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Une longévité accrue grâce au calcium est observée chez la femme

Les femmes peuvent-elles vivre plus longtemps en consommant quotidiennement du calcium? C’est la question posée dans une nouvelle étude québécoise, réalisée à l’Université McGill auprès de près de 10 000 participants.

Après avoir suivi pendant 12 ans 9033 sujets canadiens, tous issus de villes différentes, les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium peut avoir un réel impact sur la longévité, mais seulement chez la femme.

Les suppléments alimentaires sont très controversés depuis quelque temps, alors qu’on se rend compte qu’ils profitent souvent plus aux comptes de banque des compagnies pharmaceutiques qu’aux consommateurs en général.

Cependant, l’étude proposée ici, et rapportée par Radio-Canada, semble exhaustive et indépendante.

« Nous avons découvert que la prise quotidienne de suppléments de calcium est associée à un risque moins élevé de décès chez la femme, et ce, indépendamment de la cause », déclare le professeur David Goltzman, chercheur et coauteur de l’étude.

Goltzman et son équipe publient maintenant les résultats de leur étude dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, qui s’ajoutera aux précédentes sur le sujet. Plusieurs autres études ont déjà avancé certains dangers liés à une prise supplémentaire de calcium. Le débat demeure donc bien ouvert.

 

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Le syndrome prémenstruel finalement reconnu par les spécialistes

Peut-être aura-t-il fallu qu’un plus grand nombre de femmes accèdent à des postes importants, notamment en sciences et en recherche, pour que le fameux syndrome prémenstruel (SPM) soit finalement reconnu pour autre chose qu’une vulgaire blague.

C’est que selon ce que rapporte La Presse, l’Association psychiatrique américaine (APA) reconnait enfin les conséquences bien réelles du SPM, spécialement dans ses formes les plus violentes.

Tellement que l’Association a décidé d’inclure le syndrome dans son fameux DSM, soit le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.

Publié depuis le début des années 50, l’ouvrage retrace tous les troubles mentaux reconnus, et le syndrome prémenstruel y fait son apparition pour la toute première fois.

Baptisé trouble dysphorique prémenstruel, ce diagnostic est associé dans cette nouvelle édition du DSM à des problèmes psychologiques comme la dépression et la bipolarité, ce qui choque certains observateurs.

« Le critère important est qu’à cause des symptômes, le fonctionnement de tous les jours est perturbé », nuance cependant le Dr Richard Bergeron, fondateur de la Clinique du syndrome prémenstruel du Centre hospitalier Pierre-Janet.

Le syndrome ne serait donc applicable qu’aux femmes qui n’arrivent plus à jouir de la vie ou à vaquer à leurs occupations quotidiennes lors de la période prémenstruelle.

Plusieurs femmes se réjouissent de cet ajout au DSM, témoignant des difficultés vécues lors d’épisodes graves de SPM, souvent mal compris et mal diagnostiqué par les médecins traitants, qui ont trop souvent recours aux antidépresseurs pour tenter de régler le problème.

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Les jolies femmes seraient plus fertiles et moins stressées

Difficile de parler de stéréotype lorsque l’information provient d’une étude scientifique, et pourtant, le sujet de celle-ci a de quoi surprendre.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte les conclusions issues d’une étude traitant d’un possible lien entre la beauté physique d’une femme et sa fertilité, ainsi que son niveau de stress moyen.

Ainsi, on apprend qu’une femme plus jolie que la moyenne serait moins anxieuse et susceptible d’être stressée, en plus de bénéficier d’une fertilité plus accrue!

Cependant, à l’inverse des hommes, la beauté féminine ne serait pas gage d’un système immunitaire plus fort, toujours selon les chercheurs en tête de l’étude.

On peut également associer les deux faits ensemble, puisque le stress trop important nuirait à la fertilité chez la femme. On peut donc dire que la beauté engendre moins de stress, ce qui favorise conséquemment la procréation.

D’autres recherches sur le sujet sont à prévoir, mais il semble que les liens proposés ici soient bien réels. La beauté ne serait donc pas toujours que superficielle, semble-t-il.

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Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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Les troubles du sommeil hausseraient les risques de cancer

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Islande trace un lien entre les troubles du sommeil et des risques accrus de développer un cancer.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne le cancer de la prostate chez les hommes, et le cancer du sein chez les femmes.

Selon Santé Log, on définit ici les troubles du sommeil par une difficulté persistante à s’endormir ou à rester endormi, ou encore une incapacité complète (insomnie).

On sait depuis longtemps que les problèmes de sommeil peuvent mener à différents problèmes de santé, mais la corrélation entre l’insomnie et le cancer est relativement une première.

Ces conclusions, publiées dans le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, ne font pas véritablement état des causes qui expliquent le phénomène, mais relatent les mesures prises pour mesurer la cause à effet.

Les chercheurs islandais ont analysé et suivi plus de 2000 hommes âgés de 67 à 96 ans, sur une période de cinq ans, qui devaient répondre à des questionnaires concernant leurs habitudes de sommeil.

On a ainsi pu tracer un lien entre le sommeil et certains diagnostics de cancer.

On doit cependant noter que l’augmentation des risques demeure relativement faible, et que l’âge des patients doit être pris en compte dans le calcul. 

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Le système immunitaire des femmes vieillit moins rapidement que celui des hommes

Le Daily Mail rapporte une nouvelle étude qui explique partiellement la longévité des femmes, qui vivent plus longtemps que leurs congénères masculins.

On estime, en moyenne, l’espérance de vie des femmes à environ 82 ans, pour seulement 79 ans chez les hommes.

Cette différence de quelques années s’expliquerait notamment par le système immunitaire, plus résistant au temps chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, les maladies mortelles sont plus à risque de frapper les hommes qui prennent de l’âge que les femmes, ou à tout le moins plus tôt, croient les chercheurs japonais auteurs de l’étude.

D’autre part, il existe des cellules défensives qui se bonifient avec l’âge pour assurer le maintien de la protection de l’organisme, mais encore une fois, le phénomène serait plus efficace chez la femme.

De bonnes nouvelles pour la gent féminine, qui doit subir au cours de la vie sa part d’ennuis que les hommes n’ont pas à craindre.

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Le tabagisme plus risqué pour les femmes que les hommes

Top Santé révèle une étude sur le tabagisme qui fait état de la différence de risques observée chez la femme, par rapport aux hommes.

On apprend que les effets de la cigarette sont plus importants chez la gent féminine, qui court plus de risques de développer certains types de cancers dus à l’usage du tabac.

C’est après une recherche exhaustive effectuée auprès de 600 000 patients, en analysant leurs dossiers médicaux, que les chercheurs norvégiens en tête de l’étude sont arrivés à ce constat.

Le risque de développer un cancer du côlon, par exemple, est amplifié chez les femmes fumeuses. Même chose pour les troubles cardiovasculaires, qui sont plus fréquents chez les femmes que chez les hommes, à consommation égale de cigarettes.

Les spécialistes norvégiens veulent donc, par le biais de ces conclusions, lancer un sérieux avertissement aux femmes du monde entier, qui seraient plus nombreuses à fumer qu’auparavant, une donnée étonnante.

On veut sensibiliser au fait que l’organisme des femmes est plus vulnérable aux effets nocifs du tabac, un fait encore méconnu de la population en général.

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Des traitements préventifs du cancer du sein accessibles aux femmes très bientôt?

Le Daily Mail (UK) annonce que des spécialistes aimeraient faire profiter les femmes de certains médicaments reconnus pour faire baisser drastiquement les risques de développer un cancer du sein, et ce, à une échelle importante.

Certains médicaments, comme le Tamoxifen déjà utilisé pour éviter les rechutes de ce terrible cancer, pourraient être offerts aux femmes qui souhaitent prévenir la maladie.

Le Tamoxifen et certains autres, comme des traitements contre l’ostéoporose, feraient baisser les risques de cancer du sein jusqu’à 40 %!

Des chiffres éloquents, qui font dire à des chercheurs britanniques spécialisés en recherche dans la lutte au cancer qu’il serait assurément bénéfique de ne pas attendre et de lancer une vaste campagne de prévention.

Certaines des plus grandes associations de la santé à travers le monde se penchent maintenant sur la question et examinent la viabilité de l’option.

On constate de façon évidente un enthousiasme marqué chez les spécialistes pour cette nouvelle façon de faire.

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Trop manger et boire s’avère dommageable pour le foie

La population, notamment les femmes, doit se conscientiser sur les impacts d’une trop grande consommation d’alcool et de nourriture, rapporte Top Santé.

C’est une récente étude sur les habitudes de consommation alimentaire qui lance un signal d’alarme aux citoyens, plus particulièrement aux femmes.

Les chercheurs du UCL Institute of Liver and Digestive Health de Londres ont analysé et démontré les risques associés à une consommation d’alcool trop élevée et à l’obésité sur la santé.

Plus particulièrement, c’est le foie qui serait à risque de développer de sérieux problèmes, un organe que l’on ne peut tout simplement pas se permettre d’endommager.

Plus encore, les femmes seraient plus touchées que les hommes par le phénomène de risque, ce qui pousse le Dr Paul Trembling, auteur de l’étude, à servir un avertissement bien senti à la gent féminine épicurienne.

Le risque de maladie grave et mortelle du foie serait jusqu’à trois fois plus élevé chez la femme que chez l’homme, surtout lorsqu’une femme en surpoids abuse de l’alcool.

Malgré ces pronostics plutôt sombres, on croit que cette récente étude permettra de mieux traiter plusieurs patients et ainsi sauver plus de vies en améliorant la qualité de l’aide et les campagnes de prévention.