le Diclectin est à utiliser avec prudence, bien que l’on ne veuille pas créer un sentiment de panique chez les femmes québécoises et d’ailleurs.

La Société des obstétriciens gynécologues du Canada (SOGC) souhaite simplement sensibiliser les médecins et les femmes au phénomène, et estime que les médicaments ne devraient pas être la première solution désignée pour contrer des problèmes de nausée lors de la grossesse.

On estime à 33 millions le nombre d’utilisatrices du Diclectin.

La lettre de mise en garde en question a été publiée dans le Journal of Obstetrics and Gynaecology of Canada (JOGC).

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Être perfectionniste pourrait nuire à votre santé

On considère souvent le perfectionnisme comme une grande qualité, les gens perfectionnistes (et les autres) n’hésitant pas à mentionner cet atout lors d’entrevues d’embauches et pour se décrire lors de diverses situations.

Or, selon de nouvelles recherches, les personnes perfectionnistes nuiraient à leur propre santé avec de tels comportements, rapporte Top Santé. Si la source mentionne notamment les femmes, on peut facilement conclure que l’avertissement s’adresse à tous.

« Nous vantons toujours le perfectionnisme comme une marque d’accomplissement professionnel, mais c’est au contraire un puissant facteur de maladies (…) qui devrait être davantage considéré par les médecins », explique la Dre Danielle Molnar, de l’Université Brock.

Dre Brock n’est pas la seule à nous mettre en garde contre les contrecoups d’une vie passée à atteindre la « perfection ». Des collègues comme le professeur Gordon Flett, de l’Université de York, abondent dans le même sens. M. Flett a notamment étudié le comportement perfectionniste sur la santé lors de recherches qui s’étendent sur une période de 20 ans, et constate que la quête de la perfection tourne souvent à l’obsession et mène au stress.

Les conclusions de la Dre Danielle Brock ont été publiées par le Daily Mail (UK).

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Toujours aucun traitement spécifique contre le syndrome du côlon irritable

Le syndrome du côlon irritable est défini par de multiples symptômes possibles et touche de plus en de gens. Si aucun traitement spécifique et efficace pour l’ensemble des patients n’est encore sur le marché, il existe cependant des pistes de solution, et il subsiste de l’espoir.

Le syndrome du côlon irritable peut prendre la forme de douleurs abdominales (ventre), de constipation et de sentiments de gonflement ou de ballonnement. Il est associé par plusieurs au stress grandissant ressenti par une grande partie de la population.

Éviter le stress s’avère donc la première piste pour calmer le jeu, et les symptômes sont souvent variables et réversibles, rappelle la FDA. Plusieurs pistes de solution sont envisagées pour l’avenir d’un traitement, mais de nombreuses questions demeurent.

« Il y a pas mal de recherches à propos du rôle des féculents dans le déclenchement du syndrome du côlon irritable, plus spécialement celui d’un nutriment appelé polyol. De plus, les médecins et chercheurs examinent de plus près le rôle du régime alimentaire. Bien que plusieurs conditions médicales ont une prédominance masculine ou féminine, on ne comprend pas encore pourquoi les femmes sont plus touchées par le syndrome », explique Andrew Mulberg, de la FDA.

Ce dernier suggère aux patients de consulter fréquemment leur médecin et de tenter de multiples expériences, notamment en réduction du stress et en alimentation, afin d’observer les variations des symptômes.

Les spécialistes ont bon espoir d’en arriver à un consensus et à un traitement du syndrome du côlon irritable dans le futur.

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Une diète à forte teneur en gras augmente les risques de cancer du sein

Les femmes qui observent des régimes à forte teneur en gras saturé sont plus à risque de développer un cancer du sein que les autres, nous dévoile une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des régimes comme la diète Atkins, par exemple, seraient possiblement des facteurs de risques supplémentaires à l’apparition éventuelle d’un cancer du sein chez la femme, conclut l’étude.

On évalue la hausse de ces risques à 28 %, selon les résultats proposés par les chercheurs du National Tumour Institute de Milan, en Italie.

« Les résultats de cette étude prospective sur une large population de femmes européennes indiquent que les diètes fortes en gras et gras saturés augmentent les risques du cancer du sein », mentionne la Dre Sabina Sieri, coauteure principale de l’étude.

L’étude tire ses conclusions de plus de 300 000 dossiers de femmes analysés au cours d’une période donnée, répartis dans 10 pays de l’Europe.

Les résultats de la Dre Sieri et de son équipe ont été publiés dans le Journal Of The National Cancer Institute.

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La clinique Morgentaler ferme ses portes après 20 ans

Triste nouvelle ou bonne chose, selon le point de vue, la nouvelle concernant la fermeture de la clinique Morgentaler de Fredericton rapportée par Le Devoir risque de créer plusieurs réactions.

Le Dr Henry Morgentaler est un personnage emblématique pour le mouvement pro-choix et s’est inscrit dans l’histoire du Québec dès 1967 en devenant le porte-étendard et le leader du mouvement des droits des femmes à l’égard de l’avortement.

20 ans après la création de la clinique Morgentaler de Fredericton, celle-ci devra maintenant fermer ses portes faute de revenus et de fonds, rapporte cette même source. Les procédures d’avortement ne sont pas remboursées systématiquement pas le régime médical public du Nouveau-Brunswick.

Les frais de la procédure oscillant autour de 800 à 900 dollars, les dirigeants doivent maintenant se résigner à fermer la clinique privée.

Le Dr Morgentaler avait intenté un recours contre le gouvernement du Nouveau-Brunswick afin que ce dernier rembourse les frais, mais la cause a été suspendue depuis le décès du célèbre médecin de famille, en mai 2013.

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L’amniocentèse moins pratiquée depuis quelques années

L’amniocentèse, comme l’explique Top Santé, permet de dépister les anomalies chromosomiques du fœtus à travers le liquide amniotique.

Puisque la trisomie 21 peut désormais être découverte à l’aide d’une échographie et de marqueurs sanguins, moins de femmes se soumettent à la précédente méthode.

En France, uniquement entre 2009 et 2010, une baisse de 30 % a été répertoriée.

Cependant, l’amniocentèse peut déceler d’autres anomalies génétiques et peut tout de même s’avérer très utile. D’ailleurs, si votre médecin vous la recommande, c’est que l’échographie a détecté quelque chose de suspect.

Contrairement à ce que l’on peut s’imaginer, l’examen dure tout au plus 2 minutes. Une aiguille est insérée jusqu’au liquide amniotique pour en prélever un échantillon.

Il est normal d’avoir des craintes, surtout par rapport à l’aiguille et la douleur. Mais celle-ci est très fine, et l’exercice ne nécessite aucune anesthésie, même locale.

Il est vrai que le processus peut mettre la grossesse en danger; le taux de fausse couche étant de 0,5 %. Mais l’examen est bien encadré par le corps médical, qui répondra à toutes vos questions si vous avez des inquiétudes.