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Nouvelles quotidiennes

Le Salon National de la Femme aura lieu à Québec, en novembre

Les femmes, jeunes et moins jeunes, sont conviées au Centre de foires de Québec, les 10 et 11 novembre prochain, pour le Salon National de la Femme.

Ce salon, que les organisateurs qualifient de « l’ultime sortie entre filles » sur le site nationalwomenshow.com, fait honneur et plaisir à la gent féminine avec des zones, des thèmes, des kiosques et des activités pour tous les goûts et styles.

Ainsi, on retrouvera pour cette édition 2012 du Salon National de la Femme, entre autres, le District de la mode et du style, une zone beauté, une zone mise en forme, des kiosques de voyages et de loisirs, de gastronomie, des artisans de toutes sortes ainsi que des ateliers sur la famille.

De plus, plusieurs personnalités qui ont la cote dans le cœur du public féminin québécois seront présentes, à commencer par Jean Airoldi.

C’est donc un rendez-vous tout féminin qui vous attend, mesdemoiselles, dès 9 h le samedi 10 novembre et dès 10 h le lendemain, le dimanche 11 novembre.

Le prix d’entrée est de 12 $ par personne, et si vous désirez emmener vos enfants, l’entrée est gratuite pour ceux-ci (12 ans et moins).

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Les amateurs de thé vert mieux protégés contre le cancer

Les amateurs de thé vert seraient mieux protégés contre le cancer, affirme une étude reprise par www.nlm.nih.gov.

Ce serait particulièrement vrai pour les femmes plus âgées qui en boivent régulièrement. Les risques pour cette tranche de la population, en consommant du thé vert, diminueraient considérablement en ce qui a trait aux cancers du côlon, de l’estomac et de la gorge

Les recherches, effectuées sur des femmes originaires de la Chine, démontrent que celles qui boivent du thé ont 14 % moins de chances de développer une de ces maladies, contrairement à celles qui n’en boivent pas.

Si les résultats semblent évidents, les chercheurs tiennent à mettre un bémol sur la question, puisque selon eux, les gens qui sont amateurs de thé sont aussi généralement plus conscients de leur santé en général. D’autres facteurs sont donc peut-être à considérer.

Malgré tout, selon le Dr Wei Zheng, chef du département d’épidémiologie de la Vanderbilt University School of Medicine de Nashville, les vertus du thé en matière de prévention du cancer sont tout de même prouvées et claires.

Il est donc suggéré d’intégrer cette boisson à notre régime alimentaire, même si l’effet de causalité n’est pas démontré entièrement.

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Le manque de calcium lié à des problèmes hormonaux chez la femme

Les femmes qui ont une carence en calcium dans leur alimentation sont plus à risque de développer une condition hormonale causée par une suractivité des glandes parathyroïdes. Ces problèmes peuvent affaiblir les os et ainsi mener à des fractures et autres problèmes divers.

C’est ce qu’affirme www.nlm.nih.gov, qui reprend les constats d’une étude menée par la Dre Julie Paik et ses collègues du Brigham and Women’s Hospital de Boston.

Aux fins de l’étude, les chercheurs ont suivi plus de 58 000 dossiers de patientes, âgées de 39 à 66 ans, qui n’avaient pas de problèmes connus liés aux glandes parathyroïdes.

Les participantes ont été divisées en cinq groupes distincts, basés sur leurs habitudes de consommation de calcium. Les données compilées sont celles observées chaque quatre ans, sur une période de 22 ans.

Les résultats sont clairs : après un certain âge, les femmes qui consomment régulièrement des sources de calcium voient diminuer de 44 % leurs chances de développer des problèmes liés aux glandes parathyroïdes.

Un indicatif clair de l’importance du calcium. Les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium fait le travail, et que 500 milligrammes quotidiennement font chuter les risques jusqu’à 59 % de moins.

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Les femmes ont leur premier bébé à 28 ans

(Relaxnews) – En France, les femmes donnent naissance à leur premier enfant à 28 ans en moyenne, révèle une étude de l’Insee, ce vendredi 19 octobre.

Désormais, les Françaises attendent plus longtemps que leurs mères pour mettre au monde leur premier enfant. Elles sont âgées en moyenne de 28 ans, contre 24 ans pour leurs aînées.

« La place croissante des femmes sur le marché du travail et leur souci d’avoir un travail stable avant de fonder une famille entre certainement en jeu, de même que la volonté croissante de vivre un certain temps à deux », souligne l’Insee.

Particularité régionale : plus les premiers accouchements s’effectuent vers le sud de la France, plus les femmes deviennent mères tardivement, avec une exception pour l’Île-de-France, où l’âge au premier enfant est plus élevé que la moyenne hexagonale de près d’un an.

En 2010, les femmes ont mis au monde leur deuxième enfant à 30,5 ans, puis leur troisième à 32,4 ans. Au total, l’âge moyen des mamans françaises s’établit à 30 ans.

À noter que les Italiennes et les Espagnoles sont les Européennes devenant mères le plus tardivement, à près de 30 ans.

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L’alcoolisme plus mortel que le tabagisme

De nouvelles recherches suggèrent que l’alcoolisme est plus ravageur que le tabagisme quant à l’espérance de vie, entre autres.

Ces résultats, rapportés par www.nlm.nih.gov, tendent à démontrer que la durée de vie serait raccourcie de plus d’années chez un alcoolique que chez un fumeur. On affirme aussi que cette statistique s’applique d’autant plus chez les femmes aux prises avec un problème d’alcool.

Voilà qui a de quoi surprendre, puisque la cigarette est devenue l’ennemi public numéro un en matière de santé au fil des dernières années.

Les chercheurs allemands à l’origine de ces recherches sont convaincus de ce qu’ils avancent : le taux de mortalité est 4,6 fois plus élevé chez les femmes alcooliques, et 1,9 fois plus chez les hommes, en comparaison avec le reste de la population dite « générale ».

Il s’agit d’une super-étude, puisque des données concernant plus de 4000 individus ont été compilées pour arriver à ces résultats.

Le directeur de l’Institute of Epidemiology and Social Medicine de l’University Medicine Greifswald urge les gens qui ont des problèmes d’alcool à consulter le plus rapidement possible afin d’obtenir de l’aide.

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Infertilité chez la femme – nouveau traitement prometteur

L’étude menée sur des souris sera bientôt testée sur des femmes infertiles à cause de l’anovulation. Les chercheurs ont constaté que la prolactine agit indirectement sur l’une des hormones les plus importantes qui affectent la reproduction : la GnRH.

L’hyperprolactinémie (production trop élevée de prolactine) est le plus souvent responsable de problèmes de cycles menstruels, et donc d’infertilité. Chez les souris, les chercheurs ont découvert le processus menant à l’inhibition de l’hormone GnRH.

La kisspeptine, normalement sécrétée, est inhibée lors de l’hyperprolactinémie. L’équipe responsable a donc injecté la kisspeptine chez les souris infertiles, et les résultats ont été concluants. Elle bloque le surplus de prolactine et permet le retour du cycle menstruel régulier, et ainsi l’ovulation.

C’est l’équipe de Jacques Young et Nadine Binart, de l’unité 693 à l’Inserm, responsable des récepteurs stéroïdes : physiopathologies endocriniennes et métaboliques, qui ont travaillé sur la recherche.

Il s’agit donc d’une découverte d’importance, puisqu’elle pourra désormais faire partie d’un nouveau traitement, en remplacement des médicaments prescrits aujourd’hui pour aider les femmes infertiles.

Cependant, d’autres études sont nécessaires pour valider le concept chez les femmes.

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Le manque d’oméga-3 lié à la dépression chez les femmes âgées

Plusieurs études récentes suggéraient un lien entre les symptômes de dépression et le manque d’oméga-3 dans l’organisme.

Cette fois, des chercheurs italiens ont décidé de pousser cette question plus loin, en ciblant le phénomène chez les femmes plus âgées.

46 femmes âgées de 66 à 95 ans avec un diagnostic de dépression ont donc fait partie des patientes dans cette étude. On a par la suite séparé le groupe en deux, l’un recevant un complément alimentaire d’oméga-3, et l’autre, un placebo.

Les résultats, rapportés par Lanutrition.fr, sont plutôt clairs. Les chercheurs concluent qu’un taux plus élevé d’EPA dans le sang permet d’amoindrir les symptômes de la dépression. Des changements d’humeur positifs ont également été notés chez ces personnes d’âge mûr.

Il faut cependant prendre note que les spécialistes italiens croient qu’il faut également regarder du côté des taux d’acides gras oméga-6, qui joueraient un rôle important dans le processus.

En clair, plus le taux d’oméga-3 est élevé, combiné à un taux d’oméga-6 faible, plus les symptômes liés à la dépression sont faibles.

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Bonds de géant pour l’espérance de vie de l’homme moderne

Les gens qui vivent dans les pays développés à notre époque ont plus de chance de vivre vieux que ceux de n’importe quelle autre société ou époque avant eux.

C’est ce qu’affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov, qui explique que l’espérance de vie a connu des bonds prodigieux au fil des dernières générations. De fait, l’homme moderne peut espérer profiter de plus du double d’années que ses ancêtres.

Les spécialistes se disent surpris de constater à quel point le plus gros de ce progrès s’est effectué de façon contemporaine, depuis quelques générations seulement.

« Je ne peux toujours pas croire à quel point ce progrès est récent », déclare Oskar Burger, auteur principal de l’étude, et docteur à l’Institute for Demographic Research de Rostock, en Allemagne.

Il ajoute : « Il semble de plus en plus évident qu’il n’existe pas de mort prédéterminée chez l’homme, puisque celui-ci est en mutation génétique à mesure qu’il progresse et vieillit ».

Le plus gros du progrès en matière d’espérance de vie serait survenu au tournant du 20e siècle. Les raisons évoquées par les chercheurs sont, entre autres, l’eau potable et la nourriture de meilleure qualité, de meilleures maisons et une médecine en constante évolution.

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Les femmes et le stress

En effet, Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à démontrer clairement ce phénomène, et même à en déterminer les raisons. Lorsqu’on dit que les femmes sont plus « émotives », il s’agit là d’un stéréotype facile, mais expliquer les raisons de ce jugement s’avère plus complexe.

Les spécialistes croient qu’une partie de la réponse se trouve dans l’évolution. Les femmes auraient plus tendance à ressentir du stress lorsqu’on attaque ou met en péril l’intégrité physique ou psychologique de sa famille, surtout de ses enfants. L’instinct de mère, évoluant au fil des générations, devient un principal facteur de réaction chez la femme.

L’homme, lui, serait plus enclin à réagir au stress devant des situations qui menacent son propre bien-être. Une réaction beaucoup plus égoïste, mais bien réelle.

De plus, les chercheurs pointent du doigt l’ère numérique et d’informations rapides dans laquelle on vit. Être bombardé de nouvelles, souvent pessimistes et négatives, placerait la femme moderne dans un état de stress plus élevé que l’homme.

En contrepartie, la femme qui voit son taux de cortisol augmenter (réaction du corps en période de stress) voit aussi sa mémoire s’activer davantage et retenir plus d’informations que l’homme.

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L’hormonothérapie de remplacement réduirait les risques de troubles cardiaques

Une nouvelle recherche, rapportée par www.nlm.nih.gov, prétend que les femmes qui suivent un traitement d’hormonothérapie de remplacement pourraient bien améliorer également leur santé cardiaque.

Lorsqu’entamé en début de ménopause, ce traitement pourrait réduire les risques de crises cardiaques et d’autres problèmes similaires. Les bénéfices de l’hormonothérapie de remplacement viendraient de plus sans revers de médaille, c’est-à-dire qu’ils ne feraient pas grimper les chances de développer un cancer ou une autre maladie.

C’est un débat qui dure depuis longtemps qui pourrait être sur le point d’être tranché. En effet, l’hormonothérapie de remplacement inquiète les spécialistes, qui hésitent parfois à le recommander, justement à cause de risques potentiels au niveau du cœur.

Cette étude danoise pourrait calmer le jeu. Cependant, d’autres études contredisent celle-ci, et deux médecins affirment qu’elle n’est pas concluante. Ils suggèrent de traiter à petites doses et de commencer très tôt dans le processus de ménopause.

Un débat qui demeure ouvert, donc, et qui devrait se poursuivre. Les spécialistes prennent la chose très au sérieux, puisque les femmes sous-estiment souvent les risques de problèmes cardiaques, selon plusieurs statistiques.