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Les femmes de plus en plus méfiantes envers les méthodes de contraception

Ce qu’il serait convenu d’appeler « le scandale des contraceptifs de nouvelles générations » commence à se transposer dans le comportement des femmes en matière de contraception, rapporte Santé Log.

En effet, même si les changements rapportés sont pour l’instant minimes, ils indiquent ce que les spécialistes croient être un changement de philosophie de la part des femmes.

C’est l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) qui publie ces statistiques. Selon elle, certaines données laissent entrevoir quelques problèmes possibles dans l’avenir.

C’est qu’un pourcentage de femmes a déjà commencé à abandonner les méthodes de troisième et quatrième génération au profit des anciennes ou des méthodes pourtant reléguées aux oubliettes jusqu’ici.

Pire encore, on avance que certaines femmes délaisseraient complètement la contraception à la suite des rapports troublants concernant plusieurs méthodes, ce qui inquiète les spécialistes.

Outre une hausse des grossesses imprévues et, par conséquent, des avortements, les praticiens craignent que les femmes se tournent vers les moyens contraceptifs « d’urgence », qui ne sont pas produits pour ce type d’utilisation et qui peuvent s’avérer dangereux pour la santé.

Plusieurs autres études sur le sujet sont attendues, car ces chiffres ne sont que préliminaires.

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Une mauvaise alimentation mène aussi à la mauvaise humeur

Le fait de ne pas veiller à son alimentation ne mènerait pas qu’à des problèmes de santé physique chez la femme, selon Santé Log.

D’après une étude en provenance de la Pennsylvanie, les problèmes de comportement en alimentation sont aussi gages de troubles psychologiques, notamment en ce qui a trait à l’humeur.

Présentées lors du dernier congrès annuel de l’American Psychosomatic Society, ces conclusions font état de la relation des femmes avec la nourriture, et des résultats sur leurs émotions qui en découlent.

« Nous nous sommes intéressés à l’étude de femmes dans leur vie de tous les jours pour suivre leur humeur et leurs habitudes alimentaires, et obtenir ainsi une image plus précise de la relation entre les émotions et l’alimentation », expliquent les chercheurs de Penn State.

Les résultats démontrent cependant qu’une femme de bonne humeur ne devrait pas nécessairement voir celle-ci se dégrader, mais que celle qui s’avère déjà colérique ou dépressive a de grandes chances d’empirer son cas.

Les chercheurs précisent également que ces variations d’humeur sont relatives au degré d’intensité du trouble alimentaire, les pires troubles étant ceux comme l’anorexie et la boulimie.

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Le manque de sommeil affecterait plus les femmes que les hommes

Voici une étude sur le sommeil qui risque d’en faire réagir plus d’une, puisqu’elle semble à première vue un brin sexiste, mais attendez la suite…

Selon des chercheurs de l’Université Duke, les femmes auraient moins bon caractère que les hommes lorsqu’elles manquent de sommeil, alors que l’homme semble ne pas subir autant d’inconvénients en santé lorsqu’il dort peu.

Une plus grande susceptibilité, donc, ainsi qu’une vulnérabilité physique et psychologique sont observables chez la gent féminine lorsqu’elle n’a pas ses heures de sommeil règlementaires, rapporte Top Santé.

« Nous avons découvert que les femmes avaient plus de dépression, étaient plus colériques et irascibles le matin après le réveil », explique d’abord le Dr Breus, en tête de l’étude.

Mais attention, cela pourrait avoir un lien avec l’utilisation que les femmes font de leur cerveau durant le jour.

« Plus vous utilisez votre intellect pendant la journée, plus vous avez besoin de vous reposer la nuit. Les femmes ont tendance à être multitâches et elles mobilisent davantage leurs fonctions cérébrales que les hommes », ajoute le spécialiste.

L’étude, qui semblait d’abord préjudiciable aux femmes, se retourne finalement contre les hommes!

On suggère aux femmes irritables et qui manquent de sommeil de tenter l’expérience des siestes, d’une durée de 25 à 90 minutes maximum, pour un effet optimal.

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Le lait entier est déconseillé aux femmes en rémission du cancer du sein

Top Santé rapporte une étude américaine qui met en garde les survivantes du cancer du sein contre les produits faits à base de lait entier.

Pour l’équipe de chercheurs basés en Californie (Oakland), le lait entier renferme des propriétés qui augmentent les risques de rechute. On parle entre autres du fromage, de la crème glacée et autres dérivés des produits laitiers, qui sont à déconseiller pour les femmes en rémission.

« Les femmes qui ont eu un cancer du sein et qui doivent donc limiter leur exposition aux oestrogènes ont tout intérêt à cesser de consommer des produits laitiers à base de lait entier et leur préférer les produits laitiers allégés en matière grasse », résume la Dre Candyce Kroenke, auteure principale de l’étude.

Cette dernière s’est par ailleurs étendue sur le sujet durant 15 ans, ce qui rend ces conclusions difficiles à réfuter. Plusieurs centaines de femmes ont été observées durant cette période, et la Dre Kroenke croit qu’un autre avertissement s’impose.

« Il faut noter également que certaines femmes de ce groupe sont décédées, non des suites de leur cancer, mais d’une maladie cardiovasculaire. Or, une alimentation riche en matières grasses et toujours un facteur de risque supplémentaire pour les maladies cardiovasculaires. »

On suggère donc d’opter pour des produits laitiers allégés et une consommation modérée.

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La prise d’aspirine pourrait prévenir du cancer de la peau chez la femme

La prise d’aspirine sur une base quotidienne est un comportement populaire, conseillé par certains spécialistes et décrié par d’autres. Si les théories sont mitigées à son propos, l’aspirine reçoit maintenant un autre appui, cette fois en ce qui concerne un certain type de cancer.

En effet, Top Santé rapporte que les femmes pourraient voir les risques de développer un cancer de la peau, ou un mélanome, diminuer grandement grâce à l’aspirine.

Ce sont des chercheurs de la prestigieuse Université Stanford qui avancent ces conclusions, en se basant sur leurs observations.

Ces dernières ont été effectuées sur près de 60 000 patientes, suivies sur une période de 12 ans. Ces femmes, âgées de 50 à 79 ans, ont vu leurs chances de développer un mélanome diminuer de 21 %, toujours selon les chercheurs de Stanford.

« Cette découverte suggère que l’aspirine pourrait avoir un effet préventif contre le développement du mélanome », termine le Dr Jean Tang, directeur de ces nouvelles recherches.

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Les femmes peuvent espérer vivre en santé jusqu’à soixante ans

En cette journée internationale de la femme (8 mars), quoi de mieux que cette étude sur la longévité publiée par une firme française et rapportée par Top Santé.

On y apprend notamment que les femmes peuvent espérer vivre en santé jusqu’à ce qu’elles atteignent la soixantaine, et même bien au-delà. 63 ans est la moyenne établie de la longévité chez la femme, non pas totale, mais en terme de qualité de vie.

On croit donc qu’une majorité de demoiselles ne devraient pas s’inquiéter outre mesure des risques de développer une maladie avant cet âge respectable.

L’étude, qui se concentre sur sa population (française), révèle du même coup que ce sont les Suédoises qui ont les meilleures perspectives de vieillissement en pleine santé, soit jusqu’à 70 ans. Le Luxembourg, la Grèce et l’Irlande suivent de près dans ce palmarès féminin.

On rappelle que les femmes ont par ailleurs une espérance de vie mondiale légèrement plus élevée que les hommes. Il n’y aurait qu’aux Pays-Bas, étrangement, où les hommes affichent une longévité potentielle de cinq ans de plus que leurs compatriotes féminines.

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Un régime riche en fer au secours des femmes et du SPM

Si le syndrome prémenstruel (SPM) relève du mythe et de la discrimination pour certaines, il s’agit d’un véritable fléau pour d’autres.

Il y a peut-être de l’espoir pour ces dernières, puisque The National Library of Medicine révèle une étude qui laisse croire qu’une alimentation riche en fer pourrait apporter une partie de la solution au problème.

Plus spécifiquement, le soulagement pourrait provenir des aliments riches en fer à base de plantes, donc de sources végétales.

Les symptômes de ce syndrome pourraient même être diminués jusqu’à 30 %, croient les spécialistes en tête de l’étude. Le zinc est mentionné spécialement dans ces conclusions. L’élément serait très important dans le traitement du SPM.

« On dirait bien que certains minéraux s’avèrent importants dans la gestion du cycle menstruel et du SPM. Les femmes devraient adopter un régime équilibré au quotidien, et si elles ne reçoivent pas les apports nécessaires de leur diète, elles devraient alors se tourner vers les multivitamines », croit Elizabeth Bertone-Johnson, professeure associée de l’Université du Massachusetts (Amherst).

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Le mariage secret de Ne-Yo

On apprend que le chanteur et rappeur Ne-Yo a vécu une histoire romantique assez unique alors qu’il n’était âgé que de 19 ans.

En fait, l’artiste dévoile qu’il était déjà marié alors qu’il n’avait pas encore 20 ans, avec sa copine de l’époque. Cette dernière aurait cependant fait la fatale erreur de demander à Ne-Yo de choisir entre elle et sa carrière musicale.

Une erreur de jugement que la demoiselle doit amèrement regretter…

Maintenant âgé de 30 ans et père de deux enfants avec sa fiancée actuelle, Monyetta Shaw, Ne-Yo affirme que si la nouvelle n’a jamais été dévoilée, c’est que personne ne l’a jamais demandé, tout simplement.

« La musique est honnêtement la seule chose que j’ai jamais aimée, alors je l’ai choisie. Maintenant, je suis ici, et je ne sais pas où elle est », lance Ne-Yo, faisant référence à cette fameuse ex-femme.

L’artiste a dû attendre jusqu’en 2009 avant de retrouver l’amour, année où il a fait la connaissance de Monyetta lors d’un concert de Jamie Foxx.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Des experts déconseillent les suppléments de calcium aux femmes plus âgées

The National Library of Medicine rapporte qu’un groupe de spécialistes américains vient de publier une déclaration qui déconseille aux femmes plus âgées, spécialement celles en parfaite santé, de consommer systématiquement des suppléments de calcium.

Il s’agit d’un comportement populaire encouragé, puisqu’on accorde aux compléments alimentaires de calcium (ainsi qu’à la vitamine D, aussi retrouvée dans le lait) des effets protecteurs sur les os. On pourrait ainsi prévenir les fractures lorsqu’on prend de l’âge, croient plusieurs.

Rien n’est plus faux, martèlent maintenant les autorités américaines en la matière, qui y vont d’une dernière recommandation dans le cadre de ces études.

Pour les personnes en santé, un apport supplémentaire minime ou moyen en calcium n’aurait aucun effet, et les vertus d’un apport supplémentaire fort restent à démontrer.

Pour l’équipe de chercheurs, qui publie ces résultats dans l’édition du 26 février des Annals of Internal Medicine, aucune preuve concluante ne permet de prescrire ou d’encourager la prise de calcium en supplément chez les femmes de plus de 50 ans et en bonne santé.