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Les clés de la réussite du couple

Quoi de plus complexe qu’une relation à long terme, croient plusieurs! Il s’agit d’un périple émotionnel et émotif intense, qui doit souscrire à certaines règles afin d’en garantir le succès.

Selon Santé Log, il existe des clés pour assurer la longévité d’un couple… si c’est ce que vous désirez.

Ce sont des observations publiées dans la plus récente édition du Social Psychology Bulletin, en lien avec la Saint-Valentin, qui laissent croire que certains facteurs sont primordiaux afin de faire durer sa relation.

D’abord, on parle d’argent, un facteur inévitable en cette époque. Étonnamment, malgré l’égalité des sexes, il appert que l’homme aurait encore besoin de faire plus d’argent que sa compagne afin d’assurer sa confiance et ses performances au lit. Un brin réducteur…

On mentionne ensuite la capacité respective des deux parties à évoluer. L’évolution de la relation est inévitable, et les gens qui sont incapables d’affronter le changement risquent fort d’être surpris et de réagir inadéquatement.

Un fait étonnant, toujours selon cette étude, il semble que les couples jaloux soient moins enclins à se rendre jusqu’à la conception d’un enfant. Trop de temps passé en suspicion, on imagine.

Pour finir, l’élément le plus important, et ce n’est pas une trouvaille, mais il est toujours bon de le rappeler, c’est l’humour. L’autodérision et le rire sont garants de succès, alors ne vous prenez pas trop au sérieux!

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Les femmes en symbiose avec leur corps seraient en meilleure santé mentale

Une étude britannique, rapportée par Santé Log, dévoile des statistiques intéressantes concernant les femmes et la relation qu’elles entretiennent avec leur corps.

On apprend donc que celles qui sont le plus en phase et en symbiose avec leur corps affichent également une plus grande confiance et une meilleure santé mentale.

Effectuées à l’Université de Londres par une équipe de spécialistes, ces recherches démontrent que de connaitre, comprendre et écouter ses réactions corporelles permet de se sentir mieux sans sa peau.

On parle notamment du rythme cardiaque, qui est d’une importance capitale et qui s’avère ignoré par bon nombre de femmes. En écoutant et en analysant son rythme cardiaque, les chercheurs affirment que l’on devient alors « à l’écoute de son corps ».

Ensuite, ces mêmes chercheurs ont tenté d’établir une corrélation entre la capacité des sujets à écouter leur corps et celle de déterminer des « réalités » de celui-ci, comme des mensurations, des symptômes de maladie, etc.

Manifestement, celles qui voient leur corps comme un « objet », et non comme un organisme vivant qui nécessite non seulement des retouches cosmétiques, mais aussi des soins de santé physique et mentale, ont plus de chances de développer des problèmes comme l’anorexie et d’autres désordres.

Celles en phase avec leur corps (et leur cœur) seraient donc plus à même de bien s’occuper d’elles-mêmes, et par conséquent d’afficher une meilleure santé mentale.

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Les 18-34 ans sont les plus stressés

On apprend via The National Library of Medicine que les jeunes adultes forment la génération la plus stressée en ce moment.

En effet, selon le site de l’association, les 18-34 ans seraient plus stressés que la moyenne générale de la population. C’est un rapport de l’American Psychological Associationqui prétend ce fait, un rapport qui tente aussi d’en expliquer les raisons.

D’abord, il semble que la course capitaliste incessante soit la toute première raison de ces pointes de stress, puisque l’argent et l’emploi semblent être au cœur des priorités de cette génération.

« Manifestement, il y a un nombre de facteurs de pression auxquels les jeunes font face et qui explique ces pointes de stress. Ces individus grandissent dans une ère économique sans précédent. Cela coïncide avec la fin de leurs études, alors qu’ils essaient de s’établir dans la société. Trouver un emploi, fonder une famille et rembourser les dettes étudiantes contractées sont des éléments stressants. Ils ont aussi du mal à se trouver des emplois, avec des taux de chômage sans précédent », résume avec brio Norman Anderson, chef de la direction de l’American Psychological Association.

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Le sport et la séduction

Un nouveau sondage français dévoile les effets du sport sur la séduction, rapporte Top Santé. On y apprend notamment que de faire de l’activité physique n’est pas une bonne chose que pour le corps.

En effet, selon 90 % des répondants (hommes et femmes), un corps en santé et duquel on a pris soin serait plus efficace lorsque vient le temps de séduire. Les contextes entourant le sport sont aussi prisés par les fantasmes romantiques des répondants.

Ainsi, faire de l’activité physique ne serait pas avantageux pour le cœur que de façon littérale, mais aussi métaphoriquement.

On apprend que les femmes aimeraient bien rencontrer un homme alors qu’elles font leur jogging, un concept que semblent partager leurs confrères masculins.

Les salles d’entraînement, ou gym, ont de moins en moins la cote auprès des dames en matière de séduction, mais les hommes semblent toujours apprécier les parades observables en gymnase ou en salle.

Les pistes de ski ne sont pas un très bon endroit pour les rencontres, apprend-on…

Au final, il est bon de se rappeler qu’un corps en bonne santé n’attire pas qu’autrui, mais permet également d’afficher une belle confiance personnelle, indispensable pour réussir à rencontrer quelqu’un et maintenir une relation.

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Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire

Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log. Voilà une affirmation qui va en faire sourciller plus d’un.

Quiconque se trouve ou s’est déjà trouvé impliqué dans une relation amoureuse ou d’amitié avec une personne du sexe opposé vous dira probablement que l’adage qui prétend que les hommes et les femmes proviennent de deux planètes différentes est probablement vrai.

Pour les chercheurs de l’Université de Rochester, la plupart de ces « différences » relèveraient souvent plus du mythe que de la réalité.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne la sexualité, ce qui a de quoi étonner. Il semble que les deux sexes recherchent souvent les mêmes choses en matière de vie sexuelle, et que beaucoup de stéréotypes et de tabous donnent une impression d’opposition.

Même chose concernant l’empathie et les émotions, que l’on attribue souvent plus à la femme qu’à son partenaire masculin. Or, pour Harry Reis, coauteur de l’étude, les hommes sont capables d’autant d’empathie que les femmes.

On croit que la communication peut s’avérer un élément clé pour mieux comprendre l’autre sexe et découvrir des faits étonnants. Il faudrait parler des différences entre hommes et femmes en tant que moyennes, et non en tant que certitudes.

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Le mois de février serait-il le plus difficile pour le sommeil?

Si vous avez des problèmes de sommeil comme l’insomnie, ou que vous arrivez à dormir, mais que le sommeil ne s’avère pas réparateur, il faudra peut-être pointer du doigt le mois dans lequel on se trouve.

En effet, selon une étude-sondage révélée par Top Santé, il appert que le mois de février serait le plus difficile pour les nuits de sommeil. C’est après avoir interrogé près de 21 000 répondants que les chercheurs anglais sont arrivés à cette conclusion.

Donc, nous dormirions plus mal en février, mais nous aurions aussi besoin de plus de temps pour sombrer dans les bras de Morphée, soit huit minutes de plus.

Plus encore, les pauvres gens qui souffrent déjà d’insomnie ou de problèmes à s’endormir auraient besoin de dix minutes supplémentaires avant de fermer l’œil!

On noterait déjà une amélioration dès les premiers jours du mois de mars.

Pour le professeur en tête de l’étude, Colin Espie, une partie de la réponse se trouve dans le froid, alors que les gens surchauffent leur chaumière afin de s’en protéger, ce qui nuit au sommeil de qualité.

Il semble également que les femmes soient davantage touchées par le phénomène.

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Les femmes stressées entendraient mieux que les autres

Voici une étude originale et intrigante qui prétend que les femmes soumises au stress auraient une ouïe plus développée que les autres, rapporte The National Library of Medicine.

Le problème, c’est que cette caractéristique ne serait pas aussi positive qu’elle pourrait le paraître, Car posséder une ouïe similaire à celle d’un superhéros apporte surtout son lot de pollution par le bruit.

On comprend de l’étude que ces femmes, en plus d’être déjà stressées, souffrent de cette « qualité », alors qu’une simple conversation peut devenir source de douleur.

Et on ne parle même pas des centaines d’autres bruits stridents que le citoyen moyen doit endurer quotidiennement sur la route, au travail ou entre les deux.

Dan Hasson, professeur associé à l’Institut Karolinska, commente l’étude en expliquant : « Quand vous êtes hypersensible aux sons, des sons souvent communs comme des ustensiles ou celui d’une voiture peuvent sembler très perçants pour les oreilles. Étant donné qu’il est commun que les gens travaillent ou évoluent dans des environnements bruyants et stressants, l’hypersensibilité peut devenir handicapante pour certains individus ».

Spécialement pour les femmes soumises au stress, conclut cette étude qui ne voit pas le même genre d’effet sur les hommes, à tout le moins pas aussi vérifiable.

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Un nouveau nom pour désigner le syndrome ovarien polykystique?

Les National Institutes of Health annoncent avoir demandé à un panel d’experts de se pencher sur la question de l’appellation du syndrome ovarien polykystique, qu’il juge trop complexe.

Selon l’organisation, l’appellation actuelle apporte beaucoup de confusion au sein de la population, spécialement chez les femmes qui souffrent de ce syndrome.

Le syndrome ovarien polykystique est un désordre hormonal chez la femme qui peut créer de la douleur et des problèmes de fertilité. On note une hausse des cas rapportés en Amérique du Nord, et voilà pourquoi de plus en plus de spécialistes soulignent l’importance d’étudier le phénomène.

Le premier point à l’ordre du jour est justement le nom de ce syndrome, qui ne permet pas de bien comprendre sa complexité et ses impacts sur le corps et la santé des femmes.

« Le nom syndrome ovarien polykystique est une distraction qui nuit au progrès. Il est temps d’assigner un nom qui reflètera les interactions qui caractérisent ce syndrome. Le bon nom devra souligner et reconnaitre le problème et être favorable à une meilleure recherche », conclut le panel d’experts.

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Une décennie de perdue pour les fumeurs chroniques

Les gens qui auront fumé tout au long de leur vie de façon chronique perdront l’équivalent d’une décennie en durée de vie, rapporte The National Library of Medicine.

Ces statistiques proviennent d’une profonde étude américaine qui se penchait sur le sujet. On avance donc que les fumeurs peuvent perdre jusqu’à dix ans de leur vie, à moins qu’ils ne cessent au bon moment…

Ce bon moment serait évalué à environ 35 ans. Donc, il serait possible de « récupérer » ces dix ans de vie si une personne décide d’arrêter de fumer avant d’atteindre la mi-trentaine.

Il y a donc de l’espoir pour plusieurs personnes, et on souligne aussi qu’il n’y a pas d’âge pour profiter des bienfaits de l’arrêt du tabagisme.

L’étude massive analysait les données de plus de 200 000 personnes et conclut que les taux de mortalité chez les fumeurs sont trois fois plus élevés que chez les non-fumeurs.

« Il s’agit d’une bonne nouvelle pour les non-fumeurs, et d’une moins bonne pour les fumeurs. Même chose pour les femmes, qui affichent des statistiques comparables. Les femmes fument comme les hommes… et meurent comme les hommes », termine le Dr Jha, de l’hôpital St Michaels de Toronto.

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Polémique concernant l’acide phytique chez les femmes ménopausées

Une polémique sévit dans le dossier de l’acide phytique, un élément retrouvé dans le sel de calcium et de magnésium, notamment.

Le dossier touche surtout les femmes qui vivent, ou sont sur le point de vivre, leur période de ménopause. Ces femmes sont invitées à consommer des produits et des aliments qui renferment de l’acide phytique, qui produit des phytates, afin d’aider au renforcement des os, notamment.

Si les phytates, retrouvées entre autres dans les légumineuses, les grains et les légumes racines, possèdent de belles vertus pour les femmes qui prennent un peu d’âge, elles auraient aussi des effets pervers potentiels à long terme.

On parle de possibles problèmes digestifs dus aux phytates, qui nuiraient aussi à l’absorption de certains minéraux importants par l’organisme.

Selon La Presse, qui rapporte plusieurs commentaires de spécialistes dans le dossier, beaucoup de gens croient que l’acide phytique possède plus de bons côtés que de mauvais.

On suggère aux femmes ménopausées de consommer les aliments qui en contiennent avec modération, et on mentionne que plusieurs moyens sont mis en place pour tenter d’amoindrir les taux d’acide phytique dans les produits, par processus de raffinement.