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Les femmes qui feignent l’orgasme sont plus enclines à l’adultère

Les femmes qui simulent l’orgasme lors des relations sexuelles avec leurs partenaires sont plus enclines à tromper ces derniers, voilà la conclusion proposée dans cette nouvelle étude psychosexuelle rapportée par le Daily Mail (UK).

On apprend d’abord que 68 % des femmes feignent l’orgasme au moins une fois sur cinq, en moyenne, et que la plupart d’entre elles le font pour protéger leurs amoureux d’une éventuelle perte de confiance ou pour ne pas leur faire de peine.

Du lot, une femme sur six affirme tromper ou avoir trompé son partenaire, une statistique que les chercheurs ont pu comparer à celle de l’orgasme simulé, avant d’en conclure que la simulation mène dans une grande proportion à l’adultère, et que les femmes simulent en grand nombre!

Mais avant de tomber à bras raccourci sur la gent féminine, et en conclusion, il est important de mentionner qu’une plus grande proportion d’hommes admettent avoir trompé leur compagne actuelle, soit un sur quatre… Tout cela en ne simulant qu’une fois sur vingt, toujours selon la divertissante étude américaine.

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Facebook peut s’avérer néfaste pour les femmes célibataires

Une spécialiste des relations, mademoiselle Zoe Strimpel, lance un sérieux avertissement aux personnes seules qui utilisent Facebook de façon quotidienne, et spécialement les femmes, rapporte le Daily Mail (UK).

C’est que selon Strimpel, les nombreuses images de bonheur presque hollywoodien sur Facebook peuvent s’avérer néfastes pour la santé psychologique en minant progressivement le bonheur et l’humeur.

L’envie, le voyeurisme, l’apitoiement et les idées noires sont des réactions ou des symptômes qui peuvent ensuite apparaître chez les personnes qui ne sont pas en phase avec leur situation.

En somme, la spécialiste croit que les nombreuses représentations de mignons bébés et de mariages heureux, entre autres, tendent à envoyer le message que le célibat est un problème, une « lacune ».

Strimpel n’y va pas de main morte en suggérant carrément de se débarrasser de son compte Facebook, lors d’une conférence présentée récemment.

Pour la spécialiste, Facebook est porteur de messages souvent négatifs, narcissiques, faux, et les informations proposées sont souvent carrément inutiles à l’expansion du bonheur et au mieux-être de l’humain.

Si on réfléchit un instant, il devient difficile de la contredire.

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Le pain hausserait les risques de cancer du sein chez les femmes en ménopause

Une alimentation comprenant beaucoup de pain serait nuisible à la santé des femmes qui sont en ménopause ou qui s’en approchent, selon une étude rapportée par le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université de Toronto et de Milan qui travaillent conjointement à cette recherche affirment que la consommation de pain lors de cette période peut augmenter les risques de cancer du sein de 60 %, une statistique qui ne peut être négligée.

Ainsi, on suggère plutôt à ces femmes de troquer le pain pour les pâtes, afin d’éviter cette hausse de risque, qui s’avère tout aussi exacte pour d’autres types de cancer et d’autres maladies.

Comme l’expliquent les chercheurs impliqués, les pâtes sont à l’opposé du pain en matière d’effets sur la glycémie, un facteur reconnu du développement du cancer du sein.

À noter, l’effet du pain serait également vérifiable chez les hommes en ce qui concerne le cancer colorectal, avec une hausse moyenne des risques de 22 %.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, conclut l’équipe de spécialistes. 

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5 mythes de beauté chez la femme enceinte

Plusieurs mythes concernant les produits de beauté lorsque vous êtes enceinte méritent d’être rectifiés, comme l’indique Babycenter.com.

1. Coloration des cheveux – Bien que théoriquement, il y a une infime possibilité que la coloration soit absorbée par le cuir chevelu, les recherches n’ont jamais été concluantes. Vous pouvez cependant opter pour des teintures sans produits chimiques nocifs. Demandez à votre coiffeur de vous conseiller.

2. Les crèmes pour éviter les vergetures fonctionnent vraiment – Les vergetures se déploient à un niveau plus profond que la couche épidermique de surface. Même la meilleure des crèmes ne peut empêcher la peau de s’étirer ainsi. C’est surtout votre génétique qui joue sur l’élasticité de votre peau.

3. Les crèmes autobronzantes sont à proscrire – Le principal ingrédient étant la dihydroxyacétone, un élément déjà présent de façon naturelle dans notre organisme, la crème autobronzante est sans danger. Vous pouvez donc l’utiliser sans crainte pendant la grossesse.

4. Les manucures sont dangereuses – Mis à part les nausées qui risquent de vous incommoder lorsque vous ferez refaire vos ongles pendant votre grossesse, il n’y a aucune crainte à avoir. Si vous craignez les vernis à base de phtalate de dibutyle, il en existe qui en sont exempts.

5. Manger son placenta aide à avoir l’air jeune – La jeunesse éternelle est un mythe en soi. Évitez de croire en ces vertus, aucune recherche scientifique n’a été faite en ce sens non plus.

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Une étude brise le mythe de la grippe d’homme

Une nouvelle étude réalisée sous la forme d’un sondage invalide le mythe de la grippe d’homme, et renvoie le tout aux femmes.

Selon les statistiques proposées dans cette étude, et rapportées par le Daily Mail (UK), les femmes seraient en effet beaucoup plus vulnérables à l’influenza, que ce soit en termes d’intensité ou de durée.

Attention, on avance également que les membres de la gent féminine seraient plus enclines à se plaindre, alors que le quart des femmes sondées affirment rechercher de l’attention et de la sympathie en le faisant.

Toujours selon le sondage, une grippe durerait jusqu’à 20 % plus longtemps pour une femme que pour un homme, et celle-ci se dirigerait vers son lit plus rapidement que son homologue grippé masculin.

Grâce à ce sondage, les hommes voient finalement le mythe de la fameuse grippe d’homme être attaqué pour la première fois.

Voilà de quoi alimenter les discussions dans les chaumières à l’approche de la saison de la grippe…

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Fibromyalgie : de plus en plus d’études et un nouveau test de dépistage

Il n’y a pas si longtemps, la fibromyalgie relevait pour plusieurs du mythe ou de la sorcellerie, et les femmes qui en souffraient se voyaient la plupart du temps isolées et incomprises.

La donne a cependant changé au cours des deux dernières années, alors que les études sur le sujet s’accumulent, dont cette plus récente rapportée par The National Library of Medicine, ainsi que la création d’outils de prévention et de traitement, comme le rapporte Top Santé.

D’abord, la première étude fait état d’un impact plus important de la fibromyalgie sur les femmes plus jeunes, expliquant que les symptômes de ce problème de santé sont souvent plus violents chez les femmes de 30 ans et plus.

Alors qu’on suggère à celles-ci de prendre le sujet au sérieux et de ne pas hésiter à consulter, on rapporte du même coup la création d’un nouveau test de dépistage qui se base sur l’analyse des protéines capables de prévenir de la douleur, produites en moins grande quantité chez les patientes atteintes de fibromyalgie.

« 83 % des personnes atteintes de fibromyalgie, et 89 % de celles qui ne souffraient pas de cette maladie, ont été identifiées correctement avec le test. Ces résultats doivent être considérés comme préliminaires. Ce test doit être éprouvé sur une plus grande échelle et validé par des experts médicaux extérieurs. Notre test, s’il est validé, permettra de légitimer le diagnostic et d’aider les malades à se soigner plus rapidement », résument en conclusion Bruce Gillis et Scott Zashin, d’EpicGenetics, l’entreprise créatrice du test en question.

S’il reste encore du chemin à faire en termes de dépistage, de prévention et du traitement de la fibromyalgie, tous ces exercices permettent au moins une plus grande sensibilisation au phénomène.

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Le sexe permettrait de brûler plus de calories que la marche

« Oubliez la promenade et essayez le sexercice! », titre avec humour le Daily Mail (UK), qui rapporte une étude amusante mais tout à fait scientifique sur le nombre de calories dépensées lors d’une relation intime.

D’abord, il faut rappeler que les spécialistes de tous acabits se sont obstinés depuis des lunes concernant les véritables bienfaits de la sexualité sur la santé physique, et la pertinence de considérer l’acte sexuel comme une activité physique à part entière.

Ce n’est que récemment que certaines études ont finalement penché du côté de ceux qui le considèrent comme un exercice, mais cette plus récente proposée par des chercheurs de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avancent des chiffres qui nous replongent dans une zone grise.

C’est que si la recherche confirme effectivement une perte calorique, on constate du même coup que les relations sexuelles ne permettent de brûler que peu de calories, si on les compare au jogging, par exemple.

Ainsi, c’est 4,2 calories par minute d’activité sexuelle qui s’envolent chez l’homme, et 3,1 chez la femme. Pas de quoi fouetter un chat, si l’on considère que la relation sexuelle moyenne ne dure que 24,7 minutes, pour un total de 104 calories de dépensées pour les hommes, et de 69 pour les femmes.

En étirant le temps et en augmentant un peu l’intensité, cependant, la sexualité peut alors devenir plus bénéfique que la marche, en termes de perte calorique.

Mais au final, bien que l’on conclut du côté des chercheurs québécois que le sexe peut être une activité physique reconnue, on ne suggère pas pour autant d’abandonner le sport ou l’entraînement!

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Les femmes sans enfants se sentent jugées par leurs proches

Selon une récente étude, 60 % de ce groupe de femmes a cité la famille et les amis comme principale source de jugement, ce qui est énorme.

De plus, 40 % des femmes se sentaient embarrassées par leur problème de fertilité, et la majorité d’entre elles ne se sentaient pas à l’aise de partager leurs soucis avec leurs proches.

La recherche a été effectuée par Tim Child et son équipe du Infertility Network UK. « Plusieurs couples attendent beaucoup trop longtemps avant de parler de leur problème de fertilité », a affirmé Child.

Il semblerait en effet que la moyenne d’attente avant de confier à un spécialiste ses inquiétudes est de 2 ans. Lorsque l’on se situe dans le groupe des 35 à 45 ans, cela fait toute la différence.

Clare Lewis-Jones, chef de la direction de l’organisme, est d’ailleurs préoccupée par le sentiment de honte des femmes interrogées. « Ces sentiments de jugement empêchent les femmes de s’ouvrir et de chercher de l’aide pour leur problème de fertilité. »

Selon Telegraph, 1 couple hétérosexuel sur 7 rencontre des problèmes de fertilité au Royaume-Uni.

On rappelle que la plus forte diminution de fertilité chez la femme débute à la mi-trentaine.

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Les femmes peuvent encore espérer vivre quatre ans de plus que les hommes

Le Telegraph (UK) rapporte une étude statistique qui donne encore une fois l’avantage de l’espérance de vie aux femmes, alors que ces dernières peuvent espérer vivre quatre ans de plus que les hommes.

Ces chiffres, basés sur des données britanniques, mais qui se transposent facilement à la population mondiale, font également état d’une hausse de longévité potentielle de quelques points pour les enfants nés entre 2010 et 2012.

On parle donc d’une espérance de vie de 79 ans pour les hommes et de près de 83 % pour les femmes, et d’une moyenne globale totale de près de quatre années de différence.

Encore une fois, ces chiffres peuvent varier grandement en fonction de la classe sociale, du style de vie et du lieu de résidence d’un individu, mais on constate néanmoins des hausses générales de longévité, même chez les hommes, chez qui celle-ci semble même plus rapide dans son évolution.

Pour l’instant, les femmes conservent la palme et peuvent aspirer à quatre années de plus que leurs congénères, quatre années de paix et de tranquillité, diront certaines. 

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La crise de la quarantaine frappe aussi en santé

La fameuse crise de la quarantaine frappe une bonne partie de la population qui arrive à cette étape importante de la vie, et ce virage apporte souvent son lot de comportements nouveaux et de bilans sérieux.

Le phénomène n’en serait pas qu’un social ou psychologique, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), mais frapperait aussi l’imaginaire en termes de santé physique, selon les conclusions d’une étude sur le sujet.

En fait, il appert que les trois quarts des individus, ici des Britanniques, s’inquièteraient fortement de leur bilan au tournant de la quarantaine, à un point tel que la moitié d’entre eux affichent des changements de comportements radicaux lorsque la trentaine se termine.

Arrêt du tabagisme, réduction de la consommation d’alcool, activité physique plus abondante et régulière, meilleure alimentation, voilà quelques-unes des mesures prises par une quantité phénoménale de jeunes quarantenaires, soucieux des impacts de leurs choix de vie antérieurs.

Il semble que ce soit aussi une période qui apporte son lot de remords et d’inquiétudes, alors que 64 % affirment regretter ne pas avoir fait ces choix plus jeunes, et 50 % s’interrogent sur leur capacité à inverser les dommages causés à leur corps.

Bien qu’il n’y ait pas d’âge pour commencer à s’occuper de soi, commencer jeune à penser à sa santé semble permettre d’éviter tout un volet d’une crise qui parait déjà plutôt intense.

Par ailleurs, il semble que le phénomène touche cette fois autant les femmes que les hommes.